27 novembre 2023

Au-delà de 1984 d'Orwell, la 5G et le lancement de la 6G : « Il est facile de démolir une société numérique »



"Ne vous y trompez pas. Il s’agit d’une confrontation entre les élites puissantes, à savoir le complexe financier, militaire, informatique, médiatique et pharmaceutique
(CNUCED) et nous, le peuple".
 
La CNUCED tente de réaliser ce scénario catastrophique.

"L'enfer est vide et les diables sont tous là".
~ William Shakespeare, « La Tempête », 1623
 
L'analyse contemporaine de Peter Koenig sur « La tempête 2020-2030 » :
De la 5G à la 6G

Nous, le peuple, sommes engagés dans une course contre les mondialistes, engagés dans la dépopulation ; le contrôle des survivants, leur exploitation, la déshumanisation et, à terme, notre numérisation, afin de nous contrôler à distance grâce à la 5G.

Et maintenant, tout juste « lancée » par la Chine, la 6G. Voir La Chine lance une dorsale Internet de nouvelle génération à ultra haut débit – SHINE News .

L’impact sanitaire de la 6G a-t-il été étudié ? Peut être, mais personne n'en divulgue les résultats.

Voici comment Qualcomm décrit la 5G :

Réseau mobile de 5ème génération. Il s'agit d'une nouvelle norme sans fil mondiale après les réseaux 1G, 2G, 3G et 4G. La 5G permet un nouveau type de réseau conçu pour connecter pratiquement tout le monde et tout, y compris les machines, les objets et les appareils. Regardez ici.

Personne n’a ouvertement parlé de l’impact de la 5G sur la santé, mais cela a été étudié. Pourtant, les études ne sont pas révélées au public.

Au-delà du 1984 de George Orwell

Les scientifiques qui présentent la vérité, décrivant l’impact causé par les hyperfréquences sur les humains sont le plus souvent qualifiés de « complotistes ».

C’est l’expression qui permet de taire tout ce que les mondialistes ne veulent pas que vous sachiez. Nous sommes bien au-delà de « 1984 » de George Orwell.

Le réseau mobile de 6e génération ou 6G est environ 100 fois plus rapide et plus puissant que la 5G. Il pourra tout numériser.

Voici ce que RantCell a à dire à propos de la 6G :

Fonctionnant sur des bandes de fréquences térahertz, la 6G fournira un débit de données maximal de 1.000 gigabits/s avec une latence inférieure à 100 microsecondes. Lorsque nous parlons de vitesse du réseau 5G par rapport à la 6G, la vitesse de la 6G devrait être 100 fois plus rapide que celle de la 5G, avec une fiabilité améliorée et une couverture réseau plus large. Regardez ici.

Les populations sont engagées dans une course contre la montre. Si nous réagissons, le projet des mondialistes, à savoir le projet des protagonistes diaboliques de l'Agenda 2030 de l'ONU et de la Grande Réinitialisation, sera voué à l'échec.

Mais si nous continuons à nous laisser duper, nous finirons en enfer.

C’est la raison pour laquelle l’ensemble du système des Nations Unies cherche désespérément à numériser le monde. Le plus vite sera le mieux, il se peut que nous n’ayons pas assez de temps pour nous réveiller en masse afin de reprendre nos vies en main avant qu’il ne soit trop tard.

Le complexe financier, militaire, informatique, médiatique et pharmaceutique se nomme la CNUCED

Par conséquent, les Nations Unies, l’organisme politique sous le contrôle total des mondialistes, ouvertement dirigée par Washington, mais en réalité, par le puissant complexe financier, militaire, informatique, médiatique et pharmaceutique, a nommé l’un de ses sous-ministres à la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement comme porte-drapeau – du moins pour l’instant – de l’assaut meurtrier du "tout numérique".

La CNUCED, en dérogation flagrante à son mandat historique en faveur des pays en développement, à savoir du Sud global, uniformisera les règles du jeu, au nom de l’ensemble du système des Nations Unies, en annonçant dans un communiqué de presse à Genève le 15 novembre 2023, son e-Week du 4 au 8 décembre 2023, dans le cadre d'une refonte majeure de sa série annuelle de Semaines du commerce électronique, qui a débuté en 2016.

La Secrétaire générale de la CNUCED, Rebecca Grynspan, a déclaré :

« L’économie numérique joue un rôle essentiel dans la promotion des objectifs de développement à tous les niveaux. Grâce à des discussions inclusives et multipartites, nous pouvons construire ensemble un avenir numérique mondial qui profite à tous.


La tristement célèbre semaine électronique de la CNUCED s'appelle « E-Week 2023 de la CNUCED, pour mobiliser un soutien mondial en faveur d'une économie numérique plus inclusive.»

Sous-titre :

« Plus de 3.000 parties prenantes de 130 pays examineront comment transformer les opportunités numériques en gains de développement partagés et réduire les fractures existantes pour un avenir durable.»


Le texte du communiqué de presse regorge de slogans, de subtilités et de « non-sens » (discours insensés pour les « gnomes vendus au système »).

Par exemple :

"La conférence a pour thème « Façonner l'avenir de l'économie numérique ». Les sujets comprendront plus de 150 sessions axées sur la résolution des problèmes urgents liés à la numérisation. Les sujets clés porteront sur la gouvernance des plateformes, l’impact de l’intelligence artificielle (IA) sur le développement, les pratiques numériques respectueuses de l’environnement, l’autonomisation des femmes grâce à l’entrepreneuriat numérique et l’accélération de la préparation au numérique dans les pays en développement."

Cette phrase d’introduction est rédigée dans le jargon mondialiste dénués de tout sens, qui est désormais courant et s'imprime dans l’esprit des gens, sans qu’ils réfléchissent aux sens des mots.

