15 avril 2011

Karma or not Karma


Le Karma est un système de croyances, expliquant les relations de cause à effet, appliqué à la vie des humains. Il est enseigné dans certaines régions de la Terre, il se répand tranquillement sur la planète, véhiculé par le bouddhisme et le courant New Age, qui s’en inspire. Ce principe a des similitudes avec la dualité du bien et du mal, prônée en d’autres endroits de cette même planète, où l’on est récompensé ou punis, en rapport à la qualité de nos pensées et actes, par des « Instances  Divines ». Vous faites du tord à votre voisin, vous serez punis en conséquence, dans cette vie ou dans une autre. Vous faites du bien, il vous en sera fait, dans cette vie ou dans la suivante. Des enseignements formidables, qui auraient dû transformer l’humanité et la planète en un lieu harmonieux. Une grande partie de l’humanité connaît ces principes, une bonne part y adhère, alors, que se passe-t-il ? Les humains sont-ils incapables d’appliquer le système de cause à effet dans leur vie ? Est-ce trop difficile ? Le veulent-ils vraiment ? Comprennent-ils ce système ? Est-ce un leurre de la Matrice, afin de maintenir sa cohésion, grâce à une croyance en un avenir meilleur, pour ceux qui s’acharneront à « s’améliorer » ? Plus la vie est difficile, ce qui est apparemment le cas sur Terre,  plus les gens adhèrent à ces principes ou à d’autres (matérialisme). Toutes ces promesses, ces croyances, véhiculées depuis la nuit des temps, qui rendent supportable la dure réalité de la vie quotidienne. Même si le constat de leur efficacité n’est pas au rendez-vous.
Le chaos planétaire, croissant de façon constante, à peut-être d’autres explications…
Il y a plusieurs groupes d’humanoïdes distincts sur la planète, qui n’ont peut-être pas les mêmes impératifs. Un premier groupe majoritaire que vous connaissez, que nous qualifierons d’humains « standard », et un autre groupe, très minoritaire, que nous nommerons les « unités carbone », ou « minorité de blocage ». Le système de valeur de ces derniers, leur émotionnel, sont totalement différents des humains. Imaginez un être qui n’aurait aucune compassion, qui considère les humains comme des moutons vulnérables, manipulables  à souhait, et prêts à être tondus. Une minorité de ces « unités carbone » suffirait à maintenir l’humanité dans le chaos, depuis toujours. Ils occupent maintenant, de part leur nature insensible et prédatrice, la majorité des postes clés de notre planète. Ils n’ont cessé de contribuer, depuis leur création, au verrouillage du « rêve de la planète ». Ils récupèrent les doctrines religieuses, scientifique et politiques et les font appliquer d’une main de fer. Leur structure rigide, leur intelligence moyenne, limite la densité de médichloriens qui les habitent. Il n’y a qu’un seul groupe de médichloriens « mère » pour l’ensemble des « unités carbone ». Ils ont une conscience de groupe, comme les abeilles ou les fourmies. Ils sont mu par un même idéal : le service de soi, à n’importe quel prix.
Ils ne sont que les marionnettes d’un troisième groupe. Ne cherchez pas ce groupe autour de vous, ce serait peine perdue. La densité physique de ces entités prédatrices, ne nous permet pas de les voir. Elles sont le fruit de nos émotions, pensées, depuis notre création. Les égrégores générés et alimentés par l’humanité, sont devenus autonomes. Ils ont leur intelligence propre. Afin de se maintenir éternellement en vie, ils manipulent et désinforment les humains les plus réceptifs. Ces mêmes humains, prêtres, scientifiques, politiques, philosophes de tous temps, en font de même avec la masse des peuples. Ce troisième groupe, entretient le leurre de la Matrice.

Pour en revenir à la théorie des médichloriens, elle  précise que nous ne nous « incarnons » vraiment qu’une fois, en tant que cette entité cohérente et consciente que nous sommes, tout en conservant un fils conducteur grâce au groupe de médichloriens « mère ». Des évènements transparaissent, plus ou moins fortement, provenant des vécus de l’infinité des êtres qui nous ont précédé. Cela explique le phénomène des mémoires de vies antérieures présumées.
La vision d’évènements futurs correspond à la migration de médichloriens en provenance d’un autre espace-temps. Certains humains sensibles, ayant la capacité de percevoir le vécu de ces voyageurs d’un de nos futurs possibles.
Chaque expérience humaine, chaque vécu, se dilue à travers la migration des médichloriens, après notre mort. Le groupe de médichloriens « mère » apporte le sentiment de continuité à notre espèce. En provenance de la source de tout, les groupes de médichloriens « mères » on un plan, que nous ignorons, mais dont nous faisons parti. A nous, dans notre vie présente, de découvrir le bout de chemin qui nous concerne.