Catherine Teilhet fouille inlassablement dans les statistiques officielles pour les rendre lisibles. Comme elle stocke les anciennes données pour les comparer avec les nouvelles, ce que ne font pas nos journalistes et se gardent de communiquer les autorités, la dernière fois elle nous informait de la disparition soudaine de milliers de pathologies et de décès dans les statistiques des effets secondaires des vaccinations de l’Agence Européenne du Médicament. Voici son dernier travail sur la mortalité infantile, texte et tableaux :
« Les statistiques, c’est comme le bikini. Ce qu’elles révèlent est suggestif. Ce qu’elles dissimulent est essentiel« , Aaron Levenstein, économiste et statisticien américain …
Les données INSEE des décès infantiles toutes causes confondues de 2000 à février 2024 sont préoccupantes ; en effet, si, ainsi que le démographe Emmanuel Todd l’avait anticipé pour la Russie d’avant Vladimir Poutine, le taux de mortalité infantile est corrélé à l’état de santé général du pays, alors, la France va mal, vraiment mal !
Voici les données de la mortalité infantile des enfants de moins d’un an sur les 24 dernières années, alors que, bon an, mal an, les taux de mortalité infantile diminuent lentement, 2022 et 2023 sont des années à la hausse, à rebrousse poil de la baisse attendue…
De même, pour les enfants de moins de 13 ans, 2022 affiche une recrudescence de mortalité, les rangs 12 et 11 sont les classements (en rouge et gras) des pires « scores » par année depuis 2012 …
Par contre, les taux de décès de l’année 2020, année du Covid, bien que supérieurs à ceux de 2016, 2017, 2018 et 2019, sont nettement inférieurs à ceux de 2022, année des énièmes doses d’injections anti-Covid … Bizarre, vous avez dit bizarre, pas de matraquage médiatique à ce sujet ? Doit-on en conclure qu’il fut moins mortel de laisser dépérir sans soins des dizaines de milliers de personnes âgées, voire de les achever à coup de Rivotril, que d’injecter les survivants, à moins que j’ai raté un épisode, une météorite aurait-elle heurté brutalement la France, semant la mort sur son passage en 2022, je n’en n’ai pas souvenance ?
Mais qui décède depuis quatre ans ? Les plus de 65 ans, et, en 2022, les nouveau-nés, la barrière placentaire n’a peut-être pas pu suffisamment les protéger des injections lors de la grossesse, suis-je médisante …
Signalons également que quasiment tous les pays au monde signalent une baisse de la natalité de 5 à 10 % selon les pays, depuis 2-3 ans. Lorsqu’elle était préexistante comme en France, l’aggravation est nette.
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