Je ne partage pas le comm' de "Rosa Luxemburg" (nom d'une révolutionnaire marxiste et spartakiste).
J'ai trouvé cette interview comme un "interlude", un de ces moments bénis de vacances au soleil où on prend le temps de discuter avec un voisin à la campagne.
Pierre Rhabi, cite cette phrase qui s'applique bien à notre monde : "On ne sait pas où on va, mais on y va". Brûlante actualité. Il cite la légende de "Colibri" : "Faire sa part", aussi minuscule qu'elle soit. Parlant de "Paris" (ou d'autres mégalopoles) Rhabi déclare : "Ce n'est pas une condition Humaine".
L'écouter, c'est entendre ces vieux sages des tribus d'Afrique, d'Amérique ou d'ailleurs. Des humains qui vivent en communion avec la Terre-mère. Rhabi est un "agriculteur" à l'ancienne, ou du futur. Il cultive la Terre, sans l'épuiser, intendant fidèle de son maître.
A contrario, comme c'est expliqué dans le nouveau Testament, notamment Luc, XVI Parabole de l'intendant infidèle : "vous ne pouvez pas servir Dieu et l'Argent" et aussi "Le maître fit l'éloge de l'intendant malhonnête à cause de l'habileté dont il avait fait preuve. En effet, les enfants de CE monde sont plus habiles vis à vis de LEUR génération que ne le sont les enfants de la lumière". En quelque sorte, la ruse et la rouerie des oligarques sont expliquées, sinon justifiées...mais ceux là ne peuvent pas servir Dieu, mais l'Argent. Il y aura un retour de bâton "De fait, ce qui est très estimé parmi les hommes [Gloire, pouvoir, fric...] est abominable devant Dieu."
Sa fiche Wiki nous apprend cela: "Il défend un mode de société plus respectueux de l'homme et de la terre et soutient le développement de pratiques agricoles respectueuses de l'environnement et préservant les ressources naturelles, l'agroécologie, notamment dans les pays arides"
Merci Pierre Rhabi car c'est comme cela que je vois les choses loin de cet esclavage et conditionnement d'humains. Mais où sont ses villages? Car ce reconnecter avec Terre Mère sur ce concepte je trouve cela super reprendre goût à lavie la vraie. Alors je veux devenir un collibri merci. Doud.
"Rosa Luxemburg" j'aimerais bien que vous vous expliquiez un peu plus longuement. Personnellement j'ai de l'admiration pour Pierre Rabhi. Je le trouve respectueux envers les gens et la nature.
Pierre Rabhi n'est pas malthusien au sens strict. C'est un homme de bon sens qui ne peut que constater les effets de la surpopulation sur une terre limitée.
""Dans les dernières années de sa vie, l'anthropologue et ethnologue français Claude Lévi-Strauss rappelle le problème que soulève la surpopulation humaine : « Ce que je constate : ce sont les ravages actuels ; c'est la disparition effrayante des espèces vivantes, qu'elles soient végétales ou animales ; et le fait que du fait même de sa densité actuelle, l'espèce humaine vit sous une sorte de régime d'empoisonnement interne — si je puis dire — et je pense au présent et au monde dans lequel je suis en train de finir mon existence. Ce n'est pas un monde que j'aime""
Nous vivons dans ce monde comme s'il n'y avait pas de lendemain. Entre prédation forcenée et rejet des déchets de toutes natures. L'une génère l'autre.
rhabi est un malthusien qui sert le NWO ,je pense qu'il le fait inconsciemment mais c'est grave!
RépondreSupprimerROSA LUXEMBURG
et keny arkana?
SupprimerJe ne partage pas le comm' de "Rosa Luxemburg" (nom d'une révolutionnaire marxiste et spartakiste).
RépondreSupprimerJ'ai trouvé cette interview comme un "interlude", un de ces moments bénis de vacances au soleil où on prend le temps de discuter avec un voisin à la campagne.
Pierre Rhabi, cite cette phrase qui s'applique bien à notre monde : "On ne sait pas où on va, mais on y va". Brûlante actualité.
Il cite la légende de "Colibri" : "Faire sa part", aussi minuscule qu'elle soit.
Parlant de "Paris" (ou d'autres mégalopoles) Rhabi déclare : "Ce n'est pas une condition Humaine".
L'écouter, c'est entendre ces vieux sages des tribus d'Afrique, d'Amérique ou d'ailleurs. Des humains qui vivent en communion avec la Terre-mère. Rhabi est un "agriculteur" à l'ancienne, ou du futur. Il cultive la Terre, sans l'épuiser, intendant fidèle de son maître.
A contrario, comme c'est expliqué dans le nouveau Testament, notamment Luc, XVI Parabole de l'intendant infidèle : "vous ne pouvez pas servir Dieu et l'Argent" et aussi "Le maître fit l'éloge de l'intendant malhonnête à cause de l'habileté dont il avait fait preuve. En effet, les enfants de CE monde sont plus habiles vis à vis de LEUR génération que ne le sont les enfants de la lumière".
En quelque sorte, la ruse et la rouerie des oligarques sont expliquées, sinon justifiées...mais ceux là ne peuvent pas servir Dieu, mais l'Argent. Il y aura un retour de bâton "De fait, ce qui est très estimé parmi les hommes [Gloire, pouvoir, fric...] est abominable devant Dieu."
Sa fiche Wiki nous apprend cela:
"Il défend un mode de société plus respectueux de l'homme et de la terre et soutient le développement de pratiques agricoles respectueuses de l'environnement et préservant les ressources naturelles, l'agroécologie, notamment dans les pays arides"
L'ami Pierrot
Merci Pierre Rhabi car c'est comme cela que je vois les choses loin de cet esclavage et conditionnement d'humains.
RépondreSupprimerMais où sont ses villages? Car ce reconnecter avec Terre Mère sur ce concepte je trouve cela super reprendre goût à lavie la vraie.
Alors je veux devenir un collibri merci.
Doud.
"Rosa Luxemburg" j'aimerais bien que vous vous expliquiez un peu plus longuement.
RépondreSupprimerPersonnellement j'ai de l'admiration pour Pierre Rabhi. Je le trouve respectueux envers les gens et la nature.
Merci d'avance. ^^
Bonjour,
RépondreSupprimerPierre Rabhi n'est pas malthusien au sens strict. C'est un homme de bon sens qui ne peut que constater les effets de la surpopulation sur une terre limitée.
""Dans les dernières années de sa vie, l'anthropologue et ethnologue français Claude Lévi-Strauss rappelle le problème que soulève la surpopulation humaine : « Ce que je constate : ce sont les ravages actuels ; c'est la disparition effrayante des espèces vivantes, qu'elles soient végétales ou animales ; et le fait que du fait même de sa densité actuelle, l'espèce humaine vit sous une sorte de régime d'empoisonnement interne — si je puis dire — et je pense au présent et au monde dans lequel je suis en train de finir mon existence. Ce n'est pas un monde que j'aime""
Nous vivons dans ce monde comme s'il n'y avait pas de lendemain. Entre prédation forcenée et rejet des déchets de toutes natures. L'une génère l'autre.
Edouard