07 mars 2023

Secte satanique contre sainte Russie

Affiche serbe de 1999 dénonçant les crimes de l'OTAN.

« La Russie ne confine qu’avec Dieu », disait Rilke. 

Une alliance secrète d'oligarques financiers, de magnats des médias, de bellicistes, et d’autres de ce genre vise à instaurer une dictature mondiale. Elle ne cesse de diaboliser la Russie qui parvient miraculeusement à lui résister.

Au sommet de cette alliance, de cette structure de pouvoir pyramidale, il y a cependant une secte luciférienne, une secte hautement hostile à l'humanité et donc satanique.

Dans quelle mesure la Russie est-elle agressive ? 

On ne peut comprendre l'histoire du monde dans son passé, son présent et son développement futur que lorsqu'on a compris qu'en plus de nos systèmes sociaux visibles tels que la politique, l'économie, la science, l'armée, la religion, etc., il existe aussi des groupes secrets et leurs systèmes qui fonctionnent de manière cachée. Ils ont une influence puissante, ils déterminent la direction à tous les niveaux, et donc ils règnent et gouvernent sans que la population mondiale travaillant dur ne les remarque, encore moins ne les connaît. Ce sont des groupes qui, depuis longtemps, contrôlent les flux financiers mondiaux avec beaucoup d’habileté et exercent ainsi une influence sur tous les pays du monde : ils manipulent toute la sphère politique, toutes les armées, tous les systèmes économiques, toutes les sciences, toutes les cultures, les religions, les idéologies et plus encore. Ils sont invisibles à l'œil nu. 

Pendant des siècles, ces groupes ont secrètement élaboré des stratégies et des plans pour dominer le monde entier. Dans leur conscience, ils n'appartiennent à aucune nation ni aucune race de ce monde. Le monde lui-même est leur centre d'intérêt. Ils ne veulent pas diriger un village, une ville ou un pays, pas même un ou deux continents, ils aspirent à la domination ultime du monde. Et pour atteindre cet objectif impensable, ils ont élaboré dès le début des plans pour que leur organisation secrète puisse avoir le contrôle de toutes les nations de la Terre. Pour ces globalistes, les différents pays et continents ne sont rien d'autre que des terrains de jeu sans âme sur leur plateau de Monopoly. Les peuples qui travaillent dur sont simplement intéressants et utiles pour eux, mais totalement insignifiants sur le plan éthique et moral.

Leur pensée ne correspond donc pas à celle du commun des mortels. Habituellement, le commun des mortels ne pense pas plus loin que le bout de son nez. Mais ces manipulateurs, organisés en sociétés secrètes, pensent en décennies et en siècles. Pour pouvoir contrôler une seule grande puissance, ils sacrifient sans sourciller des pays entiers et des cultures entières. Mais pour contrôler tous les pays et toutes les grandes puissances de ce monde, ils n'hésitent pas à tous les déstabiliser au préalable. Ils organisent ainsi le chaos, les menaces fictives, les guerres et la terreur de toutes sortes. Et ils peuvent le faire facilement parce qu'ils ont des billions de milliards de budget à leur disposition. Il s'agit d'oligarques financiers sans scrupules qui, depuis que l'argent existe, ont conduit tout le flux d'argent de la Terre entre leurs propres mains. Leurs fondateurs ont pour ainsi dire inventé l’argent. Ils ont créé l'argent sans autre intention que de pouvoir tout contrôler par le flux des intérêts et des intérêts sur les intérêts. Puisque les hommes d'État lui ont aussi emprunté de l’argent, cette société secrète de l'argent et de l'économie a librement manipulé à volonté nos politiciens et nos dirigeants visibles. Leurs organisations influencent tous les pays du monde depuis plusieurs centaines d'années.

