22 février 2013

Sommes-nous prisonniers de nos gènes ?

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Contrairement au dogme central de la science et de la médecine conventionnelles qui voudrait nous faire croire que nous ne sommes ni plus ni moins que des automates génétiques ou des machines chimiques, Bruce Lipton, généticien de renommée internationale, pense que l'être humain n'est pas prisonnier de ses gènes ou de ses cellules étant donné que ceux-ci sont eux-mêmes le produit de l'environnement dans lequel ils évoluent.
L'être humain aurait donc, d'après cette nouvelle compréhension de la biologie cellulaire, beaucoup plus de pouvoir qu'il ne le pense sur sa propre biologie et, par conséquent, sur ses fonctions corporelles.

A propos de Bruce Lipton

Bruce H. Lipton, PhD, est un leader mondialement reconnu de l'harmonisation de la science et de la spiritualité. Il a été invité à des centaines d'émissions de radio et de télévision, et conférencier principal lors de congrès aux États-Unis ainsi qu'à l'étranger.

Le Dr Lipton a commencé sa carrière scientifique en tant que biologiste cellulaire. Il a reçu son doctorat de l'Université de la Virginie à Charlottesville, avant de se joindre au département d'anatomie de l'école de médecine de l'Université du Wisconsin, en 1973. La recherche du Dr Lipton sur la dystrophie musculaire — des études utilisant des clones de cellules-souches humaines — focalisait sur les mécanismes moléculaires qui contrôlent le comportement cellulaire. Une technique expérimentale de transplantation de tissus, développée par le Dr Lipton avec son collègue le Dr Ed Schultz, et publiée dans la revue Science, fut par la suite utilisée en tant que forme nouvelle de génie génétique humain.

En 1982, le Dr Lipton a commencé à examiner les principes de la physique quantique et leur intégration possible dans sa compréhension des systèmes cellulaires de traitement de l'information. Ses études marquantes sur la membrane cellulaire ont révélé que cette couche extérieure de la cellule était un homologue organique d'un microprocesseur, l'équivalent cellulaire d'un cerveau. Sa recherche à l'école de médecine de l'université Stanford, de 1987 à 1992, a révélé que l'environnement contrôlait le comportement et la physiologie de la cellule au moyen de la membrane, et servait d'interrupteur aux gènes. Ses découvertes, qui contredisaient le paradigme scientifique établi, selon lequel la vie est contrôlée par les gènes, présageaient l'un des plus importants domaines d'étude actuels, la science de l'épigénétique. Deux publications scientifiques majeures, tirées de ces études, ont défini les liens moléculaires entre l'esprit et le corps. Depuis, d'autres chercheurs ont produit de nombreux articles validant ses concepts et idées.

L'approche scientifique nouvelle du Dr Lipton a également transformé sa vie personnelle. Il a approfondi sa compréhension de la biologie cellulaire, mis en valeur les mécanismes par lesquels l'esprit contrôle les fonctions corporelles, et conclu à l'existence d'une âme immortelle. Appliquant cette science à la biologie personnelle, il a découvert que son bien-être physique s'améliorait, et que la qualité et le caractère de sa vie quotidienne connaissaient une amélioration marquée.


5 commentaires:

  1. Lipton énonce quelques faits que nous connaissons plus ou moins sur ce blogue.
    Effet placebo (+) ou Nocebo (inverse, pensées négatives). Les pensées ont un pouvoir sur notre corps. On le sait avec les déprimes, le burn out...du côté négatif. Le docteur Coué avait montré l'importance de l'autosuggestion pour se guérir et pour se re-programmer +. Le "Chamanisme" est aussi un "art" où l'esprit agit sur le corps, pouvant décupler la force durant la transe.
    Les pensés négatives et répétitives (en boucle) occupent 70% de nos pensées, autant dire que notre mental est un piège déréglé d'où nous ne pouvons sortir facilement.

