Alors que le monde semble brûler sur de nombreux fronts, Israël et l’Ukraine viennent à l’esprit, le moment serait peut-être venu de revenir sur un discours prononcé par Chi Haotian, ministre chinois de la Défense nationale entre 1993 et 2003. En 2005, le Epoch Times a réimprimé un discours de Chi dans lequel il décrivait « l'anéantissement de l'Occident » et la domination mondiale de la Chine. Il y a trois ans, le discours a été repris sur le blog de JR Nyquist.
Alors que les États-Unis sont occupés au Moyen-Orient et en Europe de l’Est, la Chine pourrait considérer cela comme le moment idéal pour envahir Taïwan, dans le but d’entraîner les États-Unis dans un conflit direct avec la Chine.Les Chinois peuvent voir que les États-Unis sont actuellement dirigés par une bande d'amateurs incompétents, qui se soucient davantage du fait que les militaires empruntent la voie du réveil, qui s'inquiètent de l'utilisation de pronoms « appropriés », de spectacles de drag queen et qui veillent à ce qu'il y ait un quota approprié d’individus de genre flou qu'ils placent à des postes de haut rang.
Voici quelques extraits du discours de Chi :
" Je suis très excité aujourd'hui parce que l'enquête en ligne à grande échelle sina.com qui a été réalisée pour nous a montré que notre prochaine génération est très prometteuse et que la cause de notre parti sera poursuivie."
En répondant à la question « Allez-vous tirer sur des femmes, des enfants et des prisonniers de guerre ? », plus de 80% des personnes interrogées ont répondu par l’affirmative, dépassant de loin nos attentes.
Comparez cette analyse avec ce que nous voyons aujourd’hui dans les rues des États-Unis.
Lorsque Israël a été impitoyablement attaqué par le Hamas il y a environ deux semaines, avec plus de 1.000 hommes, femmes et enfants israéliens massacrés, quiconque doté d’un minimum de bon sens comprendrait que non seulement Israël devrait réagir, mais aussi ils doivent répondre.
Pourtant, nous assistons à des manifestations dans les villes et sur les campus universitaires à travers les États-Unis, accusant Israël d'avoir réagi, se justifiant par la brutalité du Hamas.
Pouvons-nous nous attendre à ce que l’un de ces petits morveux pleurnichards défende notre pays contre l’agression chinoise ?
Chi a déclaré qu’une période de 20 ans de « paix et de développement » devait prendre fin et qu’à sa place, une nouvelle phase devait avoir lieu, qu’il a appelée « la modernisation sous le sabre ».
Chi a reconnu que l'enquête commandée n'était pas seulement conçue pour déterminer si les jeunes Chinois seraient prêts à recourir à la force meurtrière contre leur ennemi perçu, mais plus encore pour déterminer leur attitude à l'égard de la guerre. Il a déclaré : « Si les futurs soldats n’hésitent pas à tuer même des non-combattants, ils seront naturellement doublement prêts et impitoyables pour tuer des combattants. »
Cependant, l’intention des dirigeants chinois allait bien au-delà.
« Le but du Comité central du PCC, en menant cette enquête, est de sonder l'esprit des gens. Nous voulions savoir : si le développement mondial de la Chine nécessite des morts massives dans les pays ennemis, notre peuple approuvera-t-il ce scénario ? Seront-ils pour ou contre ?"
Chi a ajouté que dans son esprit, le développement de la Chine « fait référence à la grande revitalisation de la nation chinoise, qui, bien sûr, ne se limite pas à la terre que nous avons actuellement, mais inclut également le monde entier ».
Domination mondiale
Dans un article pour Newsmax en 2009, Lev Navrozov a écrit que Chi pensait que les États-Unis seraient la première cible puisque, en tant que démocratie la plus puissante du monde et l'une des superpuissances mondiales, éliminer les États-Unis rendrait le reste du monde relativement docile.
