Un personnage intéressant, longtemps trainé dans les sectes par les bien pensants mass médias.
En passant sur son accent pénible, sa thèse sur le perversion permise par la pilule a résonné dans mon esprit, après faut voir ses solutions, mais les causes, à travers son analyse, me paraissent justes et limpides. Ses solutions sont, elles, sujets à caution.
Je me suis toujours demandé pourquoi on faisait un melting-pot avec l'amour et la sexualité. Car les deux, s'ils sont compatibles, sont deux choses bien différentes. Nous pouvons aimer sans acte sexuel (et heureusement, sinon comment ferions-nous avec l'amour que nous éprouvons pour nos parents, nos enfants, nos amis... ?)
Et nous pouvons tout aussi bien avoir une sexualité sans amour.
Le fait de prendre la pillule permet une sexualité plus épanouie dans le couple. Effectivement, il est bien appréciable (sans doute surtout pour la femme) de savoir qu'une relation sexuelle ne débouchera pas sur une grossesse non désirée.
Dans l'ensemble, je suis assez d'accord avec ce que ce monsieur dit de la sexualité "débridée". Je n'ai pas trop compris ce qui avait trait à la beauté...
La "pilule" a "libéré la femme". Mais avec des effets secondaires physiques, psychologiques, et moraux, voire spirituels.
Effets physiques : ces pilules sont parfois mal supportées, et posent des problèmes de santé, voire à long terme, peut-être des risques de cancer. Dans certains cas, on ne peut exclure que la pilule pose des problèmes d'altération de la fécondité : difficulté à tomber enceinte après arrêt de la pilule. Effets psychologiques : la pilule encourage la dé-responsabilisation de l'homme, et sans doute aussi de la femme, au fond c'est la femme qui bouffe le médoc pour que l'homme n'ait plus besoin de "faire attention". Effets moraux et spirituels : la pilule encourage la précocité sexuelle, la sexualisation précoce; la multiplication des partenaires, et donc une fragilisation des unions.
Et qui profite de la "pilule" ? hé bien, le lobby médical et le lobby pharmaceutique. Et de façon plus cachée, les Elites qui tentent de détruire les liens sociaux et la société humaine par le consumérisme et l'hédonisme débridés. La marchandisation de tout, à commencer par la sexualité et la procréation.Le féminisme a été une idéologie de la libération dévoyée, promue par les élites pour détruire la cellule familiale. Et cela a marché ! Dans notre société, jamais les humains n'ont été aussi individualistes et seuls, c'est l'argent qui commande tout.
Depuis l'ère de la pilule, les avortements et les familles mono-parentales et les divorces ne se sont jamais si bien développés dans le tissu social. Donc la pilule n'a pas rendu la femme, ni l'homme, ni leurs enfants, plus heureux, bien au contraire ! Je rajouterais de plus, que la pilule n'a pas permis d'enrayer la montée de la démographie galopante. sauf peut-être en Chine, mais c'est une dictature ! Aivanhov avait vu juste.
c'est pas le mec de la photo en statue de paul? ;)
RépondreSupprimerLa photo représente Vercingétorix !
SupprimerUn personnage intéressant, longtemps trainé dans les sectes par les bien pensants mass médias.
RépondreSupprimerEn passant sur son accent pénible, sa thèse sur le perversion permise par la pilule a résonné dans mon esprit, après faut voir ses solutions, mais les causes, à travers son analyse, me paraissent justes et limpides. Ses solutions sont, elles, sujets à caution.
Asca.
Est-ce qu'il a un permis de conduire ???
RépondreSupprimerAccent pénible, je confirme pour moi ^^
RépondreSupprimerJe me suis toujours demandé pourquoi on faisait un melting-pot avec l'amour et la sexualité. Car les deux, s'ils sont compatibles, sont deux choses bien différentes.
Nous pouvons aimer sans acte sexuel (et heureusement, sinon comment ferions-nous avec l'amour que nous éprouvons pour nos parents, nos enfants, nos amis... ?)
Et nous pouvons tout aussi bien avoir une sexualité sans amour.
Le fait de prendre la pillule permet une sexualité plus épanouie dans le couple. Effectivement, il est bien appréciable (sans doute surtout pour la femme) de savoir qu'une relation sexuelle ne débouchera pas sur une grossesse non désirée.
Dans l'ensemble, je suis assez d'accord avec ce que ce monsieur dit de la sexualité "débridée". Je n'ai pas trop compris ce qui avait trait à la beauté...
La "pilule" a "libéré la femme". Mais avec des effets secondaires physiques, psychologiques, et moraux, voire spirituels.
RépondreSupprimerEffets physiques : ces pilules sont parfois mal supportées, et posent des problèmes de santé, voire à long terme, peut-être des risques de cancer. Dans certains cas, on ne peut exclure que la pilule pose des problèmes d'altération de la fécondité : difficulté à tomber enceinte après arrêt de la pilule.
Effets psychologiques : la pilule encourage la dé-responsabilisation de l'homme, et sans doute aussi de la femme, au fond c'est la femme qui bouffe le médoc pour que l'homme n'ait plus besoin de "faire attention".
Effets moraux et spirituels : la pilule encourage la précocité sexuelle, la sexualisation précoce; la multiplication des partenaires, et donc une fragilisation des unions.
Et qui profite de la "pilule" ? hé bien, le lobby médical et le lobby pharmaceutique. Et de façon plus cachée, les Elites qui tentent de détruire les liens sociaux et la société humaine par le consumérisme et l'hédonisme débridés. La marchandisation de tout, à commencer par la sexualité et la procréation.Le féminisme a été une idéologie de la libération dévoyée, promue par les élites pour détruire la cellule familiale. Et cela a marché ! Dans notre société, jamais les humains n'ont été aussi individualistes et seuls, c'est l'argent qui commande tout.
Depuis l'ère de la pilule, les avortements et les familles mono-parentales et les divorces ne se sont jamais si bien développés dans le tissu social. Donc la pilule n'a pas rendu la femme, ni l'homme, ni leurs enfants, plus heureux, bien au contraire !
Je rajouterais de plus, que la pilule n'a pas permis d'enrayer la montée de la démographie galopante. sauf peut-être en Chine, mais c'est une dictature !
Aivanhov avait vu juste.
L'ami Pierrot