Mark Kendall, qui a mis au point cette technique de vaccination sans aiguille, vient d’être récompensé par le prestigieux Prix Rolex. Quatre autres chercheurs ont été également distingués dans le palmarès dévoilé aujourd’hui à Londres.
Le bio-ingénieur australien Mark Kendall voit ses travaux sur le
« Nanopatch » récompensés. Le chercheur de 40 ans a développé une
technique de vaccination sans aiguille. Son patch, d’environ 1 cm2, est
enrobé de vaccin séché : il est injecté dans la peau à l’aide de
micro-projections. Elles sont faites dans une couche superficielle de la
peau : la densité de cellules immunitaires cibles y est très élevée et
il n’y a aucun saignement, ce qui réduit beaucoup le risque d’infection.
La vaccination traditionnelle avec une seringue et une aiguille
(inventée en 1853) nécessite par ailleurs une conservation sous
réfrigération, alors que dans beaucoup de pays l’approvisionnement en
électricité est très aléatoire. Rien de tel avec le patch de Mark
Kendall : comme l’applicateur est enrobé de vaccin séché, aucune
réfrigération n’est nécessaire. L’équipe du chercheur australien espère
prochainement lancer des essais cliniques du « Nanopatch » en
Papouasie-Nouvelle Guinée.
Le prix Rolex a également récompensé quatre autres chercheurs,
sélectionnés parmi plus de 3500 candidats issus de 154 pays. Il s’agit
de :
Sergei Bereznuk (51 ans, Russie). Il a lancé
une campagne de sensibilisation auprès des jeunes pour protéger les
derniers tigres de Sibérie dans l’Extrême-Orient russe.
Barbara Block (54 ans, Etats-Unis). Sa campagne de
préservation des zones de l’océan Pacifique permet de suivre les
déplacements des prédateurs marins au large des côtes nord-américaines
grâce à une série de stations d’écoute sous-marine.
Erika Cuéllar (40 ans, Bolivie). Elle forme des
populations indigènes de Bolivie, du Paraguay et d’Argentine à la
conservation de la biodiversité dans un des derniers milieux vraiment
sauvages d’Amérique du Sud, le Gran Chaco.
Aggrey Otieno (34 ans, Kenya). Il est récompensé
pour son action auprès des centaines de mères et de bébés d’un
bidonville de Nairobi en leur assurant un lien vital avec des soins
obstétriques grâce à un centre de télémédecine.
Olivier Lascar
Sciences et Avenir.fr
Sciences et Avenir.fr
Un "progrès" fort ambigu, puisque nous connaissons les buts cachés (financiers, réduction de la population, stérilisation forcée, conséquences neurologiques et immunitaires...) des campagnes de vaccination.
RépondreSupprimerS'il n'y a plus d'injection, notamment d'adjuvants à effets nocifs (sels d'Aluminium, dérivés de Mercure, squalène...) voire d'impuretés (fragments d'ADN de cellules de culture du vaccin...) l'utilisation de "nano-particules" dans son principe me semble extrêmement dangereux.
Car cela ouvre la porte à des vecteurs diffusables dans l'organisme entier, possiblement mutagènes ou pouvant catalyser des réactions biochimiques.
La miniaturisation des circuits électroniques peut enfin permettre d'implanter dans l'organisme vacciné l'équivalent de "puces RFID".
L'ami Pierrot
P-S : le nom du prix, Rolex, est fâcheusement synonyme d'une marque ultra-élitiste, prisée par Sarkozy, de "montres" ou plutôt, de "bijoux de poignet hors de prix".
Au fond, la vaccination sans aiguille est un avatar marketing pour augmenter l'acceptabilité du "vaccin" en supprimant le phobie de l'aiguille.
Oui,le nom "prix rolex" est très comique!On peut imaginer que le gars qui a choisi ce nom là s'est bien amusé et manquait d'inspiration ce jour là!
RépondreSupprimerla science est une branche pourrie qui invente rarement des choses utiles et bienfaisantes pour l'humanité...et nous savons ce qu'il en est pour les chercheurs indépendants qui travaillent vraiment pour notre santé!
moi;je "cherche le soleil au milieu de la nuit".
la lobba
Et ils ont leurs cobayes en Papouasie-Nouvelle Guinée ! c'est à vomir!
RépondreSupprimerMaryse