Navrozov a déclaré que dans le cas des États-Unis, la Chine chercherait à empoisonner jusqu’à deux tiers de la population, très probablement par le biais d’une guerre chimique ou éventuellement par une infection par des armes biologiques (COVID-19 ?).
Une fois la majeure partie du peuple américain éliminée, la Chine saisirait toutes les propriétés privées pour elle-même. Le tiers des Américains restants seraient alors des serviteurs de leurs nouveaux maîtres chinois.
Le discours de Chi a surpris les dirigeants chinois, qui cherchaient à se faire passer pour des citoyens du monde coopératifs tout en planifiant secrètement une domination mondiale. COMME Navrozov a écrit : « La Chine s’est préparée secrètement à la domination mondiale. »
Tout comme l’Allemagne hitlérienne, la Chine se considère comme une race supérieure. Chi l'a admis. Il affirmait que les Chinois n'étaient pas originaires d'Afrique (le récit biblique d'Adam et Ève).
Au lieu de cela, ils « sont originaires indépendamment du pays de Chine ». Il a affirmé que les chercheurs chinois affirment que leur civilisation remonte à « plus d’un million d’années ».
Chi allègue que les Chinois « se sont répandus dans toutes les Amériques et dans les régions bordant le Pacifique, et qu’ils sont devenus des Indiens dans les Amériques et dans les groupes ethniques d’Asie de l’Est du Pacifique Sud ».
Chi a imputé à « la complaisance, l’étroitesse d’esprit et l’auto-fermeture » de la Chine le fait que cette nation ait été dépassée par la civilisation occidentale. Il affirme qu’à terme, le centre du monde reviendra à la Chine. Il a prédit que « le 21ème siècle sera le siècle chinois ».
Chi a déclaré que la Chine "doit emprunter les précieuses expériences de l'histoire humaine en tirant parti des fruits exceptionnels de la civilisation humaine et en tirant les leçons de ce qui est arrivé à d'autres groupes ethniques."
Il a déclaré que la chute de l’Allemagne et du Japon serait instructive pour la Chine.
Dans le cas de l’Allemagne, écrit-il, ils ont mis « une grande importance sur l’éducation du peuple, en particulier de la jeune génération ». Dès leur plus jeune âge, les enfants allemands ont appris que les Allemands étaient supérieurs et que leur « mission » était d’être les « seigneurs de la terre ».
Il a notamment critiqué le Japon et l’Allemagne pour avoir affronté trop d’ennemis à la fois, agi de manière trop impétueuse (Pearl Harbor) et a refusé d’être impitoyable lorsque cela était nécessaire. Entraîner les États-Unis dans la guerre beaucoup trop tôt est ce qui a entraîné la défaite des puissances de l’Axe, a-t-il soutenu.
Chi a admis que si le Japon et l'Allemagne avaient prévalu, la Chine d'aujourd'hui n'existerait probablement pas puisque le Japon aurait régné sur ce pays. Il propose cependant que le Japon aurait fini par conquérir l’ouest de l’Allemagne et « unifier le monde entier ».
Chi dit que ce que nous considérons comme notre plus grande force, en tant que République représentative, sera notre chute dans une guerre. Il a noté que les États-Unis n’ont « jamais connu de guerre sur leur continent ». (Il n'a apparemment pas entendu parler de la guerre civile). Pourtant, il estime que notre système de gouvernement, d’une certaine manière, fait des États-Unis une cible.
« Une fois que les ennemis (des États-Unis) viseront le continent, ils atteindront Washington avant que le congrès ait fini de débattre et autorisé le président à déclarer la guerre. Mais nous, nous ne perdons pas de temps sur ces choses insignifiantes », a écrit Chi.
"La direction du Parti est prompte à prendre des décisions. Une fois qu’une décision est prise, elle est immédiatement mise en œuvre. On ne perd pas de temps sur des choses insignifiantes comme dans les pays capitalistes. C'est notre avantage !"
