Mais si les insectes sont détruits par les pesticides, alors pourquoi ensachent-ils les poires pour les protéger des insectes ?
Ceci dit, on peut retenir que l'ingéniosité humaine est grande, en particulier chez les Chinois... Peut-être pourraient-ils s'adonner à l'apiculture en installant des ruches et des champs de fleurs non traitées pour les nourrir, dans une "éco-culture" associant la culture, l'auxiliaire animal, et les conditions de sa survie. Il doit aussi être possible de sélectionner des variétés d'abeille plus résistantes à certains des pesticides.
La difficulté vient de l'absence de vision globale. L'arboriculteur (qui a besoin des abeilles) n'est pas l'apiculteur ni le cultivateur intensif (qui empoisonne les abeilles). Ce qui crée ces situation aberrantes. L'homme divise la nature, en sous-systèmes, alors que la nature est globale, intégrée, formant une entité biologique collective.
Mais si les insectes sont détruits par les pesticides, alors pourquoi ensachent-ils les poires pour les protéger des insectes ?
RépondreSupprimerCeci dit, on peut retenir que l'ingéniosité humaine est grande, en particulier chez les Chinois...
Peut-être pourraient-ils s'adonner à l'apiculture en installant des ruches et des champs de fleurs non traitées pour les nourrir, dans une "éco-culture" associant la culture, l'auxiliaire animal, et les conditions de sa survie. Il doit aussi être possible de sélectionner des variétés d'abeille plus résistantes à certains des pesticides.
La difficulté vient de l'absence de vision globale. L'arboriculteur (qui a besoin des abeilles) n'est pas l'apiculteur ni le cultivateur intensif (qui empoisonne les abeilles). Ce qui crée ces situation aberrantes.
L'homme divise la nature, en sous-systèmes, alors que la nature est globale, intégrée, formant une entité biologique collective.
L'ami Pierrot