05 mars 2023

La place de Mauro Poggia, « ministre de la santé » du canton de Genève, est derrière les barreaux.

Je répète depuis trois ans, que du fait de la gravité littéralement homicide et de la malhonnêteté crasse de ses agissements, la place de Mauro Poggia, « ministre de la santé » du canton de Genève, est derrière les barreaux.

Ce potentat azimuté a piétiné les droits fondamentaux, violé répétitivement les droits constitutionnel, civil et pénal, menti éhontément à la population tout en lui infligeant des dommages, maltraitances et destructions innommables, en pure perte puisque les mesures infligées à grands coups de menton mussolinien, étaient connues (et ont été confirmées une fois de plus) comme étant inutiles et destructrices.
L’aveuglement de la classe politico-médiatique et la corruption institutionnelle généralisée du système de soins a permis certes cette abomination.
Mais une personne élue aux responsabilités -dont celle de veiller sur la santé de la population- ne peut simplement pas céder aux sirènes du fascisme sanitaire au mépris de toute intégrité, de tout bon sens ni a fortiori du droit.
Mauro Poggia est de surcroît avocat, spécialiste du droit de la santé. Il sait très bien avoir pris des décisions violant les droits des patients, des médecins et de la population. Attenter à la liberté de prescrire des médecins en les menaçant pour leur dicter leur conduite est digne des pires dictatures – la « médecine d’état à la Poggia » ne s’est jamais, au grand jamais, vue en démocratie et en état de droit.
Poggia le sait puisqu’il écrivait avant la crise qu’un magistrat ne saurait en aucun cas s’immiscer dans la relation thérapeutique entre un médecin et son patient !
Quant au « consentement éclairé » extorqué aux naïfs par la contrainte, la propagande et la stigmatisation, il aura été l’objet d’un viol souillant de manière indélébile la parole et l’action publique comme ce qu’il reste de l’art médical.
C’est dire si la plainte pénale déposée à son encontre par M. Gygax (qui avait déjà porté plainte contre la lamentable régie d’état RTS) me réjouit – quoique le terme rende mal compte de la consternation qui m’habite face au champ libre dont a disposé Mauro Poggia dans ses inconduites graves, avec la complicité décérébrée de la classe politique, partis, parlements et exécutifs confondus.

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Texte de la lettre de M. Gygax portant plainte auprès du procureur général de la République et Canton de Genève:


Yves-Alain Gygax

1217 Meyrin

Ministère public

Case postale 3565

1211 Genève 3

Meyrin, le 2 mars 2023

Concerne :     plainte contre Monsieur Mauro Poggia, Conseiller d’Etat en charge du DSPS

Monsieur,

Par la présente je dépose plainte contre M. Mauro Poggia, pour abus d’autorité et usurpation de fonction. Pour en comprendre les raisons, je dois remonter quelques années en arrière en mentionnant les évènements les plus marquants.

En 2015 j’ai proposé au Service du médecin cantonal un projet de supplémentation en vitamine D, afin de pouvoir l’utiliser efficacement en prévention pour la population genevoise. Le médecin cantonal m’avait demandé de m’adresser au département concerné, qui était à l’époque le DEAS, déjà dirigé par M. Poggia. Après de nombreux échanges de courrier improductifs, ce dernier m’a finalement écrit qu’il était « sensible aux arguments médicaux qui ne proposent pas de supplémentation non différenciée mais plutôt une approche individuelle des traitements, comme cela doit être la règle dans la relation patient-médecin » puis, le 25 juillet 2018 « qu’il n’est pas du ressort de l’Etat de s’immiscer dans la relation thérapeutique entre le médecin et son patient ». Or cela ne l’a manifestement pas dérangé pour interdire de prescrire de l’hydroxychloroquine et de l’ivermectine aux patients souffrant du Covid-19, par une circulaire qu’il leur a été adressée le 17 août 2021.

J’estime que M. Poggia a également géré la « crise sanitaire » d’une manière frauduleuse, par ses positions prises sur les différentes mesures déployées :

  • En s’abstenant de manifester son désaccord sur les confinement et les fermetures de commerces imposées par le Conseil fédéral, alors que cette mesure n’a jamais fait la preuve de son efficacité sanitaire, mais s’est révélée dévastatrice sur le plan social.
  • En validant pour Genève l’obligation du port du masque imposée par le Conseil fédéral, alors que cette mesure n’a jamais fait la preuve de son efficacité sanitaire, bien au contraire puisqu’il a été admis que les masques contenaient des substances toxiques cancérigènes, qu’ils induisaient une baisse du taux d’oxygène sanguin (hypoxie) et une augmentation du gaz carbonique (hypercapnie) délétères pour la santé, sans parler du problème de pollution environnementale généré.
  • En cautionnant l’utilisation abusive des test PCR , qui n’ont aucune validité
  • En autorisant des campagnes de promotion pour la « vaccination », en réalité un dispositif médical expérimental et potentiellement très dangereux, avec des affiches, entre autres, incitant les femmes enceintes à se vacciner pour faire d’une pierre deux
  • En participant à de nombreuse reprises à des émissions à la RTS, dans le but de diffuser sa propagande vaccinale, en parlant de « dictature de la minorité » imposée par ceux qui refusent le vaccin, en déclarant que « personne ne veut une guerre civile », alors qu’il l’a déjà déclenchée, et surtout en défendant constamment l’idée que le vaccin est sûr et efficace.

