Nous les humains

J'ai l'impression que la pression exercée sur les occidentaux, voir le reste du monde, augmente de plus en plus. Elle devient perceptible dans l'air que l'on respire !

Internet, la télévision, alimentent toutes les peurs, il devient très difficile d'authentifier les infos colportées aussi bien par les internautes que par les médias officiels. Bientôt il sera impossible de savoir ce qui se passe autour de nous, si ce n’est déjà fait, sauf à le constater directement, mais souvent trop tard. Les libertés n'existent plus, les citoyens du monde entier peuvent être arrêtés à tout moment, sous n'importe quel prétexte. Les médias officiels canalisent l'attention des populations, à travers des émissions plus débiles les une que les autres et des informations prémachés par les politiques, les financiers et les gouvernants de tous poils.

La planète est plongée dans un vaste scénario hollywoodien, dont le script est écrit par les oligarques, ou leurs valets. Une sorte de 3D se déroulant à 100 à l'heure, ou personne ne peut plus analyser ce qui se passe vraiment, leurré par le martelage des infos et contre-infos, des mensonges, participant à la déliquescence de nos sociétés, arrivées en bout de course. Tout le monde participe, volontairement ou non, à l'abrutissement des masses, en relayant, en amplifiant ou en donnant sont opinion sur tout et sur rien, comme je le fais d'ailleurs en ce moment.

Que faire ?

Je n'en sais absolument rien, juste tenter ce qui nous passe par la tête, en espérant toucher, ça et là, quelque humain que l'on croise. Allez hurler à vos voisins, que dans peu de temps, notre société ressemblera à celle imposée par "l'ordre nouveau", le nazisme, avant de disparaitre ! A croire que l'atmosphère que nous respirons diffuse un anesthésiant, touchant nos sens et les leurrant au point de nous rendre totalement inconscient de la réalité, de la prison qu'est devenu notre planète.
Tout le monde est absorbé par son "boulot", ne pas le perdre, voir écraser un peut son collègue afin de se faire bien voir du chef, on ne sait jamais, si il advient un licenciement !

On se réfugie dans l'alcool, le sexe Internet, les rencontres "baise" sont devenues si simples. Et chacun d'y aller gaiement en disant que les autres n'ont plus de morale, personne ne respecte plus rien, la famille à disparue, les filles de 12 ans se maquilles et s'habillent comme des p... A croire que les parents sont devenus aveugles, sourds et ne voient plus leurs enfants les singeant ! Ce sont les autres, toujours les autres, chacun se croit détenteur d'une vérité toute personnelle, qu'il adopte comme une vérité universelle. Les gens sont seuls, perdus, ils tombent dans un abîme sans fond qui les aspire inexorablement, tel un malstrom chatoyant, plein de sons, de bruits qui saturent leur espace vital. Plus de place pour la réflexion, l'observation, la quête de connaissance, juste faire, faire et encore faire, tout et n'importe quoi, pourvu que cela corresponde à la "tendance" médiatique, ne pas se faire distancer par son voisin ou collègue de travail. Paraître, paraître vivre parce que l'on bouge, se trémousse au son du clairon de nos maîtres. Il s'agit peut-être d'un phénomène normal après tout, il n'y a peut-être rien à faire.

Tous les empires se font et se défont, au rythme des cycles cosmiques. Même si des psychopathes pensent pouvoir prendre le contrôle de cette humanité servile. Ils ont déjà échoués maintes fois par le passé, mais pensent réussir cette fois-ci. J'en rigole d'avance, comment le sentiment de sa propre supériorité peut-il masquer autant de puérilité. Cela en est consternant ! Comment une poignée de psychopathes et leurs valet ont-ils pu un jour penser qu'ils seraient les maîtres de la planète ? Se prennent-ils pour des dieux ? La réponse ne peut-être que oui ! Pour cela, ils ont développé des technologies permettant de réaliser le miracle absolue : devenir Dieu ! Mais leurs technologies ne peuvent que singer le cosmique, en influant le cours des choses, sans pouvoir l'arrêter. Le tout étant de "s'approprier" les effets de cette fin de cycle.
Augmenter et utiliser à leurs fins les cataclysmes naturels. Créer un niveau de peur jamais atteint sur la planète, induisant un immobilisme des masses, qui s'en remettent aux institutions de leurs pays afin de les protéger, de les aider. Bref, la dépendance à tous les étages.

Que faut-il faire ? Rien, les choses sont à leurs places, personne à sauver, puisque ceux sensés survivre à ce qui s'en vient sont déjà au courant, ils feront ce qu'ils ont à faire. Mais peut-être que tout ça est du vent, que c'est la peur qui m'égare, la schizophrénie.

Tout va bien bonnes gens, il est minuit moins une, dormez...

Paul