Résumons jusqu'ici : On ne peut comprendre la rétrospective de l'évolution politico-militaire mondiale des 100 dernières années, que si on a compris qu'il existe des oligarchies organisées en sociétés secrètes qui pensent stratégiquement en siècles. Pour pouvoir gouverner les peuples de la Terre, ils planifient la destruction stratégique de toutes les petites et grandes puissances dans des processus qui durent des décennies, voire des siècles. A certains moments, ils planifient les destins des nations, comme les trois guerres mondiales, qui ont été clairement esquissées en 1871 par Albert Pike*, un franc-maçon du 33e degré. Premièrement, une première guerre mondiale qui doit servir à renverser la Russie tsariste. Une seconde guerre mondiale qui doit aider à fonder l'État d'Israël et à renforcer le communisme. Une 3e guerre mondiale qui doit commencer par des controverses entre les dirigeants musulmans et le sionisme politique. Le reste du monde, cependant, doit être entraîné dans ce conflit jusqu'à l'épuisement complet à tous les niveaux. C’est le plan satanique dévoilé en 1871 par Albert Pike, franc-maçon du 33e degré et sataniste. Ainsi, par l'intermédiaire de leurs vassaux rémunérés, ils infiltrent toutes sortes de gouvernements et de systèmes dont ils ont entrepris d'assujettir les pays, stratégiquement et systématiquement. Par leur gestion de la terreur, ils commencent à déstabiliser de l'intérieur des pays entiers en organisant toutes sortes de problèmes, de chaos et de désespoir. Parce que la population active avait une confiance enfantine et donc naïve envers leurs gouvernements et leurs systèmes, ces stratèges mondiaux ont pu se permettre de réaliser de grands scénarios avec les peuples, des scénarios gigantesques, pour effrayer les nations. En font même partie des grands soulèvements populaires, des révolutions, des préparatifs de guerre, des alliances militaires, des sanctions et bien d'autres choses encore. Donc, si une alliance militaire, un pacte militaire, s’établit autour d'un pays, cela ne veut pas dire que la menace annoncée contient le danger qu'elle représente. Permettez-moi de vous donner un exemple : Si ces gens ont l'Europe dans leur ligne de mire, c'est-à-dire s'ils veulent mettre toute l'Europe sous leur domination, ils ne procéderont pas de manière aussi grossière qu'au bon vieux temps, lorsqu’ils nous ont attaqués, nous Européens, avec un visage sombre et des massues. Ils préfèrent donc, d'un point de vue stratégique, nous gagner d'abord en tant que partenaires, pour piéger, disons, des amis. Pour ce faire, ils commencent à infiltrer toute la Russie. Car la Russie, elle aussi, en tant que puissance mondiale rivale, fait obstacle à leur prétention de domination mondiale. Dans ce cas, il serait encore plus impossible de se présenter grossièrement une massue à la main. C'est pourquoi la Russie doit d'abord être secrètement déstabilisée et affaiblie de l'intérieur. Tout d'abord, on infiltre en Russie des ambassadeurs bien intentionnés, des modèles économiques prometteurs et bien d'autres choses. Tout se passe secrètement et de l'intérieur. La Russie est délibérément divisée, déstabilisée par la mauvaise gestion, les idéologies, les révolutions de toutes sortes jusqu'à ce que le monde entier panique devant la Russie. C'était le prélude stratégiquement planifié pour briser la puissance de l'Europe.

