31 décembre 2012

Pour la nouvelle année...vivez comme dans une favelas !

5 commentaires:

  1. Une forme de "survivaliste", ou une personne "autarcique".
    En fait, cela revient à vivre comme nos ancêtres avant l'électricité (mi 19° siècle).
    Aux E-U, il y a des communautés comme les Amish qui vivent encore comme cela. c'est donc "possible".
    Les "indiens" des camps de la ZAD de N-D des landes vivent aussi sans électricité...
    Et bien sûr, les légions de SDF et de squatters dans nos villes.

    L'ami Pierrot

    RépondreSupprimer
  2. Je me souviens de ma mère qui lavait le linge
    au lavoir en plein hiver
    trop heureuse d'avoir sa machine à laver
    qui faisait désormais ce pénible travail
    pour elle !
    Donc
    Attention à l'emploi de contre-exemples
    pour sensibiliser les esprits gavés de confort ...
    J'ai tenté de dire .

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Vivre de cette façon était surtout réservé aux pauvres, mon père, dans sa jeunesse, à vécu ainsi et jamais il n'a cherché à recommencer, bien au contraire !
      Le corps s'use rapidement à vivre ainsi, il faut une santé de fer pour y survivre. Les émanations de la cheminée intoxiquent lentement mais surement et le manque d'hygiène fait le reste.
      Je pense que c'est avant tout une démarche personnelle, des problèmes à régler avec soi-même...



      Supprimer
  3. Il est impressionnant, en lisant vos commentaires ainsi que le titre de ce post, de voir à quel point les lecteurs peuvent retranscrire, à travers ce témoignage filmé, leurs propres projections (faites ici de peurs), sans nullement tenir compte de ce que dit cette personne. On comprend mieux pourquoi ce blog reste pro-technologies et pro-travail et au final très peu anti-conformiste...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Pointe d'humour !
      Pro anticonformiste, c'est mieux? C'est tendance ?
      Chacun voit midi à sa porte, je ne crois pas aux recettes élaborées par certains soient transmissibles à beaucoup d'autres.
      L’anticonformisme est une chose très relative, si vivre de cette façon est à notre époque anticonformiste, à d'autres cela s’appelait vivre dans la pauvreté, voir la misère... Pour avoir des témoignages directs de personnes ayant vécus de cette façon, jamais ils ne recommenceraient, sauf par la force des choses.
      Mais il est vrai que cela à un côté Hobbit, survival, c'est très tendance.
      Demandez à tous ceux qui sont partis dans le Larzac, suite à la mouvance Hippie, comment tout ce folklore c'est terminé !
      Je pense que cette personne tente une démarche qui lui est propre, une quête personnelle, et que cela est très loin d'être transposable à tous.

      Supprimer

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.