Contrairement
à ce que l’on pourrait croire, ces trois grandes religions monothéistes
que sont le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam représentent non pas
un éveil spirituel des peuples auxquels elles furent destinées, un éveil
qui aurait cherché à les libérer d’une soi-disant barbarie païenne,
mais en réalité une continuité chronologique dont le rôle fut de
préparer un terrain propice au plan multiséculaire du Nouvel Ordre
Mondial.
Les peuples dépositaires de ces trois mouvements, ainsi portés à croire en leur salut par un Dieu devenu unique ne furent alors pas en mesure d’appréhender la subtilité et la puissance du carcan mental dans lequel la « parole de Dieu » allait désormais les enfermer. Afin de mieux faire avaler la pilule, les livres sacrés et les Écritures n’eurent de cesse de faire croire aux masses ignares en la bonté du Créateur, un Dieu infiniment bon et donc insurpassable dans ce domaine. En d’autres termes, le monde autour de soi devenait simplement l’œuvre de cette entité merveilleuse dont les actes de bienveillance et de charité représentent le quotidien de la vie de tout un chacun. Pendant que les peuples croulaient sous les guerres, les conflits de toutes sortes, les maladies et autres pandémies, etc., ceux-ci se devaient donc de continuer à croire en un Dieu miséricordieux et plein d’amour. Une grande subtilité de ces religions dites du Livre, c’est-à-dire inspirées par le monothéisme de l’Ancien Testament, fut d’avoir procédé à une inversion de valeurs quant à la notion même du Bien et du Mal. Ainsi, si Dieu représente le Bien absolu, la quintessence universelle de la Bonté et de l’Amour, son grand ennemi, Satan ou le Diable, devient donc le Prince des Ténèbres, quintessence universelle du Mal et de la Haine.
Les peuples dépositaires de ces trois mouvements, ainsi portés à croire en leur salut par un Dieu devenu unique ne furent alors pas en mesure d’appréhender la subtilité et la puissance du carcan mental dans lequel la « parole de Dieu » allait désormais les enfermer. Afin de mieux faire avaler la pilule, les livres sacrés et les Écritures n’eurent de cesse de faire croire aux masses ignares en la bonté du Créateur, un Dieu infiniment bon et donc insurpassable dans ce domaine. En d’autres termes, le monde autour de soi devenait simplement l’œuvre de cette entité merveilleuse dont les actes de bienveillance et de charité représentent le quotidien de la vie de tout un chacun. Pendant que les peuples croulaient sous les guerres, les conflits de toutes sortes, les maladies et autres pandémies, etc., ceux-ci se devaient donc de continuer à croire en un Dieu miséricordieux et plein d’amour. Une grande subtilité de ces religions dites du Livre, c’est-à-dire inspirées par le monothéisme de l’Ancien Testament, fut d’avoir procédé à une inversion de valeurs quant à la notion même du Bien et du Mal. Ainsi, si Dieu représente le Bien absolu, la quintessence universelle de la Bonté et de l’Amour, son grand ennemi, Satan ou le Diable, devient donc le Prince des Ténèbres, quintessence universelle du Mal et de la Haine.
Satan – Sanatan – Satanama – Satyam
En
effet, ce personnage de Satan qui apparaît dans les textes des
religions abrahamiques et que l’on appelle plus communément le Diable,
signifierait en hébreu « ennemi » ou encore « adversaire ». Jusqu’ici
rien de trop surprenant. Mais dans cette langue beaucoup plus ancienne
que l’hébreu que l’on appelle le sanskrit, langue indo-européenne de la
famille indo-aryenne, le terme satan, par sa racine sat, se traduit par «
vérité ». Satan se retrouverait encore dans plusieurs mots sanskrits
tels que Sanatan (« éternel »), Satanama (« le cycle de la vie, de la
mort et de la renaissance »), Satyan (« de la vérité »), etc... L’on
peut donc déduire de ce qui précède que le terme sanskrit fut
délibérément choisi afin de se voir attribuer une signification inverse
et est devenu le Mal par excellence pour les concepteurs des religions
susmentionnées qui transmirent alors à leur tour le message à des
millions de fidèles avides de salut s’imprégnant alors sans le savoir
des schèmes de pensée de leurs maîtres invisibles subtilement dissimulés
derrière le concept du Dieu unique. Un Dieu à ce point rempli d’Amour
et de Miséricorde que les milliards de futurs croyants ainsi cooptés de
par le monde seront forcés à aduler… par la crainte et la terreur.