Bien qu'il ne l'ait pas dit directement, Chi a également expliqué pourquoi les Chinois persécutent les chrétiens. Il a déclaré que si les gens « adorent un dieu, vous ne pouvez pas adorer une personne en même temps, à moins de reconnaître cette personne comme le représentant de ce dieu, comme c'est le cas dans les pays du Moyen-Orient ».
Il a déclaré : « ... si nous laissons tous les Chinois écouter et suivre Dieu, qui nous écoutera et nous suivra docilement ? » Pour parvenir à ses fins, Chi a déclaré que la Chine devait suivre les trois leçons apprises par l'Allemagne à la suite de Seconde Guerre mondiale :
« Saisissez fermement l'espace vital du pays ; saisissez fermement le contrôle du Parti sur la nation ; et saisissez fermement la direction générale vers la position de « seigneur de la terre ». » Chi a reconnu que « l'espace vital des pays occidentaux est bien meilleur que le nôtre, citant les forêts, l’air pur, l’eau potable et une densité de population moindre.
Ensuite, il a écrit que la Chine devait renforcer sa position de leader. Chi a écrit que la seule façon de protéger la Chine en tant que pays était de protéger la position de leadership du Parti communiste chinois. Il a écrit que la manifestation du 4 juin 1989 sur la place Tiananmen avait servi d'avertissement au PCC, soulignant que si la Chine se préoccupait uniquement de son économie, le PCC pourrait perdre le contrôle.
Chi s'est dit préoccupé par le fait que « l'émeute » du 4 juin aurait pu se transformer en une transition pacifique en Chine, qui aurait vu le Parti communiste destitué définitivement. La conclusion? Il a écrit que la seule façon d'empêcher une telle transition à l'avenir était pour la Chine de transformer « la force nationale du pays en une force de première frappe extérieure – ce n'est qu'en amenant les gens à sortir – que nous pourrons gagner pour toujours le soutien et l'amour du peuple chinois pour le Parti communiste."
Il a écrit qu’en agissant ainsi, « le peuple chinois devra dépendre du Parti communiste. Ils suivront toujours le Parti communiste de tout leur cœur et de leur esprit. » En d’autres termes, il ne s’agissait pas de ce qui était le mieux pour le peuple chinois… mais de ce qui était le mieux pour la structure du pouvoir du Parti communiste chinois.
Il a écrit que la manifestation du 4 juin sur la place Tiananmen a fait comprendre au PCC que le développement économique devait être combiné avec la préparation à la guerre, non pas en Chine, mais ailleurs. Depuis lors, écrit-il, la « politique de défense chinoise [sic] a pris un virage à 180 degrés, et nous avons depuis mis de plus en plus l’accent sur « la combinaison de la paix et de la guerre ». Le développement économique de la Chine comprenait donc une une préparation aux besoins de la guerre ! »
Il a noté que la Chine a participé au « Projet de la Grande Muraille », conçu pour « construire, le long de nos frontières côtières et terrestres ainsi qu'autour des grandes et moyennes villes, une « Grande Muraille » souterraine solide, capable de résister à une attaque nucléaire."
Pendant ce temps, les États-Unis se sont concentrés sur l’ingénierie sociale de leur armée et sur la division du pays selon des lignes sociales absurdes, impliquant des questions telles que l’identité de genre.
Chi a minimisé l’idée d’une « destruction mutuelle assurée » qui, depuis le début de la « Guerre froide », avait dissuadé les nations d’utiliser les armes nucléaires les unes contre les autres. La déclaration suivante fait froid dans le dos :
" C'est pourquoi nous n'hésiterons pas à mener une troisième guerre mondiale afin d'amener le peuple à sortir et d'assurer la position de direction du Parti. Quoi qu’il en soit, nous, le PCC, ne quitterons jamais la scène de l’histoire ! Nous préférons que le monde entier, voire la planète entière, partage la vie et la mort avec nous plutôt que de quitter la scène de l'histoire !"
