L’enfer est pavé de bonnes intentions.
Bien évidemment qu’il faut réduire la place de la voiture polluante !
Pour autant, cela ne peut pas se faire par des oukases municipaux d’idéologues et de technocrates qui pensent en « chambre ».
Dans la vraie vie, nous ne sommes pas capables de nous passer de tous les véhicules comme les camions, les camionnettes, les utilitaires de tous ceux qui assurent les services supports rendus aux populations des villes.
On ne livre pas un chauffe-eau de 300 litres (même vide) à trottinette électrique !
Cette transition ne peut que prendre du temps, surtout, que les professionnels ne disposent pas aujourd’hui de camionnettes électriques avec autonomie et capacité de chargement suffisantes !
Alors logiquement la belle idée de la ZFE se fracasse sur le mur de la réalité et c’était prévisible et prévu.
C’est une bonne chose que de rendre cette transition tout simplement gérable et supportable par tous. Quand on veut aller trop vite, l’adaptation n’est pas possible et nos législateurs finissent par reculer pieds au mur, cette incapacité d’anticipation est tout de même un problème fondamental.
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