Par conséquent, j’en conclus que M. Poggia n’a jamais défendu les intérêts de la population genevoise, mais ceux des industries pharmaceutiques. En menaçant par exemple les médecins qui auraient voulu soigner leurs patients avec des médicaments efficaces, bon marché, et déjà testés positivement depuis de nombreuses années, il les pousse à utiliser d’autres médicaments à prix prohibitifs comme le Redemsivir, dont les dangereux effets secondaires sont pourtant bien connus depuis 2009, ou le « vaccin » dont les épouvantables effets secondaires sont révélés tous les jours, sans parler de leur inefficacité.

A l’origine, j’ai attribué tout cela à l’incompétence de M. Poggia dans le domaine de la santé. Mais quand on prend systématiquement les mauvaises décisions, et qu’on se manifeste avec tant de zèle, cette explication n’est plus crédible.

Il reste dès lors un dernier point à éclaircir : pourquoi un organisme censé être d’utilité publique, comme le DSPS, ne défendrait plus les intérêts de la population mais des intérêts privés (ceux des industries pharmaceutiques), sinon qu’il est lui-même devenu une entreprise commerciale ?

En cherchant sur le registre du commerce, j’ai trouvé les informations de base confirmant que la Direction Générale de la Santé est bien enregistrée comme entreprise. Toutefois les données concernant les publications dans la Feuille officielle suisse du commerce (FOSC) sont difficilement accessibles pour le commun des mortels, en particulier pour la date de transformation ou de fusion de la DGS, et concernant les « ayants droit commerciaux ». Par ailleurs, les nombreux changements de nom du département ne facilitent pas la tâche. On constate néanmoins que le DSES aurait été inscrit le 12.04. 2013.

Si les publications sont inexistantes, ou incomplètes, cela signifie que M. Poggia n’a aucune légitimité commerciale. Et même si la création de ces entreprises avait été publiées dans la FOSC, il aurait fallu qu’on lance auparavant un référendum pour respecter la légitimité souveraine. Les citoyens genevois avaient le droit de donner leur avis sur la privatisation de ces organes officiels, la santé étant un domaine particulièrement sensible.

J’ai envoyé un courrier inscrit à M. Poggia le 23 janvier 2023 pour lui demander de me fournir les preuves de sa légitimité commerciale. A ce jour, je n’ai reçu aucune réponse.

En résumé, jusqu’à preuve du contraire, Monsieur Mauro Poggia a usurpé la fonction de Conseiller d’Etat en dirigeant un département à vocation commerciale, destiné à alimenter des « ayants droit commerciaux » inconnus du public, et a abusé de son autorité pour promouvoir des mesures contraires aux intérêts des citoyens genevois.

Par conséquent, votre enquête devrait permettre de répondre aux questions suivantes :

  1. A quelles dates l’Administration Cantonale Genevoise sise au 14, rue de l’Hôtel-de- Ville, et la DGS ont-elles été transformées en entreprises commerciales, ou ont-elles fusionné avec une autre entreprise, et cela a-t-il été publié dans la FOSC comme la loi le demande pour toute entreprise ? Dans l’affirmative, il faudrait encore fournir :
  • Preuve certifiée conforme de la légitimité du DSPS et de la DGS à agir en tant que puissance publique tout en étant inscrit au registre de commerce, puisqu’une société commerciale n’est en principe pas autorisée selon la loi à exercer une activité publique, à l’exception de cas particulier documenté.
  • Preuve certifiée conforme indiquant qui, comment, pour quelle raison et par quel moyen ces mandataires commerciaux ont reçu le droit d’effectuer des actes de puissance publique et dans quel Etat ils ont prêté serment.

Ces documents sont exigés par l’article 145 de l’ORC, avec l’inventaire du patrimoine transféré.

  1. Si les publications dans la FOSC sont inexistantes, vous devriez encore :
  • demander leur radiation du registre Dun&Bradstreet et le retour à une véritable fonction d’utilité publique
  • déterminer si l’inscription a été volontairement faite dans le registre d’une société américaine afin de contourner l’obligation de publication dans la FOSC.
  • exiger que toute future inscription dans un registre du commerce soit au préalable acceptée par un référendum, afin de respecter le légitimité souveraine.
  • Enquêter sur la responsabilité exacte de Poggia : son Département était déjà inscrit au registre du commerce quand il en a pris la charge, mais en était-il informé et a-t-il lui même commandité l’inscription de la DGS ou de l’ACG ?
  • Enquêter sur les relations de ces offices cantonaux avec l’entreprise « Confédération suisse » inscrite à la BCE comme société « indépendante » : au final, quels sont les « ayant droits », les bénéficiaires de ce système ?

En d’autres termes, qui détourne l’argent des contribuables et des assurés en augmentant artificiellement les « coûts de la santé » et qui en profite vraiment.

Dans l’attente de votre réponse, je vous prie de recevoir, Monsieur le procureur général, mes respectueuses salutations.

Y.-A. Gygax

Annexes :       -courrier du 23 janvier 2023

– extraits du D&B Business Directory pour l’ACG et la DGS

Source

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