« N'existe-t-il pas une « théorie de la servitude nucléaire » ? Cela signifie que puisque les armes nucléaires compromettent la sécurité du monde entier, tous mourront ensemble si la mort est inévitable. Selon moi, il existe une autre sorte de servitude, c'est-à-dire que le sort de notre Parti est lié à celui du monde entier. Si nous, le PCC, en avons fini, la Chine sera finie et le monde sera fini."
Chi a ensuite décrit une série de mesures dont la Chine avait besoin pour « amener le peuple chinois à sortir » vers le reste du monde. La cinquième étape devrait servir de sonnette d’alarme quant à l’état d’esprit du Parti communiste chinois :
« Cinquièmement, la grande expansion économique de la Chine s'accompagnera inévitablement d'un développement significatif de nos forces militaires, créant les conditions de notre expansion à l'étranger. Depuis l'époque de Napoléon, l'Occident est attentif au possible réveil du lion endormi qu'est la Chine. Maintenant, le lion endormi se lève et avance dans le monde et est devenu imparable ! »
Bien sûr, une chose fait obstacle à la domination mondiale de la Chine… les États-Unis, un facteur que Chi reconnaît.
Citant He Xin, Chi a déclaré que toute « renaissance de la Chine est en conflit fondamental avec les intérêts stratégiques occidentaux et sera donc inévitablement entravée par les pays occidentaux faisant tout ce qu’ils peuvent. Ce n’est donc qu’en brisant le blocus formé par les pays occidentaux, les États-Unis en tête, que la Chine pourra croître et se rapprocher du monde ! "
Chi reconnaît que la clé pour résoudre les efforts d’expansion chinois est de résoudre « le problème de l’Amérique ». Il a suggéré que « seuls des pays comme les États-Unis, le Canada et l’Australie disposent des vastes terres nécessaires pour répondre à nos besoins de colonisation de masse ».
De plus, il suggère que la Chine a « droit à la possession » des États-Unis, affirmant que « l’Amérique a été découverte à l’origine par les ancêtres de la race jaune. Nous, les descendants de la nation chinoise, avons droit à la possession de la terre."
Il postule qu'après l'élimination des États-Unis, « les pays occidentaux d'Europe s'inclineraient devant nous, sans parler de Taiwan, du Japon et d'autres petits pays. Par conséquent, résoudre le « problème de l’Amérique » est la mission assignée aux membres du PCC par l’histoire."
Joe Biden a affirmé que le « changement climatique » représentait la plus « menace existentielle » pour l’humanité, tout en ignorant la menace posée par la Chine. Chi n’est pas un membre de bas rang du PCC, qui se vanterait de dominer le monde. Il était un haut responsable du parti.
« C'est une destinée historique que la Chine et les États-Unis en viennent à une confrontation inévitable sur un chemin étroit et se combattent !
« … À long terme, la relation entre la Chine et les États-Unis est celle d’une lutte à mort. »
Chi a déclaré que la Chine devait attendre son heure, en s’appuyant sur les États-Unis pour le capital et la technologie, écrivant que pour le moment, « nous avons toujours besoin de l’Amérique ».
"Ce n'est qu'après avoir appris toutes ses expériences utiles que nous pourrons la remplacer à l'avenir."
Citant l’ancien président chinois Deng Xiaoping, Chi a écrit :
« Abstenez-vous de révéler vos ambitions et de détourner les autres du chemin. »
« Le message caché est le suivant : nous devons supporter l’Amérique ; nous devons cacher nos objectifs ultimes, cacher nos capacités et attendre l’opportunité », a écrit Chi. "De cette façon, notre esprit est clair."
Chi reconnaît qu’une guerre conventionnelle contre les États-Unis n’éliminerait pas suffisamment d’Américains pour permettre au peuple chinois de s’infiltrer et de s’emparer du territoire. Il a déclaré que ce n’est qu’en utilisant des « moyens spéciaux » pour « nettoyer » l’Amérique que la Chine sera en mesure d’atteindre ses objectifs.