Attendez une minute, ils ont oublié le terme « durable ». Cela apparaîtra sûrement plus tard dans le texte.

La CNUCED et le « terrain de jeu numérique »

Des personnes très importantes (VIP) seront présentes. Ils parlent de plusieurs intervenants de haut niveau comme Amandeep Sing Gill, l'envoyé du secrétaire général de l'ONU pour la technologie, Nizar Ben Neji, ministre tunisien de la communication et des technologies ainsi que Henry Puna, secrétaire général du Forum des îles du Pacifique, et bien d'autres VIP.

Ils ne manquent pas d’exploiter le potentiel de l’intelligence artificielle (IA), rappelant au monde que le temps presse, alors que le monde fait face aux incertitudes entourant les technologies émergentes, y compris l’adoption rapide de l’IA, qui révolutionnera de plus en plus l’économie numérique.

C'est clair : notre avenir, l'avenir des peuples, est conçu comme un avenir numérique. Et cela, sans aucune concertation. L’organisme des Nations Unies et ceux qui tirent ses ficelles décident pour nous, mais seulement parce-que nous les laissons faire.

L’égalisation des règles du jeu numérique se concentrera sur les flux massifs de données provenant de l’économie numérique et appellera des réponses de gouvernance mondiale à la concentration du marché, à la répartition inégale des bénéfices.

Ils affirment que plus de 70% des revenus publicitaires numériques mondiaux sont reversés à seulement cinq plateformes numériques.

Alors, que comptent-ils faire à ce sujet ? Rien. Car ces cinq plateformes numériques contrôlent déjà le monde – Alphabet, Amazon, Apple, Meta et Microsoft. Ces mastodontes contrôlent environ 9.000 milliards de dollars de communications informatiques. Et maintenant, ajoutez « X » (ancien Twitter ) et l’horizon du changement semble ultra sombre, mais pas pour un organisme de l’ONU appelé CNUCED.

Et ce n’est pas tout...

À l'ordre du jour figure également un autre slogan : Exploiter la promesse numérique, qui prédit et promet que l'économie numérique, basée sur les données, recèle un vaste potentiel permettant aux pays de stimuler la croissance économique, de favoriser l'innovation et de réduire les obstacles géographiques et physiques au développement inclusif.

Cerise finale sur le gâteau :

La numérisation pour le développement, à travers ​​la plateforme de la semaine électronique de la CNUCED, conçue pour un dialogue constructif et inclusif, vise à générer des idées et des actions qui peuvent alimenter les efforts mondiaux, en particulier le Pacte numérique mondial des Nations Unies en cours, visant à catalyser un avenir numérique ouvert, libre et sécurisé pour tous, en vue du Sommet du futur de l'ONU de 2024.

Et pour tout cela, ils ont besoin de partenariats solides, en particulier à cause des multiples crises mondiales qui se déroulent sur les fronts géopolitiques, économiques et climatiques. Les pays doivent prendre des décisions cruciales pour tracer la voie de la numérisation vers un développement équitable et durable.

Ils parlent peut-être du pacte contraire à l’éthique et illégal de 2019, entre le Forum économique mondial (WEF) de Klaus Schwab et les Nations Unies, ainsi que des guerres et des conflits mondiaux, du chaos et des meurtres, juste pour tenir la population à distance, confuse et distraite.

Ceci complète le slogan : "L’équité et la durabilité ne sont pas oubliées."
 
« Démanteler une société numérique »

En lisant entre les lignes et au-delà des slogans et du jargon numérique de la propagande, il n’est pas difficile de constater que nous nous dirigeons très rapidement vers l’asservissement numérique.

Considérez ce que Tucker Carlson a dit dans une récente interview : "il est facile de détruire une société numérique".

Pensez-y.

Si tout est géré par des signaux numériques contrôlés par la « Cabale mondialiste », un ou plusieurs interrupteurs devraient pouvoir désactiver nos différents réseaux : 
  • approvisionnement en eau, électricité, gaz, énergies de toutes sortes,
  • approvisionnement alimentaire,
  • livraisons de carburant,
  • signaux de trafic,
  • tous les transports,
  • toutes les communications,
  • l'argent sur nos comptes, et bien plus encore...
Les impacts sur la vie des gens sont immenses. Il n’y a pas besoin d’une explosion nucléaire pour mettre en œuvre le programme de dépopulation, ni des soi-disant « mangeurs inutiles » (une citation de l’Israélien Yuval Noah Harari du WEF ), qui pourraient également mettre en danger ceux qui contrôlent les interrupteurs.

Nous serions complètement impuissants.

Écoutez l'interview de Tucker Carlson (début à 05h00).



À présent, il devrait être clair pour nous tous que nous sommes le « Mal pur » !

C'est nous qui sommes dans la Matrice qui nous a été réservée. Les élites qui contrôlent les commutateurs pour exécuter la fin du jeu vivent en dehors de cette matrice. Ils garderont leurs lignes d’approvisionnement ouvertes, dans l’espoir de vivre dans un paradis où nous, le peuple, ne possédons rien mais serions sommes heureux.

Ils contrôlent à distance cette matrice. Nous, qui avons choisi la « pilule rouge », pensions que nous étions à l’extérieur et que nous pouvions observer le chaos se créer à l’intérieur.

C'est l'inverse.

Ne vous laissez pas berner. Il s’agit d’une confrontation entre les élites puissantes, à savoir le complexe financier, militaire, informatique, médiatique et pharmaceutique et nous, le peuple, à savoir l’humanité agissant dans le monde entier à la base de la société. 
 
Peter Koenig

Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l'Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans à travers le monde.

Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également chercheur principal non-résident de l'Institut Chongyang de l'Université Renmin de Pékin.
 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.