J'avais pas vu la fin...complètement zarbi. Esotérico-maniaque ? Comme quoi, les boutons de manchettes...j'aime bien le décor années '70, c'étaient nos "années folles". Il aime travailler avec son maître...il veut avoir toutes les traditions...(vaste programme). Son maître ne peut pas mourir...(au fait, c'est "Elle"). Ils sont en communication constante. Elle ne le quitte plus...
A la fin, on voit une R20 ou une R30 garée sur le trottoir...c'était le bon temps, tiens !
Il faut écouter son interview après avoir gagné le concours reine Elizabeth, c'est du pur délire, même Paul n'a qu'a bien se tenir, il a un sérieux challenger !!!
Les notes qui sortent du piano me "crispouillent" légèrement le neurone qui part du lobe droit et arrive à l'orteil gauche...
Pourtant,je jubile lorsque cet artiste lève le capot de son instrument, fait son réglage avec une clef à pipe de 12 (?) et que le chat vient clôturer le travail en arpentant le-dit capot...
Puis, obéissance au maître, qui est une maîtresse...
Une chose m'a frappée : cet homme est filmé par l'arrière, pas de profil, ni de face. Et la seule chose qui m'a paru émaner de lui, est une profonde tristesse, une espèce de désolation.
Il ne semble pas inspiré, plutôt comme concentré sur une tâche ardue.
Mais effectivement, c'est peut-être quelqu'un qui cache son jeu (je) pour mieux vivre sa vie.
Ahurissante, la course de ses mains sur le clavier ! Chapeau !!!
Pour ce qui est de l'individu, c'est effectivement un comportement que nous n'avons pas vraiment l'habitude de voir. Il ne paraît pas heureux, mais presque en état d'hypnose. Il a une rigidité dans son attitude qui est tout de même hors du commun. ... J'espère qu'il rit et qu'il sourit de temps à autre.
Un peu de musique classique pour adoucir les mœurs...au passage, l'artiste a de beaux boutons de manchettes.
RépondreSupprimerL'ami Pierrot
J'avais pas vu la fin...complètement zarbi. Esotérico-maniaque ? Comme quoi, les boutons de manchettes...j'aime bien le décor années '70, c'étaient nos "années folles".
SupprimerIl aime travailler avec son maître...il veut avoir toutes les traditions...(vaste programme). Son maître ne peut pas mourir...(au fait, c'est "Elle"). Ils sont en communication constante. Elle ne le quitte plus...
A la fin, on voit une R20 ou une R30 garée sur le trottoir...c'était le bon temps, tiens !
Merci Paulot, pour ce délire.
L'ami Pierrot
Un mec qui va jusqu'au bout de son trip et qui y croit, je m'incline, quel talent !!!
RépondreSupprimerLes artistes sont tous un peu givrés, tant mieux pour nous !!!
Il faut écouter son interview après avoir gagné le concours reine Elizabeth, c'est du pur délire, même Paul n'a qu'a bien se tenir, il a un sérieux challenger !!!
RépondreSupprimerOui Pierrot, les boutons de manchettes...
RépondreSupprimerLes notes qui sortent du piano me "crispouillent" légèrement le neurone qui part du lobe droit et arrive à l'orteil gauche...
Pourtant,je jubile lorsque cet artiste lève le capot de son instrument, fait son réglage avec une clef à pipe de 12 (?) et que le chat vient clôturer le travail en arpentant le-dit capot...
Puis, obéissance au maître, qui est une maîtresse...
Une chose m'a frappée : cet homme est filmé par l'arrière, pas de profil, ni de face. Et la seule chose qui m'a paru émaner de lui, est une profonde tristesse, une espèce de désolation.
Il ne semble pas inspiré, plutôt comme concentré sur une tâche ardue.
Mais effectivement, c'est peut-être quelqu'un qui cache son jeu (je) pour mieux vivre sa vie.
Un vrai talent,mystique aussi.
RépondreSupprimerPeut-être a-t-il su équilibrer vie artistique et exigences spirituelles ?
Son entretien après la réception du prix :
http://www.rtbf.be/video/v_la-tele-de-a-z-n-3?id=128033
Edouard
Ahurissante, la course de ses mains sur le clavier ! Chapeau !!!
RépondreSupprimerPour ce qui est de l'individu, c'est effectivement un comportement que nous n'avons pas vraiment l'habitude de voir. Il ne paraît pas heureux, mais presque en état d'hypnose. Il a une rigidité dans son attitude qui est tout de même hors du commun.
... J'espère qu'il rit et qu'il sourit de temps à autre.