De même, il a écrit que les armes nucléaires ne constituent pas une option pratique en raison d’une destruction mutuelle assurée. Cependant, utiliser de telles armes contre une nation comme Taiwan ne serait pas hors de question, affirmant que le PCC a déclaré que le « problème de Taiwan » serait « résolu à tout prix ».
Que reste-t-il ? Armes biologiques, Chi notant qu’« il y a eu un développement rapide des technologies biologiques modernes et de nouvelles armes biologiques ont été inventées les unes après les autres ».
"Nous sommes capables d'atteindre notre objectif de 'nettoyer' l'Amérique d'un seul coup."
Chi, cependant, n'est pas un monstre « total ». Il a déclaré que les Américains seraient avertis et « persuadés » de quitter le pays pour le peuple chinois ou même de « laisser la moitié des États-Unis devenir la colonie de la Chine… » Si les Américains ne partaient pas volontairement ou n'acceptaient pas d'être une colonie de Chine, il ne nous resterait « qu’un seul choix ». Autrement dit, utiliser des moyens décisifs pour "nettoyer" l'Amérique et réserver l'Amérique à notre usage.»
Chi a reconnu la possibilité qu’en cas d’attaque biologique contre les États-Unis, nous pourrions faire face à une frappe nucléaire contre la Chine, qui « subirait une catastrophe dans laquelle périrait plus de la moitié de sa population ». Ce n’est qu’en développant des systèmes de défense aérienne dans les grandes et moyennes villes chinoises que la Chine pourrait parer à une telle attaque des États-Unis.
Chi a déclaré que si la Chine perdait la moitié de sa population, elle « pourrait être reproduite ». Le PCC, dit-il, doit survivre, sinon « tout aura disparu, pour toujours ».
Chi a écrit qu’une rencontre dans un conflit entre les deux nations nécessiterait des « mesures résolues » contre la population américaine. Il rejette les inquiétudes de certains selon lesquelles parmi la population américaine se trouve un nombre important de Chinois, notant que cela s'est produit lors de la « libération » de la Chine. Il a déclaré que même si les Chinois avaient mené des recherches sur des armes génétiques qui ne tueraient pas les personnes « jaunes », cela n’avait pas abouti.
Il a également déclaré que les Américains d'origine chinoise étaient devenus un « fardeau » pour la Chine parce qu'« ils sont corrompus depuis longtemps par les valeurs libérales bourgeoises et il leur serait difficile d'accepter la direction de notre Parti ». Il a déclaré que si les Américains d’origine chinoise survivaient à une guerre, « nous devrons lancer des campagnes à l’avenir pour les réformer ».
Mais n’ayez crainte, Amérique, Chi a du cœur, affirmant qu’il serait « brutal de tuer un ou deux cents millions d’Américains ». Cependant, c’est un petit prix à payer pour le PCC.
"Mais si l'histoire nous met devant un choix entre la mort des Chinois et celle des Américains, nous devrons choisir cette dernière, car pour nous, il est plus important de sauvegarder la vie du peuple chinois et celle de notre parti. .»
Et si le peuple chinois s’opposait au « nettoyage » de l’Amérique ?
« … nous devrons bien entendu adopter des mesures correspondantes. »
La question de Taiwan est depuis longtemps sur le radar de certains législateurs américains, et peut-être que tôt ou tard, alors que les États-Unis sont désormais distraits par les événements en Ukraine et en Israël, la Chine agira. Chi, cependant, considère toute mesure concernant Taiwan comme une mesure visant les États-Unis.
« Par conséquent, notre présentation de bataille militaire semble viser Taïwan, mais, en fait, elle vise les États-Unis, et la préparation dépasse de loin le cadre d’une attaque de porte-avions ou de satellites. »
Bien que ce discours date de vingt ans, il dresse un tableau clair de l’état d’esprit des dirigeants du Parti communiste chinois.
La Chine… et non le changement climatique… est la menace la plus existentielle à laquelle sont confrontés les États-Unis.
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