15 août 2024

Variole du singe : un virus manipulé en laboratoire

 
Virus des forets de l’Afrique orientale, à transmission PHYSIQUE (sang, vésicules sur la peau) et pas par voie aérienne, comme la variole humaine. Virus muté en labo qui mutera plus encore avec les vaccinations.

L’OMS déclare que le Moneypox est une urgence de santé publique de portée internationale et prévoit de déployer deux vaccins.

L’un est le vaccin Jynneos et l’autre est un vaccin japonais non homologué.

On estime que 3,7% des malades décèdent, ce qui est plus élevé que ce qui était annoncé pour le COVID au début : 14.000 cas et 524 décès (la plupart chez les enfants) en 2024. C’est extrêmement improbable pour un certain nombre de raisons :

a) C’est 20 fois plus élevé que le taux de mortalité de l’épidémie de variole du singe de 2022-23

b) Il est impossible d’obtenir un taux de mortalité précis en République démocratique du Congo, où il y a peu de routes et très peu d’infrastructures modernes. En fait, le Dr Inguena, président du comité d’experts de l’OMS, a déclaré lors de la conférence de presse d’aujourd’hui, que les cas de VIH étaient sous-déclarés. Il a également noté que certains décès concernaient des patients atteints d’une maladie à un stade avancé du VIH.

c). On nous a d’abord dit que la variole du singe avait un taux de mortalité de 1 à 10 % en Afrique, ce qui peut être vrai ou non, mais le taux de mortalité en Occident était plutôt de 0,1%.

Le Dr Inguena a également déclaré qu’il s’agissait d’une « nouvelle forme de variole du singe » avec des « lésions atypiques » ; nous devons donc examiner le génome et avoir une idée de son origine.

Voici le vaccin LC16 dont l’utilisation est prévue :

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7115618/

Tedros n’a pas nommé les vaccins qui recevront une autorisation d’utilisation d’urgence, mais Nass a déclaré qu’il existe deux vaccins contre la variole du singe : Jynneos et ACAM2000.

Les deux ont été initialement approuvés pour lutter contre la variole. Jynneos a été homologué pour le traitement de la variole du singe aux États-Unis en 2019, alors qu’aucune épidémie n’était en cours. ACAM2000 a été « mis à disposition pour une utilisation contre le Monkeypox lors de l’épidémie de 2022, dans le cadre d’un protocole EA-IND (Expanded Access Investigational New Drug) ».

Ces vaccins provoquent des myocardites, des péricardites et d’autres effets secondaires graves à des taux élevés, a déclaré Nass, comme l’indiquent les étiquettes des deux médicaments .

Aucun des vaccins n’est approuvé pour les enfants de moins de 18 ans, bien qu’en 2022, Jynneos ait reçu une autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis pour les enfants de moins de 18 ans, considérés comme à haut risque.

Les responsables des Centres africains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont signalé que la majorité des cas et des décès dus à la variole du singe concernent des enfants de moins de 15 ans.

Cette maladie est apparue dans les années 1950 chez le singe et le premier cas humain remonte à 1970. La fièvre est généralement le premier symptôme qui se manifeste, suivi «d’une éruption cutanée, qui commence souvent sur le visage puis peut s’étendre à d’autres parties du corps, dont les paumes des mains, les plantes des pieds et les organes génitaux»

Un virus manipulé en laboratoire comme le démontre cette étude

Les auteurs de l’étude sont Jean-Claude Perez et Valère Lounnas du Laboratoire européen de biologie moléculaire. Leur étude s’intitule « Mai 2022 : évolution particulière des génomes du virus de la variole du singe ».

Les scientifiques ont comparé l’évolution de 14 génomes du virus de la variole du singe dans le but de découvrir des mutations, ou d’autres évolutions virales (recombinaison), qui pourraient expliquer l’impact soudain de cette épidémie circulante de très faible ampleur.

Par hasard, les scientifiques ont découvert que le prétendu virus de la variole du singe en circulation contient une séquence longue de 30 T au centre du génome de la variole du singe, entre l’ARN dépendant de l’ADN et la protéine d’inclusion de type A de la variole bovine.

Pourquoi est-ce étrange ? Eh bien, selon les scientifiques, c’est parce que ce gène n’est jamais complètement présent dans une séquence. Les scientifiques affirment que même si ces résultats peuvent être courants à la fin d’un génome, par exemple à la fin du virus de l’encéphalite du singe, ils ne sont presque jamais présents complètement dans une séquence.