Ainsi, une condition préalable a été créée pour mobiliser tous les pays environnants en vue d’une alliance militaire contre la Russie. Une fois que cette alliance, dans ce cas l'OTAN, a vu le jour, on provoque, dans une réaction de panique, le Pacte de Varsovie (*pacte d'assistance militaire sous direction soviétique – 1955-1991). Il convient de noter que l'une et l'autre alliance militaire ont probablement été initiées, voire organisées, par un seul et même service de renseignement. Ces menaces mutuelles ininterrompues, jusqu'au zénith d'une menace nucléaire telle qu'elle s'est produite entre 1947 et 1989, sont entrées dans l'histoire sous le nom de « guerre froide » (*conflit politique permanent entre les grandes puissances USA/URSS, y compris la course aux armements). C'était tout aussi intentionnel, parce qu'aucun citoyen de la Terre ne voudrait expérimenter comment ce monde est englouti par une boule de feu nucléaire. C'était le plan : ce frisson dans le dos, cette peur de la mort chez tous, cette guerre froide. On envoie alors stratégiquement un apôtre russe de la paix, provenant bien sûr des cercles des sociétés secrètes nommées ci-dessus, apôtre qui réussit devant un monde tremblant à dissoudre de nouveau l’alliance du bloc de l’Est, qui est une menace sur le plan militaire. Une nouvelle merveille du monde a eu lieu : presque du jour au lendemain, toute l'Union soviétique s'effondre sur elle-même et un jalon a été posé : la Russie a été déstabilisée et on peut donc alors s’attaquer progressivement au deuxième objectif stratégique, mais toujours prioritaire, à savoir la conquête européenne prévue dès le départ. Ceux qui avaient réussi à infiltrer la Russie s'installent maintenant à Bruxelles et, s'orientent stratégiquement, avec l'ensemble de l'Europe, vers l'asservissement définitif de la Russie, ennemie maléfique. Et bien sûr, ils n'expliquent pas à Bruxelles que fondamentalement ce n'était pas la Russie mais eux-mêmes qui étaient la menace rouge. Les mêmes sociétés secrètes qui, autrefois, affaiblissaient et déstabilisaient la Russie de l'intérieur cherchent maintenant à détruire définitivement depuis l’extérieur la Russie en tant que grande puissance. Aujourd'hui, les acteurs mondiaux ont en même temps entre leurs mains l'Europe et la Russie, une situation gagnant-gagnant classique, mais seulement pour les stratèges globaux, seuls et entre eux. Désormais, ces compagnons sans domicile feront jouer d'abord les deux grandes puissances que sont la Russie et l'Europe l'une contre l'autre. L'OTAN, composée de la plupart des pays européens autour de la Russie, qui en fin de compte doit également être affaiblie et soumise, devrait maintenant aussi mener la troisième guerre mondiale. Troisième guerre mondiale qui depuis l'époque de Mazzini (*1848 : révolutionnaire italien – révolution de mars) est sur l’agenda des alliances secrètes évoquées. Rien de tout cela n'a donc émergé des prétendues intentions que la presse mondiale nous pousse à croire depuis des décennies. Car la presse mondiale est aussi entre les mains de ces sociétés secrètes. C’est le contraire des rapports du mainstream sur les développements politico-militaires qui peut s’avérer être la vérité. Pour saigner à blanc des pays, aucun sacrifice n'est trop grand pour des stratèges globaux, aucun peuple et aucune culture ne compte, aucun sacrifice de peuple, de culture n’est regrettable. Après ces considérations préliminaires indispensables, nous examinons maintenant l'histoire des adhésions à l'OTAN, c'est-à-dire l'élargissement à l'Est, du point de vue susmentionné : Nous sommes au moment très stratégique où la première oeuvre préparée d’avance a été réalisée, où la Russie a été affaiblie de l'intérieur et dénigrée de l'extérieur comme ennemie du monde. Les infiltrés commencent leur déménagement à Bruxelles. Ici, en Occident, ils ne sont évidemment pas perçus comme faisant partie de l'organisation secrète qui, 100 ans plus tôt, a renversé le tsar russe et conduit la Russie unie et pacifique et qui aime la paix, à une ruine ciblée. Devant nous, Européens, ils apparaissent sous les feux de la rampe en tant qu'apôtres de la paix. Nous les célébrons comme des sauveurs de la dernière minute, ils entrent comme des rédempteurs dans la pensée et dans le Parlement européens sous le son de la fanfare de l’unification des peuples.


Adhésion à l’OTAN/élargissement à l’Est

En 1999, sous la direction du franc-maçon du 33e degré Michael Gorbatschev, la Russie a permis la réunification de l’ancienne République démocratique allemande (RDA) avec la République fédérale d’Allemagne (RFA). C’est ainsi que la Russie a rendu possible l’adhésion de la nouvelle Allemagne dans son ensemble à l’OTAN. La Russie a retiré ses troupes de la République démocratique allemande. Comme seule contre-valeur, Gorbatschev exigeait qu’il n’y ait plus d’expansion de l’OTAN vers l’Est. L’administration américaine et l’Allemagne l’ont promis dans un esprit fraternel.

