03 octobre 2023

Vaccination des femmes enceintes : le mensonge continue


Alors que de nombreux arguments scientifiques vont à l’encontre des injections Covid, les politiques sanitaires continuent à recommander la vaccination même des tout petits. Une récente étude des CDC vient même de révéler que la vaccination pendant la grossesse protège le nourrisson contre la forme grave du Covid-19 pendant les 5 premiers mois de sa vie. Selon les autorités sanitaires des pays occidentaux, il n’y aurait aucune contre-indication à faire vacciner les femmes enceintes. Pourtant des études antérieures ont confirmé la dangerosité des vaccins Covid pour les femmes enceintes.
 

Comme nous l’avons évoqué, le Dr Pierre Peterson a présenté des statistiques montrant que le taux de mortalité fœtale par vaccin administré aux États-Unis avait, en fait, massivement augmenté (environ 2000%) depuis la mise à disposition des vaccins Covid. Comment peut-on justifier une politique de santé publique en faveur des injections Covid pour les nourrissons ?
Une protection élevée selon les données des CDC

Selon les CDC, des recherches antérieures ont révélé que l’infection au Covid-19 pendant la grossesse accroîtrait le risque d’accouchement prématuré ou de mortinatalité. Elles ont également montré que les femmes enceintes ont un risque élevé de développer une forme grave de la maladie. Comme par hasard, les autorités sanitaires recommandent une vaccination chez les femmes enceintes sans que l’on sache exactement les critères retenus.

Selon les CDC américains, les vaccins protègent des hospitalisations et des décès liés au Covid-19. Pourtant selon les CDC, le taux de vaccination chez les femmes enceintes est faible et se situe entre 16 % et 27 %.

Dans cette nouvelle étude, l’agence a mis en évidence la transmission d’anticorps maternels. Les mères vaccinées transmettent des anticorps contre la COVID-19 au fœtus via le placenta. Cette transmission semble jouer un rôle crucial dans la protection des nourrissons. Les bébés de mères non vaccinées présentaient un risque plus élevé d’avoir besoin d’une assistance respiratoire en cas de COVID-19.

Les chercheurs de l’agence ont analysé les données de 716 bébés hospitalisés entre mars 2022 et mai 2023. 377 des nourrissons hospitalisés ont été infectés par le SRAS-CoV-2. Leurs mères étaient vaccinées puisqu’elles avaient reçu au moins deux injections, dont l’une a été réalisée au cours de la grossesse.

D’après les résultats de l’étude, la vaccination est efficace à 54% pour protéger les nourrissons contre une hospitalisation suite à une infection au Covid-19 pendant les trois premiers mois de leur vie et à 35% pendant les 3 à 5 mois de leur vie. Selon les chercheurs, les anticorps induits par l’injection reçue par la maman sont transmis au fœtus par le biais du placenta.
Le “bénéfice-risque” des injections Covid sur les femmes enceintes

Les chercheurs ont déclaré qu’il est pour le moment impossible d’analyser le moment idéal pour recevoir l’injection Covid pendant la grossesse, la marque ou encore la formulation spécifique de l’injection.

L’étude des CDC présente également des limites puisque les chercheurs n’ont pas pris en compte l’infection antérieure. Selon eux, il est possible que les anticorps induits par l’infection protègent les nourrissons contre une hospitalisation liée au Covid-19. La possibilité de transmettre les anticorps via l’allaitement n’a pas été aussi évaluée à cause de l’insuffisance des données disponibles. Nous avions déjà évoqué une récente étude The Lancet qui faisait état de la présence de l’ARN des vaccins Covid dans le lait maternel humain.

Sans surprise, le Collège américain des obstétriciens et gynécologues « recommande fortement » à toutes les femmes enceintes de se faire vacciner et de recevoir la dernière injection de rappel, ajoutant que les vaccins sont sans danger pendant la grossesse et l’allaitement. Les autorités sanitaires n’ont jamais pris le soin d’expliquer en détail ni d’argumenter le “bénéfice-risque” du vaccin sur les femmes enceintes.

Pour rappel, en 2021, deux chercheurs, Thornley et Brock, avaient publié un article dans Science, Public Health Policy, and the Law. Ils ont analysé les données de l’étude des CDC dans le New England Journal of Medicine afin de calculer l’incidence des fausses couches. Dans 82 à 91% des cas, les femmes enceintes s’exposaient à des fausses couches lors du premier trimestre.

Le registre V-Safe du CDC inclut des données concernant 827 grossesses, toutes ces femmes ont été vaccinées durant leur troisième trimestre de grossesse. 104 grossesses se sont terminées en fausse-couche, survenue généralement avant même que la femme atteigne la 13e semaine de gestation. Parallèlement, des chercheurs néo-zélandais ont procédé à un calcul du nombre d’avortements spontanés qui ont pu survenir en se servant des mêmes données de l’étude orchestrée par les CDC. Résultat : de 81,9% à 91,2% de fausses couches chez les femmes qui se sont fait vacciner avant leur 20e semaine de gestation.

Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2023/10/03/vaccination-des-femmes-enceintes-le-mensonge-continue/

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