    La Big Pharma, et la médecine "occidentale" ont intérêt à nier l'effet "placebo" pour vendre leurs médocs et vaccins, et pour nous ruiner la santé (d'où consommation d'encore plus de médocs etc).

    La Pensée + ne peut être opérante, efficace, que si le "subconscient" qui est notre véritable force intérieure et qui régit notre psyché et notre corps, est atteint. Or le "Mental" (occupé à 70% à des pensées négatives) filtre et désactive les autosuggestions +, et fabrique les "programmes" ou "croyances" que le Mental imprime dans le subconscient (un échec ou un trauma devient un souvenir conscient, puis intériorisé, un complexe, une névrose...) le détraque et lui coupe les ailes.

    Le seul moyen de libérer la créativité et la puissance de notre inconscient original - castré par le Mental censeur et par les programmes - est de court-circuiter le mental.

    Cela expliquerait la puissance de l'Hypnose, de l'auto-hypnose pour ceux qui savent la pratiquer, et enfin d'autres transes comme la transe chamanique, où le sujet devient un "autre homme" ou un "autre être".

    L'ami Pierrot

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    1. "Les pensées négatives et répétitives (en boucle) occupent 70% de nos pensées, autant dire que notre mental est un piège déréglé d'où nous ne pouvons sortir facilement."

      7 pensées sur 10 négatives?? Qu'entends tu par pensées négatives? ne serait ce pas les émotions qu'elles engendrent qui seraient négatives?

      Émotions générées par notre capacité inculquée à juger ce qui est bon ou mauvais (positif ou négatif). capacité, je pense, induite par la culture et l'apprentissage. Ce qui est positive pour une culture ne l'est pas pour une autre.
      Quelles sont ces émotions? Tristesse, mélancolie? Ou encore rage, haine, rancoeur?

      Pour reprendre Edouard, juste en dessous, la méditation peut apporter une certaine clarté et faire un peu de lumière sur ces fils indistincts qui nous agitent que sont les pensées et les émotions qui en découlent.

      Tu dis
      "Le seul moyen de libérer la créativité et la puissance de notre inconscient original - castré par le Mental censeur et par les programmes - est de court-circuiter le mental."

      Le mental n'est pas obligatoirement censeur. La censure comme les "programmes" sont des choses d'acquises et en tant que telles, risquent d'exister dans l'inconscient aussi. Et c'est peut être même cette censure, ces programmes inconscients qui castrent le mental et font souffrir l'être conscient. C'est un peu comme si le mental, sous les assauts de programmes inconscients induits (entre autre) par l'éducation et une certaine forme de morale, criait "au secours" en envoyant à la conscience, ces appels de détresse sous forme de "pensées négatives".

      Tu sembles dire dans la première phrase que notre mental est la source de nos pensées, et il semble que tu veuilles en sortir. Qu'il castre la créativité et la puissance de nos profondeurs. Et que pour exprimer notre être il faudrait court circuiter le mental.

      Donc, ne plus penser?

      Pour ne pas souffrir, ne plus ressentir? Pour ne pas mourir, ne plus vivre?

      Encore une fois, une méditation bien élaborée permet de relativiser certaines souffrances et d'éclaircir la confusion

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  2. La méditation également fait partie de "l'arsenal" des modificateurs de terrain.

    Edouard

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  3. Il semble aussi exister un aspect méconnu en france et qui nous dérègle sérieusement:voir "ateliersanté" dossier sur les entités et autres!la loba

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  4. Bonjour La Loba,

    Je viens d'aller sur le site "atelier santé."
    Les tarifs pratiqués pour les "stagiaires" devraient mettre en alerte ceux qui seraient tentés d'y aller. Plus la panoplie : 50 euros le pendule "Egyptien."

    La démarche de "libération" exige volonté, forte indépendance et aussi le clin d'oeil de l'appel.
    C'est l'oeuvre de toute une vie, pas d'un stage moutonnier et opportuniste.

    Quand l'élève est prêt, le maître apparaît.
    C'est gratuit.

    Edouard



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