Cependant, peu après le retrait des troupes russes, l’OTAN a commencé son expansion vers l’Est sous la domination des États-Unis – en d’autres termes, sa politique d’encerclement de la Fédération de Russie. Voici à quoi cela ressemblait : Dès 1997, moins de sept ans après cette promesse, l’OTAN a entamé ses premières négociations d’adhésion avec la Pologne, la République tchèque et la Hongrie. Et à partir de 1999, ce qu’on appelle l’élargissement à l’Est de l’OTAN a commencé, c’est-à-dire les premières adhésions à l’OTAN qui violaient ce contrat. À ce stade, l’observateur neutre se place dans la position de la Russie et se demande s’il perçoit le nouveau partenaire américain davantage comme un ami ou comme un agresseur, alors qu’il installe son expansion de l’OTAN, contraire au contrat, directement aux portes de la Russie.

Le 12 mars 1999, la Pologne, la République tchèque et la Hongrie ont adhéré les premiers à l’OTAN. Et la Russie précédemment vidée de sa substance, a regardé à nouveau comme au bon vieux temps d’avant son infiltration, sans réaction agressive.

Cela a évidemment encouragé l’administration américaine à poursuivre les négociations d’adhésion à l’OTAN aux portes de la Russie. À ce stade, il convient de rappeler à nouveau que ceux qui infiltrent la Russie la quittent systématiquement car la Russie doit finalement être libérée… ou peut-être plutôt achevée ? A mon avis, depuis que le véritable agresseur s’est retiré de l’intérieur de la Russie, la Russie a retrouvé sa mentalité traditionnelle.

Ce n’est que cinq ans plus tard, le 29 mars 2004 que sept autres pays du bloc de l’Est rejoignent l’OTAN : la Bulgarie, l’Estonie, la Lettonie, la Lituanie, la Roumanie, la Slovaquie et la Slovénie. Et la Russie regardait toujours… ou bien de nouveau, sans réaction agressive. Ce n’est que lorsque l’OTAN a voulu amener l’Ukraine à rejoindre l’UE et l’OTAN en 2008 que la Russie a commencé à réagir de manière visible. Et cela seulement après que le président ukrainien Yanoukovitch refuse toute adhésion à l’UE et à l’OTAN – parce que « UE » et « OTAN » ne sont que des termes interchangeables pour une seule et même chose. L’UE n’a absolument rien à voir avec les peuples d’Europe. L’UE est exclusivement une plate-forme d’opérations de l’OTAN et de son oligarchie financière transatlantique, c’est-à-dire des dictateurs économiques. Ainsi, lorsque Yanoukovitch a refusé d’adhérer à l’UE/OTAN, il a été très rapidement destitué, en 2014, par une opération américaine sous faux pavillon, et on a mis à sa place Porochenko, un candidat favorable à l’UE/OTAN.

Mais même ici, la Russie n’a pas réagi avec agressivité ou avec des équipements militaires. Ce n’est que par une habileté extrême et des mesures politiques hautement tactiques que Vladimir Poutine a réussi à ramener en Russie, par des élections libres, la Crimée, lieu militaire stratégique le plus important de la Russie sur son front occidental. Cet acte de défense réalisé avec une grande maîtrise de soi et exclusivement sur le plan politique a néanmoins été immédiatement qualifié par toute la presse mondiale, d’agression dangereuse de la part de la Russie. Une fois de plus, la presse mondiale n’a pas du tout considéré les nouveaux avancements de l’administration américaine et de l’OTAN comme une agression. Malgré une nouvelle rupture du contrat passé avec Gorbatchev, ils ont néanmoins réussi à intégrer également l’Albanie et la Croatie à l’OTAN le 1er avril 2009. Et la Russie est restée silencieuse à ce sujet, sans agressivité. Enfin, le 5 juin 2017, l’OTAN sous contrôle américain a également saisi le Monténégro, un État des Balkans.

