Pourcentage des États-Unis qui atteindra 32°C d'ici le 23 juin parmi les plus bas jamais enregistrés

Malgré l’hystérie du copier-coller des grands médias à propos d’une « vague de chaleur sans précédent » et de « températures record », les données racontent une tout autre histoire.

Le graphique ci-dessous montre le pourcentage de stations météorologiques américaines atteignant 32°C du 1er janvier au 23 juin de chaque année, de 1895 à 2024. La ligne bleue représente les données annuelles, tandis que la ligne rouge indique la moyenne mobile sur 10 ans.

Cette année, le pourcentage s'avère particulièrement faible, se classant au 19e rang le plus bas depuis le début des enregistrements il y a 129 ans, à ≈55 %. Cela contredit les affirmations des médias faisant état d’une « chaleur mortelle et sans précédent », soulignant un décalage évident entre la vérité et la narrative médiatique.

À titre de référence, le pourcentage le plus élevé enregistré était en 1933 (89,8 %) et le plus faible en 1982 (42,4 %).

Malgré les faits incontestables, des citations sensationnelles continuent d’inonder les médias de propagande occidentale : « Des vagues de chaleur sans précédent balayent le pays. » « Les températures record soulignent le besoin urgent d’une action climatique. »

Ces affirmations exagérées visent à tromper le public en tordant la réalité. Les alarmistes acceptent volontiers TOUT ce qui soutient leur dogme, ils sont des moutons déguisés en mouton. "Les rejets de CO2 liés aux combustibles fossiles auraient refroidi la planète tout en la réchauffant", est l'une de leurs dernières absurdités :

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