Dans une déclaration transmise à l'AFP, Areva, propriétaire de l'usine d'enrichissement de l'uranium sur le site du Tricastin, a pour sa part assuré que la victime du cambriolage n'avait jamais visité le site Areva du Tricastin "et n'a pas eu accès à des informations sensibles du groupe".
Selon Le Parisien, 200 euros en espèces, des plans papier de la même usine, et une liste d'entreprises qui collaborent à travers le monde avec Areva ont été volés, ce que n'a pu confirmer la source policière, précisant que l'inventaire des biens dérobés était toujours en cours. L'enquête a été confiée à la police judiciaire du Val-de-Marne.
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Paul : le nucléaire ressemble à libre service. A quand les plans sur le Net ?
Comme c'est pratique tout ça. Comme par hasard on entend encore parler d'Areva.
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