Voici une fois de plus un aperçu de ce qu'on appelle l'élargissement à l'Est, c’est-à-dire des adhésions à l'OTAN violant le contrat établi.
  • 12 mars 1999 : Pologne, République tchèque, Hongrie
  • 29 mars 2004 : Bulgarie, Estonie, Lettonie, Lituanie, Roumanie, Slovaquie, Slovénie
  • 1er avril 2009 : Albanie, Croatie
  • 5 juin 2017 : Monténégro (État des Balkans)
Tandis que la Russie est condamnée dans la presse mondiale et dans les médias du mainstream d'une manière tout à fait unanime comme un État agresseur et belliciste, comme cela vient d'être mentionné, la Russie s'est comportée de manière totalement non agressive. Par contre l'administration américaine, au cours des 231 années de son existence, depuis 1776, a mené plus de 220 guerres d'agression, d’interventions militaires ou a été impliquée dans des actions belliqueuses de même type. Elle a par exemple participé avec ses services secrets, aux attaques terroristes et tentatives de putsch sur le territoire d'un autre État. Alors que les États-Unis n'ont même pas été attaqués une seule fois. Pour rappel, voici un extrait des guerres menées par les Etats-Unis depuis 1979 :

1979 Afghanistan (CIA) -1992 
1980 Salvador [CIA] -1994 
1986 Haïti (CIA) -1994 
1987 Liban 
1990 2e guerre du Golfe (Irak) 
1991 1re guerre d'Irak 1992 Somalie -1991/1995 
1995 Bosnie 
1999 Kosovo 
2001 Afghanistan 
2003 2e guerre d’Irak 
2011 Libye 
2013 Syrie 
2014 Ukraine

Et pourtant, la presse mondiale dénonce comme agresseur la Russie et non les Etats-Unis, qui ont plus de 220 guerres à leur actif. Le plan stratégique qui sous-tend tout cela est révélé ici sans équivoque. À ce stade, le mainstream endoctrine également le monde avec l’opinion selon laquelle l'alliance militaire de l'OTAN a vu le jour en réponse à l'agression russe qui a précédé. Mais cela ne correspond pas non plus à la réalité. Celui qui connaît les stratégies des sociétés secrètes décrites précédemment et qui les compare aux informations du mainstream au grand public, peut reconnaître que la réalité est exactement à l’opposé. Car bien avant que la Russie infiltrée ne prenne des mesures d'alliance militaire, c'est-à-dire qu'elle soit forcée à entrer dans le Pacte de Varsovie (*pacte d'assistance militaire sous direction soviétique - 1955-1991), les Etats-Unis, avec leur OTAN agressive, cherchaient ouvertement à dominer le monde, c'est-à-dire à instaurer ce qu’ils appellent le nouvel ordre mondial. Pour le dire en d’autres termes :

Le Pacte de Varsovie n'était rien de plus qu'une contre-alliance stratégique, insidieusement mise en œuvre de force ; autrement dit, la Russie, qui existait encore en grande partie, a dû se défendre contre l'impertinence de l'OTAN, comme cela avait précisément été planifié. Mais les accusations d'agression n'ont toujours été portées que contre la Russie. Le Pacte de Varsovie était donc un pacte d'assistance militaire des Etats du bloc de l'Est pour la survie de la Fédération de Russie. Elle a existé entre le 14 mai 1955 et le 1er juillet 1991. Le Pacte de Varsovie était en quelque sorte un pacte d'autodéfense forcé du « bloc de l'Est » contre le Pacte de l'Atlantique Nord de l'Ouest (*Traité international fondateur de l'OTAN), c'est-à-dire l'OTAN, fondée en 1949 sous la direction des Etats-Unis.

Le facteur décisif pour la fondation du Pacte de Varsovie a été ce qu’on appelle les Accords de Paris du 5 mai 1955.

