28 avril 2023

Le vaccin Covid tue 600.000 Américains par an, alerte un analyste d’assurance


Après avoir analysé les données gouvernementales du Royaume-Uni, Josh Stirling, un des meilleurs analystes d’assurance du Royaume-Uni avertit que le nombre de décès lié aux injections Covid aux Etats-Unis pourrait aller jusqu’à 600.000 par an. Les effets secondaires des vaccins contre le Covid-19 deviennent de plus en plus difficiles à dissimuler. Depuis le début de la vaccination de masse, dans nos colonnes, nous avons toujours alerté sur les effets indésirables et inquiétants, voire potentiellement mortels de ces vaccins. Ces injections contribuent à la détérioration du système immunitaire des personnes injectées.

De nouveau, nous rapportons les propos d’un assureur sur les taux de mortalité lié aux injections contre Covid. En janvier 2022, les propos de Scott Davison, PDG d’une compagnie d’assurance américaine basée à Indianapolis, faisaient savoir qu’il y avait une augmentation des décès de 40% au troisième trimestre 2021 et qu’elle touchait la population active des 18-64 ans, c’est-à-dire dans la période où les injections Covid ont été imposées aux populations de moins de 65 ans. Les analyses de la compagnie montraient qu’il ne s’agissait pas d’une hausse liée au Covid mais bien aux injections. De même, l’avocat Todd Callender, associé à la direction d’un groupe d’assurance, explique que depuis la vaccination de masse, « la surmortalité aurait augmenté de 84 % et les maladies de 1 100 % ». En Allemagne, l’assureur maladie BKK ProVita déclarait en février 2022 qu’une analyse des données recueillies auprès de plus de 10 millions de personnes suggère que les effets secondaires du vaccin COVID sont “significativement” sous-déclarés et qu’un risque pour la vie humaine ne peut pas être exclu.

Pour rappel, pour faire face à une énième vague de Covid gouvernements ont toujours opté pour une vaccination généralisée et expérimentale utilisant de nouvelles technologies, pour la majorité à ARN messager.
600.000 décès par an aux USA

 

Des données de santé du gouvernement britannique ont été adressées au sénateur Ron Johnson (R-WO) par l’un des meilleurs analystes d’assurance du pays et ancien analyste de recherche principal pour l’assurance non-vie américaine chez Sandford C. Bernstein & Co, Josh Stirling.

Sur la base des données recueillies, les personnes vaccinées contre le COVID-19 ont un taux de mortalité 26 % plus élevé en moyenne que celles non vaccinées. Par ailleurs, le taux de mortalité chez les personnes vaccinées de moins de 50 ans a fortement augmenté. Il est 49% plus élevé que chez les individus non vaccinés. Si on applique ce schéma aux Etats-Unis, on pourrait compter jusqu’à 600.000 Américains décédés par an, d’après Stirling.
Situation plus extrême pour ceux qui n’ont reçu qu’une seule dose

 

L’analyste d’assurance explique que le taux de mortalité est plus élevé chez les personnes ayant reçu qu’une seule dose du vaccin, en déclarant « le pire de tout – les personnes qui n’ont pris qu’une seule dose du vaccin ont un taux de mortalité d’environ 145% pire ».

En effet, certains individus ont fait face à des effets indésirables après la première injection des vaccins contre le Covid-19. Ils ont été obligés d’arrêter la vaccination. Certains d’entre eux ont développé des maladies graves qui ont causé leur décès.

Les données du gouvernement du Royaume-Uni ont aussi révélé que le nombre de décès dû au Covid-19 est particulièrement faible chez les personnes ayant refusé de se faire vacciner. Le taux de mortalité est de 26% en moyenne.

Pour rappel, en novembre 2021, la FDA a déjà produit un premier lot de documents comportant 500 pages. Ils ont révélé que les vaccins ont causé 1.200 décès. Ces effets secondaires graves survenaient dans les 90 jours qui avaient suivi l’utilisation du vaccin de Pfizer. La FDA a fait valoir qu’il lui fallait jusqu’à 76 ans pour examiner et publier toutes les informations. A noter que la « vaccination » anti-Covid pourrait exclure les personnes des garanties contractuelles parce qu’il s’agit d’un traitement expérimental. Par ailleurs, on note le manque de transparence sur ces sujets, qui est couvert par nos dirigeants et les médias subventionnés.

Cette tragédie n’est ni le fait d’une mauvaise gestion ni celui de l’incompétence, mais le résultat de la mise en œuvre d’une idéologie, coordonnée et entretenue par des mensonges officiels de plus en plus visibles. En 2021, selon le Pr Robert Malone, inventeur de l’ARNm, le refus de l’accès aux traitement efficaces comme l’Ivermectine aura été la cause de centaines de milliers de morts, 85 % des personnes décédées de la maladie auraient pu être sauvées si des protocoles de traitement précoces avaient été adoptés.

Source :  https://lecourrierdesstrateges.fr/2023/04/28/le-vaccin-responsable-de-la-mort-de-600-000-americains-par-an-alerte-un-analyste-dassurance/

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