22 juillet 2012

La Fondation franco-américaine félicite François Hollande, son "Young Leader 1996", pour son élection


Le site américain de la Fondation franco-américaine (French-American Foundation) a présenté « ses sincères félicitations » à son Jeune Leader (Young Leader en 1996) pour son élection à la présidence de la France, en n'oubliant pas de rendre hommage au travail effectué par Nicolas Sarkozy l'Américain.


« À la French-American Foundation, nous nous efforçons d’améliorer le dialogue entre la France et les Etats-Unis en réunissant des individus des deux pays pour partager leurs expériences et points de vue. Notre action prend différentes formes. Citons la rencontre annuelle des Young Leaders, issus de divers milieux professionnels, les séminaires de journalistes, les symposia pour leaders militaires et experts en défense, les séjours d’étude réciproques pour professionnels dans des domaines très variés, pour ne citer que quelques uns des projets que nous menons chaque année. [...] À la French-American Foundation, notre rôle, notre vraie raison d’être, est de clarifier et de nuancer, de faire connaître les faits, de faire comprendre l’origine des politiques, et de forger des liens durables entre les leaders et les “faiseurs d’opinion” des deux pays » comme le précisait le rapport annuel 2003/2004 de la French-Americain Foundation (FAF) .

Ainsi ce document relate les séminaires organisés pour les journalistes car « Le rôle des médias est crucial pour la compréhension des tensions qui affectent les relations entre la France et les Etats-Unis »... En 2003/2004, on peut citer parmi les participants : Loick Berrou (TF1), Gilles Biassette (La Croix), Annick Cojean (Le Monde), Hubert Coudurier (Le Télégramme de Brest), Harold Hyman (Radio Classique), Joseph Limagne (Ouest France), Philippe Manière (La Lettre de l'Expansion), Pascal Riché (Libération), Christophe de Roquefeuil (Agence France Presse), Laurence Simon (Radio France), Patrick Venries (Sud Ouest), Jean-Gabriel Fredet (Le Nouvel Observateur), Olivier O'Mahony (Paris Match), Philippe Plassart (Le Nouvel Economiste), Pierre Rousselin (Le Figaro), Henri Vernet (Le Parisien), Eric Chalmet (La Tribune), Jean-Marc Vittori (Les Echos), Romain Gubert (Le Point), etc.

Quelquefois, certains journalistes ont même « l'honneur » de devenir des Young Leaders à l'image de Jean-Marie Colombani ou encore Sylvie Kauffmann pour ne parler que du journal Le Monde...

Dans le cadre de la Fondation franco-américaine, « le programme phare des Young Leaders, piloté par les deux entités (ndlr : New-York et Paris), vise à créer et à développer des liens durables entre des jeunes professionnels français et américains talentueux et pressentis pour occuper des postes clefs dans l’un ou l’autre pays » 

En consultant la liste des Young Leaders français depuis 1981, on constate que certains membres du gouvernement actuel ont eu le « privilège » de devenir des Young Leaders, comme Pierre Moscovici ou Arnaud Montebourg.

La liste des soutiens à cette fondation est très longue : la Banque Lazard, BNP Paribas, Crédit Agricole, Société Générale, AXA, Air France, The Coca-Cola Compagny, Areva, Ford Foundation, Warburg Pincus Foundation LLC, David Rockefeller, etc.

La consultation des rapports annuels de la FAF ne laisse planer aucun doute sur son influence.


Vu ici 
 
Paul : les ricains placent leurs hommes à la présidence française. La France est, de fait, un état américain, d'où l'idiotie d'aller voter pour des candidats déjà désignés.

1 commentaire:

  1. La FAF n'est guère connue, moins que le Bilderberg ou le club Le siècle dont la presse a "un peu parlé". Mais elle est justement, très puissante et efficace dans son oeuvre de formatage des Elites Politiciennes (de droite comme de Gauche) pour le Nouvel Ordre Mondial, Zone France.

    Merci à Paul pour cette (re)découverte.

    On notera bien entendu la foule des journaleux dits Français qui occupent nos médias, et qui ont été formatés par la FAF, et bien entendu, le soutien des milieux bancaires et financiers.

    Ce qui nous ramène toujours au même schéma : les milieux bancaires et financiers sont au coeur du projet du NWO, et utilisent les "clubs de pensée" pour formater les politiciens et les journalistes, assurant ainsi le relais dans l'opinion et dans la vie publique de leur plan démoniaque.

    L'ami Pierrot

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