La Russie se sentait menacée par les Accords de Paris pour les raisons suivantes :

Les Accords de Paris sont un traité international qui contient les très importants « Accords de Bonn ». Ces derniers ont mis fin au régime d'occupation en Allemagne de l'Ouest, ont aboli le statut d'occupation et ont rétabli la souveraineté partielle de la République fédérale d'Allemagne. Mais qui a rédigé ces Accords de Paris, qui menaçaient la Russie ? C'étaient les six États de la CED (*Communauté européenne de défense), ainsi que la Grande-Bretagne, les Etats-Unis et le Canada, qui ont tenu une conférence de neuf puissances. C'est là que le cabinet américain d’Eisenhower et le cabinet de Churchill de Grande-Bretagne se sont déclarés prêts à poster des forces armées sur le continent européen. L'Union soviétique a naturellement protesté fortement contre cette déclaration, car cette décision a permis à la République fédérale d'Allemagne d'adhérer à l'OTAN le 9 mai 1955 et de fonder de nouveau sa propre armée. Mais ces Accords de Paris ont été conclus et mis en œuvre malgré toutes les protestations politiques de la Russie. En d'autres termes, c'est l'agression précédente de la Conférence des neuf puissances dirigée par la Grande-Bretagne et les USA et l’Allemagne nouvellement militarisée qui a menacé la Russie. Ainsi, le Pacte de Varsovie était en réalité une alliance militaire de défense des États du bloc de l'Est et non un pacte d'attaque agressif de l'Union soviétique, comme les médias l'ont constamment décrit. Les membres du Pacte de Varsovie étaient, sans exception, ces pays qui, après une déstabilisation et une infiltration habiles, se retrouvent tous aujourd'hui dans l'OTAN : Albanie, Bulgarie, ex-RDA, Pologne, Roumanie, Union soviétique, Tchécoslovaquie, Hongrie.

La presse du mainstream, cependant, a dénoncé le Pacte de Varsovie (*Pacte d'assistance militaire sous direction soviétique) parce que le commandement russe l'a utilisé pour former des Etats satellites (*Etats dépendants de la Russie) et a imposé une interdiction stricte à ses Etats membres d'accepter l'aide occidentale au moment de l’introduction du Plan Marshall (*plan américain de reconstruction après la guerre). Celui cependant, qui connaît les liens mentionnés précédemment ne sera pas surpris. On reconnaît la double morale de la presse mondiale : Chaque fois par contre que l'administration américaine avec son OTAN ont fait la même chose ou le font encore, la presse mondiale s'est toujours abstenue de crier. 

Pour finir cette rétrospective de 100 ans, nous rappelons la première partie du présent documentaire.

Qui étaient les vrais agresseurs de l'Union soviétique ? Les plus de 100 millions de morts dus à l'idéologie marxiste et aux diverses cruautés donnent la réponse : La Russie a été infiltrée et déstabilisée en 1917 selon le même modèle que l’Ukraine en 2014, ou lors des printemps arabes et de toutes les révolutions de couleurs, etc.

Quiconque examine très attentivement toutes ces déstabilisations et ces guerres, arrive à cette conclusion d’une importance capitale : L'infiltration de la Russie a été causée par une seule et même unification qui terrorise actuellement aussi l’Ukraine. Mais l'Ukraine serait encore une autre étude à elle seule, qui irait au-delà du cadre défini ici.

Mais une chose peut être déclarée sans l’ombre d’un doute : Les tireurs de ficelles, qu'il s'agisse de l'infiltration russe de 1917 ou de l'Ukraine en 2014, sont tous issus d'une seule et même alliance secrète politico-religieuse.

La direction de cette alliance secrète est assurée par des oligarques financiers, des magnats des médias, des bellicistes, et d’autres de ce genre. Au sommet de cette structure de pouvoir pyramidale, il y a cependant une secte luciférienne, une secte hautement hostile à l'humanité et donc satanique. Les mêmes tireurs de ficelles ont à nouveau déplacé leur trône et l’ont établi à Shanghai, où ils peuvent régner sans limites à travers l’organisation de coopération de Shanghai, l'Alliance eurasienne pour la politique, l'économie et la sécurité. Avec leur coup d’échec tactique de déstabilisation, ils ont, comme toujours, plusieurs décennies d'avance sur notre perception, et c'est habituel pour ce club. Et donc bien sûr aussi sur l’écriture de notre histoire.