Vous pouvez lire l’étude complète par vous-même ici.

Pour la première fois de l’histoire, le virus de la variole du singe serait en circulation dans plusieurs pays du premier monde en même temps. Ce virus aurait subi plus de 50 mutations en l’espace de 4 ans, au lieu des 50 ans que cela aurait du prendre. Et nous savons maintenant qu’il contient quelque chose qui ne devrait pas être là.

http://globalauthorid.com/WebPortal/ArticleView?

Une nouvelle étude publiée par l’Institut national de la santé du Portugal a révélé des preuves que le virus responsable de l’épidémie de variole du singe qui sévit en Europe, en Amérique et en Australie, a été fortement manipulé en laboratoire par des scientifiques, et d’autres preuves suggèrent qu’il a été libéré intentionnellement.

Alerte mondiale de l’OMS = Danger maximum. Le danger vient de l’OMS, pas de la variole du singe. Le cirque recommence…

Visioconférence avec des expertes dont deux Docteurs (une médecin et une chercheuse :

@BanounHelene) où l’on explique pourquoi l’antivariolique n’a pas prouvé son efficacité et présentait beaucoup de cas d’effets secondaires graves à gravissimes : https://youtube.com/watch?v=nlmCdCu-qWE… Le mythe du « vaccin qui a éradiqué la variole » ne tient plus.


TOUT SAVOIR SUR LE VIRUS

1. En gros – infos sur le virus: – Virus des forêts de l’Afrique orientale à transmission PHYSIQUE (sang, vésicules sur la peau), on l’attrape par morsure. 2 variants.

Un variant avec 0 % de risques de mortalité et de morbidité et l’autre entre 7 et 10%.

Contamination inter humains : le risque le plus fréquent est la contagion par la peau : les literies, le partage de vêtements d’individus qui ont des papules et pustules. Ne pas embrasser la peau des malades.

Transmission aérienne : aucune

Ce n’est pas une MST. Le Dr Marc Van Ranst, en Belgique, a gommé cette énormité suite à un incident dans la communauté gay lors de l’alerte précédente :

"Je vais être clair, si l'on a des relations sexuelles avec un patient malade d’EBOLA, on est sûr de l’attraper, mais aucun esprit sensé (même chez les journalistes les plus bêtes) n’oserait dire que Ebola est une MST ! Idem pour le monkeypox."

Donc qui a des rapports avec un malade avec des pustules aura de graves problèmes, n’est ce pas ?

La notion de porteurs asymptomatiques n’existe pas !

Soit l'on est malade et contagieux et l'on a des pustules, soit l'on n’est pas malade et pas contagieux…

Souvenez-vous des literies contaminées. Un lit peut être contagieux !

2. Info sur un vaccin spécifique : Il n’existe pas encore, mais on va proposer d’utiliser celui pour la variole humaine (qui est un virus différent), car il y a une immunité croisée.

Nous fûmes tous vaccinés jusqu’en 1980, selon les endroits du globe. Donc inutile à 1000 % si vous êtes nés avant 1980. Vous avez des anticorps croisés.

Si vous êtes nés après 1980, à moins que vous n’aimiez lécher la peaux des pustuleuses, vous balader dans la foret équatoriale ou aimer copuler avec des malades graves, aucun risque. Le vaccin anti variole est basé sur une souche de variole qui cré une mini-maladie locale (virus vivant atténué) car il a perdu les gênes pour se disperser au delà de quelques cellules de peau. Et donc il cré une immunité sans MALADIE, contre la variole humaine.

Mais il y a un gros problème : Le monkeypox, qui est non dangereux la plupart du temps, possède les 3 gènes manquants, et peut donc les « offrir » à la souche vaccinale ! Ce processus s’appelle "recombinaison". Les pox virus sont les champions de la recombinaison moléculaire !

Donc si on vaccine, le vaccin anti-variolique en lui-même génèrera des effets secondaires qui peuvent être plus dangereux que la maladie initiale, un fois recombiné avec le monkeypox.

C’est quasi une certitude statistique qu’il y aura RECOMBINAISON, et donc un scénario du type Jurassic Park, ou on ressuscite la bonne vielle variole qui avait disparue !

Et si le monkeypox devait se répandre comme une traînée de poudre ? Ce serait LA preuve d’un release VOLONTAIRE et organisé, donc une attaque bioterroriste planifiée. Un virus naturel qui tue rapidement, ne PARVIENT jamais à se disperser efficacement.

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