Par un ex-soignant non-injecté
Tous les exemples que je donne sont authentiques et concernent des amis, des voisins, des membres de ma propre famille.
Du fait des informations médicales vérifiées par mes propres connaissances médicales, j'ai pu faire les liens entre les injections et les pathologies qui suivirent ces injections chez des gens qui étaient en bonne santé, qui n’avaient pas d’antécédents ou de comorbidités, avant de les recevoir.
Je certifie donc la véracité de ces témoignages. A noter que les intéressés encore en vie n’ont toujours pas fait le lien et que je ne pouvais pas leur en parler car elles croient dur comme fer au discours officiel. Il est important de savoir qu’un nombre important de lots des injections ne contenaient que des placebos non dangereux pour faire diversion et pour tromper les injectés. Les effets secondaires ici décrits se sont déroulés entre la première injection et la quatrième en septembre 2022.
1 – Un ami jeune retraité, sportif accompli, quelques jours après sa seconde injection, ressent une vive douleur à la poitrine. Son épouse le conduit chez le médecin de famille qui lui fait faire un bilan sanguin en urgence pour doser le taux des « dédimères » afin de vérifier la coagulation sanguine. Le taux est si élevé que le médecin le fait hospitaliser en urgence pour une prise en charge avec traitement anti-coagulant. Il restera 2 mois à l’hôpital. Il a perdu 20% de fonctionnalité du muscle cardiaque. Il sera le seul à faire le lien entre sa seconde injection et son infarctus. Il me dira avoir compris et ne se fera plus injecter ni sa famille.
2 – Une amie d’une voisine, en parfaite santé et sans aucun antécédent se fait injecter. 3 semaines après la seconde injection, elle développe brusquement et « soi-disant » un cancer pulmonaire. Elle meurt dans les jours qui suivent.
3 – Des amis de ma sœur se font injecter : une perd l’audition totale d’une oreille quelques jours après la seconde injection. C’est irréversible. Une autre perd le sens du goût en début 2022 après la seconde injection. Elle ne l’a toujours pas retrouvé. Son mari après la troisième injection fait une embolie pulmonaire. Hospitalisé en urgence il s’en sortira. A noter qu’il est instructeur de plongée et en parfaite santé. Ces trois exemples signent des cas de thromboses post injections.
4 – Ma sœur, après sa troisième injection en 2022, fait brusquement un cancer d’une vertèbre (!). C’est ce qui lui est dit. Elle aura une chimiothérapie et depuis, elle s’affaiblit. Elle n’a pas fait le lien et n’imagine même pas ce lien. Sa confiance est totale envers le cancérologue…
5 – La sœur de ma mère qui est en bonne santé et très active commence à maigrir brusquement après sa quatrième injection en fin 2022. On lui découvre un cancer de l’intestin et depuis elle est traitée par chimiothérapie par comprimés.
6 – Le neveu de 32 ans d’une voisine. Il est en parfaite santé et sportif. Deux mois après la seconde injection il fait une paralysie du côté gauche. Soigné dans un centre spécialisé pendant quatre mois, toujours paralysé, il rentre chez lui, invalide. Il ne peut plus travailler. Depuis son état se dégrade de jour en jour et son moral est au plus bas.
7 – Deux proches d’un ami meurent brusquement quelques jours après la quatrième injection.
8 – Une amie de ma sœur perd brusquement la vue d’un œil, deux jours après la première injection. C’est irréversible.
Je pourrais continuer de donner d’autres exemples dont je suis le témoin. Que chacun réfléchisse par lui-même tout en demeurant prudent. A retenir qu’il m'est impossible de partager le lien causal. Le peu que j'ai essayé de dire m'a causé bien des ennuis.
En espérant que ces témoignages authentiques auront été utiles, il faut comprendre que trouver de l’aide auprès de la plupart des médecins est difficile car ils ont peur. Beaucoup d’entre eux ont fait le lien mais se taisent pour garder leur travail.
Je n'en dirai pas davantage.
Que vaut donc la pharmacovigilance des vaccins anti-COVID en France ? Notre auteur, Martin Mazurkiewicz, a pu en faire, malheureusement, l’expérience, en remplissant un dossier au nom de sa mère, diagnostiquée en juillet 2022 avec une tumeur au cerveau de grade 4, apparue dans le lobe frontal droit alors qu’elle a reçu trois injections du vaccin Comirnaty® (Pfizer) au cours des douze mois précédents. Cette étude de cas, édifiante, montre avec quelle légèreté les centres de pharmacovigilance traitent les dossiers. Elle donne par ailleurs une idée de la sous-déclaration des effets indésirables graves. Pour résumer : quand on ne cherche pas, on ne trouve pas. Pourtant, si l’on cherche, on trouve.
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