
La femme de 44 ans explique à "El Mundo" vendre rein, cornée, poumon et foie pour se payer un logement.
Désespérée, une chômeuse espagnole de 44 ans a annoncé, dimanche 11 novembre, qu'elle vend ses organes non indispensables à sa survie pour pouvoir se payer un logement. Elle explique au quotidien "El Mundo" avoir "d'abord mis en vente un rein" et "maintenant proposer aussi les cornées de [ses] yeux, un de [ses] poumons, un morceau de [son] foie", etc.
Je vends n'importe quel organe de mon corps à qui peut le payer, et je fais cela parce que je suis tout simplement désespérée", poursuit-elle.
L'Espagnole précise qu'elle a "reçu un préavis d'expulsion". "Ma fille et moi, nous n'avons pas de famille, nous ne savons pas où aller", raconte-elle. La vente de ses organes servira à obtenir et payer un logement, "un endroit digne".
"El Mundo" affirme qu'une première annonce de vente d'organes a été publiée il y a deux semaines, mais qu'elle n'a pas encore reçu d'offre. Un médecin à Melilla a déjà été contacté dans la perspective d'un prélèvement.
Toutefois, le quotidien espagnol précise que les autorités seront sûrement mises au courant. La quadragénaire encoure 12 ans de prison pour trafic d'organes.
Désespérée, une chômeuse espagnole de 44 ans a annoncé, dimanche 11 novembre, qu'elle vend ses organes non indispensables à sa survie pour pouvoir se payer un logement. Elle explique au quotidien "El Mundo" avoir "d'abord mis en vente un rein" et "maintenant proposer aussi les cornées de [ses] yeux, un de [ses] poumons, un morceau de [son] foie", etc.
Je vends n'importe quel organe de mon corps à qui peut le payer, et je fais cela parce que je suis tout simplement désespérée", poursuit-elle.
L'Espagnole précise qu'elle a "reçu un préavis d'expulsion". "Ma fille et moi, nous n'avons pas de famille, nous ne savons pas où aller", raconte-elle. La vente de ses organes servira à obtenir et payer un logement, "un endroit digne".
"El Mundo" affirme qu'une première annonce de vente d'organes a été publiée il y a deux semaines, mais qu'elle n'a pas encore reçu d'offre. Un médecin à Melilla a déjà été contacté dans la perspective d'un prélèvement.
Toutefois, le quotidien espagnol précise que les autorités seront sûrement mises au courant. La quadragénaire encoure 12 ans de prison pour trafic d'organes.
Je ne crois pas que cette femme ait vraiment l'intention de vendre ses organes. De toute façon elle en serait empêchée.
RépondreSupprimerJ'espère que ce "coup de pub" aura pour effet de lui fournir un logement.
Edouard
Quelle misère ! Et dire que tout un tas de personnes ont des résidences secondaires qui ne servent pas la plupart du temps, et que des tas d'autres n'ont pas de logement !
RépondreSupprimerJ'ignore si elle a vraiment l'intention ou pas de vendre ses organes : pour une de mes filles en grande difficulté, je pense que je pourrais le faire...
Un don de cornée (ou vente) pendant qu'on est vivant, ça ne rend pas aveugle ?
Donc, cette mère, afin d'avoir un logement, serait prête à devenir aveugle, c'est-à-dire de ne plus jamais avoir l'espoir d'avoir un emploi qui pourrait lui faire gagner sa vie ? ... Aveugle, elle ne verrait plus jamais le sourire de sa fille ?
SupprimerCette enfant deviendrait donc le soutien de sa mère ?
Personnellement je ne pense pas que je pourrais envisager de telles choses. Un rein, de la moelle osseuse, oui. Quelque chose qui me rendrait dépendante, non.
Je tenterais de remuer ciel et terre pour trouver un emploi avant ça. Je suis tout à fait consciente que ce n'est pas chose facile, puisque j'ai plusieurs petits emplois qui ne sont pas du tout "sécuritaires".
Malgré tout, je ne suis pas juge en la matière, ceci n'engage que moi.
Peut-être n'est-ce qu'un appel au secours, comme d'autres gens font des tentatives de suicide ?
En tout cas, ce n'est pas drôle d'en être à ce point. J'espère de tout coeur que cette dame trouvera une solution. Peut-être y aura t'il des gens pour l'aider.