12 novembre 2024

Et si les Américains avaient aussi voté... pour une meilleure santé ?

Curieusement les électeurs Américains n’ont pas écouté la propagande de la campagne électorale telle qu’elle nous a été présentée en Europe, aurions-nous été baignés contre notre gré par une influence démocrate forcenée ? Notons que nos médias continuent imperturbablement à ne pas évoquer une direction politique capitale proposée par ce nouveau Président, celui d’une remise à plat drastique de leurs politiques de santé, souvenons-nous que leur espérance de vie frôle aujourd’hui celle… des Albanais (1). On rappelle pourtant que Robert Kennedy Jr a fait le choix de se rallier à Donald Trump dans le seul but de pouvoir s’attaquer à la corruption forcenée qui dévaste les instances fédérales du médicament, des produits de santé (dont les vaccins) et de l’alimentation. Si le grand ménage débute chez le maître du monde, alors la donne changera obligatoirement chez tous ses vassaux, enfin de l’espoir pour nous ! Voici un fragment de discours prononcé sur la chaîne TCN par notre plus grand espoir de changement sanitaire, il parle du sujet qui fâche le plus les tricheurs de tous poils, devinez ? Pourvu que les balles de fusil veuillent bien épargner ces deux hommes… Bonne lecture. 

« Je tiens à préciser que je ne veux pas priver les Américains de vaccins. Je ne veux pas imposer mes choix aux Américains. Si les vaccins fonctionnent pour vous, vous devriez pouvoir les obtenir. Et je veillerai à ce que cela soit le cas. Mais les gens doivent pouvoir faire un choix éclairé. Ils doivent donc disposer de données scientifiques fiables qui leur indiquent le coût et les avantages de ces produits, en particulier lorsqu’on leur ordonne de les utiliser ».

« 76 millions d’enfants par an doivent les utiliser. Et ce sont des enfants en bonne santé. C’est donc le seul produit médical qui est administré à des personnes en bonne santé. Il faut qu’un produit comme celui-là soit très solide, pour s’assurer qu’il n’y a aucun risque, car vous pouvez prendre certains risques si vous êtes malade pour aller mieux. Bien sûr. Mais si vous n’êtes pas malade, vous ne devriez pas être obligé de prendre un produit à moins qu’il ne soit infaillible, à moins que vous ne sachiez quels sont les… vous savez, quels sont tous les coûts et les avantages ».

« Le problème avec les vaccins, c’est qu’ils ont été introduits à l’origine par le Service de santé publique, qui est l’un des cinq services militaires. C’est pourquoi il existe un médecin général. Et le Service de santé publique les a introduits et les a promus comme une arme de défense de sécurité nationale contre les attaques biologiques contre notre pays. Ils voulaient donc s’assurer que si les Russes nous attaquaient avec de l’anthrax ou un autre agent biologique, ils pourraient rapidement formuler un vaccin et le déployer ensuite auprès de 220 millions de civils américains sans obstacles réglementaires ».

« Un produit médical normal prend environ huit ans pour arriver sur le marché, car il doit passer par des essais contrôlés en double aveugle contre placebo et il faut voir les effets à long terme. Il y a de nombreux effets sur chaque produit médical qui ont de longs horizons de diagnostic et de longues périodes d’incubation. Ils ne voulaient pas passer par là parce qu’ils disaient que ce serait une urgence nationale.

Donc au lieu de l’appeler un médicament, nous allons l’appeler un produit biologique et nous allons exempter les produits biologiques des études de sécurité préalables à l’homologation ».

« Il n’existe donc aucun vaccin de ce programme, parmi les 72 vaccins, qui ait jamais fait l’objet d’une étude de sécurité préalable à l’homologation, contrôlée par placebo, contre un véritable placebo. Et c’est un tort, car cela signifie que personne ne sait quels sont les profils de risque de ces produits.

Et personne ne peut vous dire si ce produit évite plus de problèmes qu’il n’en cause ».

« Et ce que je ferai, vous savez, si on me donne ce poste à la Maison Blanche, c’est que je m’assurerai que ces études soient réalisées, que les comités qui approuvent ces produits soient composés de personnes qui ne soient pas chargées de conflits d’intérêts.

C’est donc de la vraie science, que les gens soient désintéressés et que les médecins, les patients et les Américains sachent exactement quels sont les coûts et les avantages de chaque vaccin et puissent prendre une décision rationnelle ».

Robert F. Kennedy Jr
Novembre 2024

kennedy fauci

Note et sources:

(1)  https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/chiffres/europe-pays-developpes/esperance-vie/

Source

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