Non seulement la pluie se permet de tomber en pleine « canicule asymptomatique », mais elle a, de plus, le mauvais goût de rincer dans la Seine toute la crasse d’une mégapole fort sale – perturbant ainsi le rêve macrono-olympien des JO.
Du point de vue d’une dékoulakisation oligarchique qui compte bien passer crème sous le déguisement d’un rationnement climatique tabouisé, les grosses pluies de ces derniers jours ont, d’entrée, le défaut de rappeler à toutes les mémoires le souvenir pas si ancien de l’époque où le changement climatique s’appelait « météo du jour », étant généralement caractérisé, justement, par l’alternance de la pluie et du beau temps.
Pour comble de malheur, elles viennent aussi perturber l’illusion de réalisation d’un des grands rêves hallucinés du Jupiter d’Amiens. Tout comme le socialisme stalinien décrétait qu’on peut poser des rails sur le permafrost de Sibérie, le socialisme macronien a décidé que le fleuve traversant en son centre l’une des grandes mégapoles d’Europe allait devenir « baignable ».
Un projet d’autant plus ambitieux que, pendant ce temps, la gestion – elle aussi socialiste, mais tendance Hidalgo – de ladite mégapole, poussant l’inclusivité jusqu’à en faire profiter une gamme de mammifères qui s’étend désormais jusqu’au surmulot, a transformé ladite mégapole en tas d’ordure plus proche des standards africains ou sud-américains en la matière.
Du point de vue d’une dékoulakisation oligarchique qui compte bien passer crème sous le déguisement d’un rationnement climatique tabouisé, les grosses pluies de ces derniers jours ont, d’entrée, le défaut de rappeler à toutes les mémoires le souvenir pas si ancien de l’époque où le changement climatique s’appelait « météo du jour », étant généralement caractérisé, justement, par l’alternance de la pluie et du beau temps.
Pour comble de malheur, elles viennent aussi perturber l’illusion de réalisation d’un des grands rêves hallucinés du Jupiter d’Amiens. Tout comme le socialisme stalinien décrétait qu’on peut poser des rails sur le permafrost de Sibérie, le socialisme macronien a décidé que le fleuve traversant en son centre l’une des grandes mégapoles d’Europe allait devenir « baignable ».
Un projet d’autant plus ambitieux que, pendant ce temps, la gestion – elle aussi socialiste, mais tendance Hidalgo – de ladite mégapole, poussant l’inclusivité jusqu’à en faire profiter une gamme de mammifères qui s’étend désormais jusqu’au surmulot, a transformé ladite mégapole en tas d’ordure plus proche des standards africains ou sud-américains en la matière.
Luttons contre la pollulation (population = pollution) !
Et pourtant, le grand projet jupitérien jouissait, en l’occurrence, d’une véritable synergie avec d’autres réussites marquantes du socialisme oligarchique made in Davos – à commencer par la désindustrialisation, synonyme de pauvreté pour le grand nombre (ou de maintien en survie palliative au moyen de l’argent magique), mais toujours plébiscitée (comme les confinements !) par les pigeons, les écureuils et les biches !
Comme l’Europe orientale, lors de l’effondrement du socialisme précédent, nous a précédés sur cette voie de la propreté par le vide, à défaut de pouvoir nager dans la Seine cet été, il est d’ailleurs possible, dès maintenant, de profiter d’un environnement restauré dans ces pays du flanc Est de l’OTAN, débarrassés de toute pollution industrielle – et d’ailleurs aussi d’une grande partie de leur population, partie tapiner ailleurs pour ne pas crever la gueule ouverte dans son paradis reconquis.
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