Malgré les massacres, le combat continue pour les Libyens, ils veulent Kadhafi, le travail de désinformation occidental pourrait bien leur revenir en pleine face.
Le nouvel ordre mondial pourrait sortir ébranlé si la vérité venait à éclater. Pour plus d'information sur la libye écoutez les seuls journalistes d'investigation sur place Michel Collon et Thierry Meyssan (très décrié par la presse classique et pour cause).
Dommage que je ne comprenne que très mal l'anglais parlé.
RépondreSupprimerCette situation ne m'étonne guère : j'ai toujours entendu dire que le Libyens étaient pro-kadhafi. Et j'ai toujours pensé que cette guerre était fomentée par l'OTAN afin que quelques personnes puissent s'approprier les richesses de ce pays.
Pauvres gens qui subissent tout ça, alors qu'ils vivaient heureux et en paix !
Le grand intérêt est que ce reporter travaille pour CNN. Il révèle une "version alternative" de ce qui se passe en Lybie : des villes "rebelles" sont reprises par les Loyalistes.
RépondreSupprimerIl est évident, que Khadafi est considéré légitime par une grande partie des tribus Lybiennes. Sinon, comment expliquer qu'il n'a pas été capturé et une résistance aussi prolongée face à l'OTAN et aux forces dites "rebelles" rebaptisées à présent "légitimes" du CNT ?
Une situation à l'Afghane pourrait s'ensuivre, avec un conflit très long, toutefois jusqu'ici les interventions terrestres de l'OTAN sont restées marginales (officiellement il n'y en a pas, sauf des commandos des services d'élite pour entraîner les forces du NTC).
Malheureusement, le pillage du pays par l'Alliance restera possible vraisemblablement, et c'est le peuple Lybien qui sera spolié et massacré dans la guerre civile. Très cyniquement, donc, le NWO atteint son double objectif : dépeupler cette zone géographique et voler les ressources.
Seul un "sursaut de conscience" des peuples occidentaux à propos de ces manigances démentielles pourrait enrayer la machine à broyer du NWO. C'est possible, mais il y a encore du chemin à parcourir, pour bannir toutes ces guerres.
L'ami Pierrot