Un groupe de vingt-cinq hommes, se présentant comme des anti-casseurs, a aidé la police à rétablir l’ordre dans un centre-ville de Lorient (Morbihan) investi, dans la nuit de vendredi à samedi, par une centaine de jeunes des quartiers.
Qui nous sommes ? Je ne peux pas vous le dire. Mais nous sommes du bon côté, nous… Ils sont vingt-cinq, sont taillés en V, courent vite et se déplacent en groupe compact. Pas de chef visiblement désigné mais un objectif commun évident : soutenir l’action des forces de l’ordre dans le centre-ville de Lorient, (Morbihan), ville notamment connue pour abriter 4 000 militaires de la Marine nationale.
Ce vendredi 30 juin 2023 à minuit, alors que policiers et gendarmes répondent aux déplacements imprévisibles de la foule mouvante et hostile qui leur fait face, ils apparaissent soudainement. Certains sont en short, gantés, leur tour de cou remonté jusqu’au nez après que l’utilisation de gaz lacrymogènes a fait refluer une cinquantaine de jeunes. Dans leur fuite, ceux-ci ont incendié le parasol d’un restaurant. Alors que les policiers progressent avec le groupe constitué dans leur sillage, deux des membres du groupe entreprennent d’éteindre le feu naissant.
Maîtrisés et remis aux policiers
Interrogés, deux policiers disent ne pas les connaître mais acceptent ce renfort inopiné alors que leurs moyens humains sont limités. Une voiture de police banalisée démarre en trombe et s’arrête à leur hauteur. Un court échange avec le conducteur et le groupe part en soutien derrière le véhicule.
Plus haut, place Anatole-Le-Braz, où la vitrine d’un salon de coiffure a volé en éclats, ces civils vont mener jusqu’à 2 h du matin une véritable chasse aux émeutiers. Au moins trois d’entre eux sont rattrapés, promptement maîtrisés selon des techniques visiblement bien intégrées. L’un d’eux est frappé au visage, un autre littéralement porté, tous livrés au service d’ordre officiel.
Qui sont-ils ? Ils se présentent comme des anti-casseurs , assurent que cette union entre connaissances s’est faite de façon très spontanée, pour prémunir le centre-ville de Lorient de ce type d’exactions. À 2 h du matin samedi 1er juillet, le centre de la ville a retrouvé son calme. Mais pas le quartier d’où venaient certains émeutiers.
Qui nous sommes ? Je ne peux pas vous le dire. Mais nous sommes du bon côté, nous… Ils sont vingt-cinq, sont taillés en V, courent vite et se déplacent en groupe compact. Pas de chef visiblement désigné mais un objectif commun évident : soutenir l’action des forces de l’ordre dans le centre-ville de Lorient, (Morbihan), ville notamment connue pour abriter 4 000 militaires de la Marine nationale.
Ce vendredi 30 juin 2023 à minuit, alors que policiers et gendarmes répondent aux déplacements imprévisibles de la foule mouvante et hostile qui leur fait face, ils apparaissent soudainement. Certains sont en short, gantés, leur tour de cou remonté jusqu’au nez après que l’utilisation de gaz lacrymogènes a fait refluer une cinquantaine de jeunes. Dans leur fuite, ceux-ci ont incendié le parasol d’un restaurant. Alors que les policiers progressent avec le groupe constitué dans leur sillage, deux des membres du groupe entreprennent d’éteindre le feu naissant.
Maîtrisés et remis aux policiers
Interrogés, deux policiers disent ne pas les connaître mais acceptent ce renfort inopiné alors que leurs moyens humains sont limités. Une voiture de police banalisée démarre en trombe et s’arrête à leur hauteur. Un court échange avec le conducteur et le groupe part en soutien derrière le véhicule.
Plus haut, place Anatole-Le-Braz, où la vitrine d’un salon de coiffure a volé en éclats, ces civils vont mener jusqu’à 2 h du matin une véritable chasse aux émeutiers. Au moins trois d’entre eux sont rattrapés, promptement maîtrisés selon des techniques visiblement bien intégrées. L’un d’eux est frappé au visage, un autre littéralement porté, tous livrés au service d’ordre officiel.
Qui sont-ils ? Ils se présentent comme des anti-casseurs , assurent que cette union entre connaissances s’est faite de façon très spontanée, pour prémunir le centre-ville de Lorient de ce type d’exactions. À 2 h du matin samedi 1er juillet, le centre de la ville a retrouvé son calme. Mais pas le quartier d’où venaient certains émeutiers.
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