31 janvier 2024

Une Madame Irma version “Jacques a dit”

Edito Bernard Attali
Les frangins Attali à l'Elysée, à l'époque de François II, pour une remise de hochet. Nanard et Jacquot ont toujours été dans le même bateau ! Et pour les autres ? Au choix : ramer, et ferme, ou se noyer. Pierre Verdy / AFP

Bernard Attali est le frère jumeau de Jacques Attali. Comme si cela ne suffisait pas déjà amplement à ce que des complotistes, très premier degré, lui urinent au visage, ce monsieur est énarque, et a grassement vécu de l'argent public, puisqu'il a été, entre autres bonnes places attribuées par les copains des copains, directeur de cabinet du commissaire au Plan, PDG dAir France, directeur financier de la Délégation à l'aménagement du territoire, délégué à la DATAR (l'aménagement du territoire) auprès du Premier Ministre, président du Comité de politique régionale et président de l'Agence de développement de la région Île-de-France.

Et se goinfrer sur le dos du contribuable, c'est ce qu'il continue de faire, notre Bernard Attali, puisqu’il est aujourd'hui magistrat honoraire à la Cour des comptes, un de ces emplois fictifs officiels où, en toute fraternité, logent des individus souvent peu d'équerre, n'ayant pas de fonction exacte, exceptée celle d'être payés à ne rien faire ou presque (jusqu'à 21000 euros par mois, voire davantage, salaire net plus avantages en nature, et la plupart du temps, ceux-ci sont nombreux). 

Le top du top dans cette utilisation nobiliaire scandaleuse de l'argent des gueux, ce sont les préfets hors cadre. Postes créés dans le but affiché d'octroyer une rente à vie à des centaines de privilégiés (presque un millier) profitant de la passivité incroyable du peuple, quand il s'agit de se faire dépouiller. On sait depuis longtemps nos gouvernants très doués pour nous rouler dans la farine, ou, depuis 2017, dans de la poudre de perlimpinpin... 

Or, tenez-vous bien, ce vorace parasite de Bernard Attali se permet de dire à la populace ce qui va être bien ou mal, correct ou incorrect durant l'année 2024. 

Vous en avez la liste exhaustive en ouvrant ce lien : 

Et même si ce n’est pas dans Le Point que M. Attali a publié cela, une petite mise... au point s'impose. Et point par point !

Point 1 : l’auteur propose que les Européens puissent s’inviter dans les élections américaines ! En quoi diable les Américains le méritent ? Le respect de l'auto-détermination des Américains et des peuples (par utilisation, par exemple, du référendum que son frère Jacques, en bon Dr. Knock, ne recommande qu'en suppositoire), Bernard Attali n'en a visiblement pas grand-chose à secouer. Inversion accusatoire typique chère aux manipulateurs (gouvernements, médias ou services secrets) : ce sont les Américains qui se sont immiscés dans toutes les élections nationales (présidentielles et législatives) européennes, ces vingt dernières années au moins ! 

Bernard Attali oublie en outre délibérément de faire état qu’un autre candidat à la prochaine présidentielle américaine existe, en dehors de Biden et Trump, en l’occurrence Robert Kennedy Jr. Et puis, qu'a fait Donald Trump durant son mandat, qui peut effectivement laisser à penser que sa réélection serait un recul de la démocratie ? Nanard n’exprime qu’une opinion : en bon intellectuel de cour (pléonasme ?), Bernard A. nous vend du prêt-à-penser et du politiquement correct. 

Point 2 : Les élections mettent en danger la démocratie. 

Ah ? Tel un boucher consommateur de haschich en pétard, affirmant tout de go que consommer de la viande est un danger pour l'écosystème, notre globaliste inocule ses idées psychédéliques en donnant l’impression de parler du haut d’un piédestal. Nanard, tu peux relire la Boétie, aucun problème, mais tu peux également te rappeler, à ce titre, que le peuple est asservi parce que les tyrans avancent masqués, utilisant la division et la collusion. Et que le rôle d’un Président, comme celui des fonctionnaires, est d’agir dans l’intérêt des Français et d’être à leur service.  

Point 3 : Si l'Ukraine est défaite, on fait un grand pas vers la troisième guerre mondiale. 

Quid des accords de Minsk ? Quid de notre rôle dans le non-respect de ces accords ? Quid de la quasi-déclaration de guerre des Européens à la Russie avec l'envoi d'armes aux Ukrainiens ? Le Parlement a-t-il été consulté pour l’envoi d’armes de guerre ?  

Nanard est encore une de ces personnes qui vit dans un Métavers et refuse de voir plus loin que le bout de son nez. 

Point 4 : La loi du Talion. 

OK. Mais alors, l'équité prônée par le Roi Salomon n'exige-t-elle pas la reconnaissance de deux États et d'œuvrer pour la paix ? La religion n'a pas sa place dans la définition d'un État. Quant à la guerre, c'est en soi une religion que les deux parties principales au litige entretiennent à coups de millions. 

Point 5 : Fais ce que je dis, ne fais pas ce que je fais. 

Un classique. Pourquoi ne pas questionner tout simplement la transition énergétique, le tout-électrique, la COP28 et son cirque ambulant de conseillers qui tournent autour de la planète dans des jets privés.

Point 6 :  Les cygnes noirs. 

Qui en est à l’origine ? Qui, au fait, voulait mettre l’économie russe à genoux ? 

Point 7 : La dette. 

Vertige de l'amour. L'amour fou. L'amour vache. Ces déconnectés de la réalité que sont les gars de la haute finance n'ont que ce mot à la bouche. Demandent-ils au gouvernement de justifier les 800 milliards de dettes supplémentaires depuis 2020 ? Rien n’est fait pour endiguer cette escalade.  

Point 8 : “Le Parlement européen. 

D'après notre triste sire, c'est couru d'avance : nous allons tout droit vers une assemblée remplie de députés ne voulant pas de l’Europe ! S'il vous plaît, monsieur, faites-vous violence : ayez un peu de respect pour les peuples. D’ailleurs qui dit que les élections vont bien se tenir ? Il y a suffisamment de révoltes en cours, de mécontentement, pour que l’on s’interroge.  Et Ursula von der Leyen, empêtrée dans des affaires, notamment ces contrats juteux passés avec l’industrie pharmaceutique, qui après s’être vue à l’OTAN se retrouve cantonnée à mendier sa réélection ?  Pensez-vous que les citoyens en veulent ? 

Point 9 : L’IA, un saut dans l’inconnu.   

Mais l’IA, n’est-ce pas l’opposé de la bêtise humaine, une forme de garde-fou ? 2024 doit être l'heure de la ré-humanisation, non de l’IA. 

Point 10 : Les JO de Paris 

Son Altesse Bernard Ier en a décidé ainsi : Paris n'est plus aux Parisiens, pas plus qu’aux Français. La grande question : comment vont-ils faire pour se déplacer dans la capitale cet été ? Faudra-t-il disposer d’un passe pour les transports, cantonner les Parisiens chez eux ?  Et combien va coûter la petite sauterie ?  

Bernard Attali, c'est dix sur dix dans le Métaverse ! Mais dans l’univers réel de 99 % des Français pour qui ce monde n’est pas le leur”, c’est plutôt du zéro pointé. Zero plus zéro, la tête à Tattali.  

Professeur Attali, c'est une bien faiblarde copie que vous nous rendez là. A refaire ! Et on s'applique un peu.  

Allez, comme au flipper : Same player shoot again”...

Source

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.