Une étude exhaustive menée en Allemagne et en Suisse montre que le corps humain est chargé de protéines de pointe après une infection au SARS-CoV-2 et une vaccination contre la COVID-19.
Une étude exhaustive et très graphique réalisée par Scholkmann et May a clairement montré que les syndromes de lésions vaccinales du COVID long et du COVID-19 ont un élément physiopathologique commun : la protéine Spike qui persiste dans le corps, c’est-à-dire qu'elle circule dans le sang, s'intégrant dans la paroi des vaisseaux sanguins et profondément dans les tissus et les organes.
Dans le cas du COVID long, la protéine Spike survit sous forme de segment S1 dans les globules blancs. Cependant, après la vaccination, la protéine Spike S1-S2 sur toute sa longueur se trimérise et se retrouve dans la circulation sanguine. La protéine Spike est la cause de l’inflammation, des anticorps mal orientés et du stress oxydatif, qui font débat dans de nombreux textes de centres médicaux universitaires, qui refusent d’envisager la protéine Spike comme étant le problème principal.
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