Ainsi, des foules immenses nouvellement acquises à ces crédos religieux
tout neufs en vinrent-elles donc à considérer, à l’image des initiateurs
hébreux, la vérité comme l’ennemi pur et simple dans le monde des
entités incarnées. Si dans l’Ancien Testament, Satan ne semble toutefois
jamais représenter une obscure et ténébreuse force du mal, son rôle
évoluera quelque peu dans le Nouveau Testament pour devenir un véritable
adversaire au Royaume du Seigneur. Les termes Dieu et Diable ont en
réalité la même signification, le premier étant en mesure de projeter
sur le second la responsabilité de ses actes de destruction et de haine
ponctuant l’histoire de l’humanité en poursuivant son travail de leurre
des populations ainsi persuadées de vénérer une force authentiquement
portée vers le bien d’autrui. C’est alors que, devant le fait accompli
des œuvres de « bienfaisance » du Créateur, ces mêmes foules se voient
poussées dans les retranchements de l’ESPOIR, autre terme magique qui
sera repris à satiété en politique et garant de la poursuite de la
croyance en un Dieu infiniment bon ou quelque homme d’État jugé apte à
reprendre en mains la destinée humaine.
Nous évoquions plus haut la notion de continuation dans l’établissement de ces grands mouvements monothéistes. En effet, en mettant l’accent sur le matérialisme et l’accaparement de richesses, le Judaïsme chercha à asseoir par-là même le pouvoir matériel et la domination des premiers destinataires de cette trilogie monothéiste notamment avec l’émergence du terme de « Peuple Élu ».
Envahissement calculé de l'Occident
Nous évoquions plus haut la notion de continuation dans l’établissement de ces grands mouvements monothéistes. En effet, en mettant l’accent sur le matérialisme et l’accaparement de richesses, le Judaïsme chercha à asseoir par-là même le pouvoir matériel et la domination des premiers destinataires de cette trilogie monothéiste notamment avec l’émergence du terme de « Peuple Élu ».
Envahissement calculé de l'Occident
Et puis l’arrivée d’un Messie avec le Christianisme favorisa l’éclosion
d’universalisme et de pardon, un abattement des frontières avant
l’heure, le tout savamment rehaussé de ce sentiment de culpabilité
toujours à l’œuvre aujourd’hui dans cette bonne vieille Europe ainsi
bien démunie face à l’envahissement calculé de hordes massives de
migrants en provenance surtout d’Afrique et du Proche- et Moyen-Orient.
Dans son mouvement de poussée en terre européenne, l’Islam, le 3ème
courant monothéiste, voit ainsi les rouages de sa mécanique conquérante
bien huilés par un sentiment de résignation et d’abandon de leurs
valeurs identitaires d’une grande partie des populations blanches ne
sachant plus où donner de la tête afin de recouvrer quelque jouissance
pleine et entière de leurs droits de citoyens.
Entités immatérielles
Kabbale juive
Cabale chrétienne
La Cabale chrétienne, avec un C, courant inauguré par le théologien et humaniste juif italien Jean Pic de la Mirandole (répertorié à la JVL), consistait à adapter en particulier au Nouveau Testament les techniques d’interprétation kabbalistique.
Qabbale islamique
Et il y eut bien-sûr la Qabbale islamique, avec un Q, agissant selon les mêmes principes.
Aspect diabolique des Écritures
Holocauste hindou
La « bonté » du Créateur
Pourquoi ne pas plutôt expliquer ce “divin mystère” ainsi : « Si le bon Dieu permet autant d’horreurs, c’est peut-être qu’il n’est pas si bon que çà » ? Est-il alors loisible de se demander à quoi pourrait justement ressembler un tel monde si ce Créateur « infiniment miséricordieux » n’était ne serait-ce qu’un chouia moins bon ?
Il ne faut justement pas se fier au caractère antisémite de la Bible et du Coran ; nous l’avons vu, les Juifs ont aussi cette particularité incroyable de dénoncer ce qu’ils ont eux-mêmes créé et par la même occasion, de se pointer du doigt dans la responsabilité des maux de la terre, ce qui tend à donner un caractère authentique aux Saintes Écritures afin de faire passer tous les versets ou sourates pour pareillement authentiques, les croyants et fidèles étant dès lors convaincus de la sainteté de leur religion et appliquant alors sans réflexion aucune les préceptes et dogmes « divins » de leurs crédos respectifs.
Antisémitisme
Nous l’avons encore souligné, l’antisémitisme est une arme terrible, dès lors qu’il reste entre des mains juives et la Bible et le Coran ne font pas exception à la règle. Par exemple, la dépossession de biens matériels telle que prônée par le Christianisme ne servirait-elle pas dans cette optique la cause du Juif accumulateur de richesses ainsi libre de récupérer ce que le Chrétien estimera nuisible à son salut ? Aussi, la prohibition de l’usure ou vente de biens avec intérêts telle que mentionnée dans la Bible et le Coran permit aux Juifs d’en être par conséquent les seuls jouisseurs, renforçant d’autant leur pouvoir et domination inaugurés par la première grande religion du Livre.
Chevaliers usuriers
Albert Pike
Source : De La Chesnaie Sigismond, "Malô Lilâk" (Tome II)
Téléchargement gratuit de "Malô Lilak I" et "Malô Lilak II"
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