Mais voici encore un dernier regard sur la Russie d'origine : Avant l'infiltration de la Russie en 1917, la Russie était une fédération extrêmement unifiée et communautaire, et cela est encore visible aujourd'hui à travers une langue russe unifiée sans accent, de Minsk à Magadan. La Russie était auparavant un organisme vivant de peuples avec une unité incomparable malgré sa grande diversité de peuples.

Mais ensuite vint l'histoire de l'Union soviétique, qui dura de 1917 à 1991.

Elle a commencé en 1917 avec la Révolution d'Octobre des bolcheviks sous la direction du marxiste Vladimir Ilitch Lénine, alias Vladimir Ilitch Oulianov, et s'est terminée avec la Déclaration d'Alma-Ata du 21 décembre 1991, déclaration contractuelle attestant la dissolution de l'Union soviétique.

Mais les chefs des bolcheviks étaient ces alliés secrets radicaux qui ont fait des prolétaires russes qui ne se sont pas méfié, leurs donneurs de pain. De même, ils ont fait de leur parti ouvrier social-démocrate leurs vassaux, des combattants des rues et des révolutionnaires. Léon Trotsky, alias Lev Davidovich Bronstein (*1879, †1940), était le chef de l'Armée rouge bolchévique portant des armes, qui a dirigé la sanglante Révolution d'Octobre du 25 octobre au 7 novembre 1917, jusqu'à la prise du pouvoir par les bolcheviks dirigés par Vladimir Ilitch Lénine en Russie. Pendant longtemps, les bolcheviks avaient fortement espéré la chute du tsar Nicolas II, ce qu'ils ont réussi à faire dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918. Ils ont assassiné le tsar et sa merveilleuse famille à Ekaterinbourg d’une manière extrêmement cruelle. Mais la véritable vie ainsi que le véritable travail du tsar étaient exactement le contraire de ce que la presse mondiale avait répandu de manière hérétique à son sujet. C'était un bienfaiteur extraordinaire, tout comme Mouammar Kadhafi. Néanmoins, des calomnies cruelles ont conduit ces deux dirigeants à la mort, en martyrs. Leurs bonnes œuvres ne sont apparues qu'après leurs décès.

Le sanguinaire Staline, alias Joseph Vissarionovitch Djougachvili, était aussi secrétaire général de cette secte bolchévique qui déstabilisa et infiltra l'empire tsariste bien avant la révolution d'Octobre. Avec Staline, les représailles contre son propre pays, contre l'ensemble de la population soviétique, ont une fois de plus augmenté de manière drastique. Cela révèle que cette secte secrète ne se sentait d'aucune façon appartenir à ce peuple, mais elle a uniquement cherché à le déstabiliser et l’humilier stratégiquement, comme elle le fait à nouveau avec les Ukrainiens depuis 2014. A l'époque aussi, cette secte luciférienne a établi une force de police secrète (la Tchéka, ou GPU) et a réprimé avec elle toute opposition. Elle a arrêté de nombreux critiques et a exécuté impitoyablement tous les ennemis potentiels.

Avec cette mentalité, ils ont longtemps dominé tout le pays par l'intermédiaire du « Parti communiste ».

Plus de 100 millions de personnes ont été assassinées. En raison des liens de cause à effet décrits précédemment, en 1952 le terme bolchevik a bien sûr été supprimé des noms des partis du PC de l’Union soviétique et également aboli dans la langue officielle de l'Union soviétique.

Ce n'est qu'au cours du mandat de Mikhaïl Gorbatchev, franc-maçon du 33e degré, que le tournant a eu lieu. 

L'œuvre de Gorbatchev :

Gorbatchev a été secrétaire général du Comité central du Parti communiste de l'Union soviétique de mars 1985 à août 1991 et président de l'Union soviétique de mars 1990 à décembre 1991. Tel un héros sorti de l'oubli, il a apporté la glasnost, le mot russe pour « ouverture/transparence ». Comme un sauveur descendu du ciel, Gorbatchev a aussi commencé à expulser les bolcheviks et à partir de 1985 il a introduit des réformes pour renforcer la liberté d'opinion et de la presse.

La perestroïka, le terme russe pour « restructuration », est aussi venu de ce sauveur, sorti comme par magie d’un chapeau ; elle a abouti à une réforme en profondeur, à la transformation de tout le système politique, social et économique de l'Union soviétique. C'est ce que le monde à bout de souffle attendait : presque du jour au lendemain Gorbatchev, tel un lion apprivoisé, a fait du peuple le centre d'attention, il a introduit des élections libres et a assoupli l'économie planifiée.

Les conséquences de la glasnost et de la perestroïka étaient évidentes : A travers des révolutions uniquement pacifiques cela à finalement conduit à la désintégration de l'Union soviétique dans les États du bloc de l'Est. Tous les chrétiens et les contemporains aveugles ont crié « Alléluia » ! Malheureusement, ils le font même face à des propriétaires de casinos comme Donald Trump.

Puis, comme cela avait été planifié stratégiquement des décennies auparavant, il y a eu toute une série de déclarations d'indépendance, telles que celle de la Lituanie, de la Géorgie, de l’Estonie, de la Lettonie, de la Biélorussie, de l’Ukraine, de l’Ouzbékistan, de l’Arménie et du Kazakhstan. La glasnost et la perestroïka ont entraîné une politique de détente presque divine entre l'Union soviétique et les États-Unis, ainsi que la poursuite du désarmement nucléaire que le monde entier attendait. Mais depuis en dépit de ce salut pur et simple, qui venait directement de Russie, la haine contre la Russie a étonnamment non seulement persisté, mais elle n'a cessé de s’accroître.

C'est donc ici que s'achève notre rétrospective politico-militaire du siècle dernier. Que celui qui n’est pas aveugle s’arrache de la propagande anti-russe constante des médias de masse. La Russie doit d'urgence être perçue telle qu'elle était avant son infiltration cruelle, car ses déstabilisateurs qui l’ont infiltrée n'ont fait que changer de terrain de jeu, mais la haine contre la Russie qu’ils ont eux-mêmes attisée, avec tous les préjugés qui y sont liés, n’en a été que renforcée. Car ce genre de dénigrement est destiné à alimenter une guerre entre l'Europe et la Russie, comme c'est à nouveau le cas actuellement en 2019 en Ukraine de l’Est. Tant que la Russie sera diabolisée malgré tous les faits visibles, toute l'Europe restera dans la zone de danger d'un 3e incendie mondial. Une fois de plus, l'administration américaine et ses vassaux de l'OTAN font courir le danger d'une guerre en voulant à nouveau intégrer l'Ukraine dans l'UE, c'est-à-dire dans l'OTAN. Peu importe ce que le nouveau président de l'Ukraine peut désormais promettre au peuple ukrainien : tant que ce système bolchevik, qui réapparait finalement sous un nouvel habit et qui existe donc toujours, ne sera pas dévoilé et aboli, pas un seul président ne sortira de son propre peuple indépendant. Dans tous les pays que les Etats-Unis et l'OTAN ont déstabilisés, après la chute des présidents, seules les personnes choisies sont en réalité proposées au « vote libre ». Ces élections prétendues libres et démocratiques, qui ont été très bien accueillies par les médias, constituent donc la plus grande tromperie politique actuelle.

Conclusion : Les agresseurs d'une méchanceté indescriptible tiennent l'humanité actuelle dans leur emprise de fer et ils luttent sans merci pour leur propre domination du monde. Mais on est à l’aube du jour où les peuples apprennent à voir à travers ce sinistre jeu et pour une fois à renverser ces dirigeants auto-proclamés, ces fonctionnaires privés qui foulent tous les droits des peuples. Quiconque a les yeux ouverts sur la vérité ne servira plus ces terroristes revêtus d’un semblant de démocratie. Mikhaïl Gorbatchev a reçu le prix Nobel de la paix en 1990 pour sa politique de réforme – ce prix ne pourra à l'avenir être décerné qu'à ceux qui, sans hypocrisie stratégique, rendent à la communauté internationale sa paix, sa joie et sa force véritables.

 
Sources / Liens : https://www.kla.tv/15149 

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