« Il ne faut pas laisser les intellectuels jouer avec les allumettes » a déclaré Jacques Prévert.
Dégénérescence « institutionnalisée », devrais-je dire. À ce détail près, en tant que journaliste scientifique, je me dois d’accorder le bénéfice du doute à nos dirigeants, adversaires revendiqués de la logique et du bon sens.
Et ceci malgré les mensonges qu'ils ont inoculés en toutes matières depuis trois ans, notamment s'agissant de la Covid-19, du vaccin, de la réforme des retraites, du réchauffement climatique, de la guerre en Ukraine, etc.
Avec en point d'orgue le discours d’Olivier Véran au sujet de la grève générale du 7 mars 2023 : l'ancien ministre de la Santé n’a pas hésité à affirmer que « mettre le pays à l'arrêt. C’est prendre le risque d’une catastrophe écologique, agricole, sanitaire, voire humaine dans quelques mois. »
En effet, Olivier Véran, adepte invariant des fadaises post Conseil des ministres, s'est fendu d'une tirade tellement hallucinatoire que même les journalistes de BFMTV ont crié à l'infamie et que le Huffington Post s’est fendu d’une analyse vidéo à ce sujet.
Il faut dire aussi qu'il y a de quoi !
En gros, sa litanie psychédélique a consisté à affirmer solennellement, que si cette grève a lieu, c'est la fin du monde. Si vous ne me croyez pas, vous pouvez regarder, en sus de la vidéo du HuffPost, le montage vidéo « satirique » suivant créé par @PrinceActarus74.
Mais revenons au sujet qui nous intéresse aujourd'hui : la dégénérescence programmée de la France.
Si j’ai spécifié plus haut, qu’il y a plutôt lieu de parler de dégénérescence institutionnalisée, c'est en référence aux dernières directives pondue par le ministère de l'Éducation nationale, pour formater nos petites têtes blondes.
Certes, on n'est pas (encore) descendu au niveau de l'Espagne et de l'Écosse. L'Espagne vient de légaliser la zoophilie « dès lors que cela ne cause pas de blessure à l'animal » et le changement de sexe des enfants de 4 ans « avec l'accord de seulement un seul de ses deux parents ».
De son côté, l'Écosse vient d'édicter que l'enfant peut décider d’une telle métamorphose sans l'accord de ses parents.
En France, maintes circulaires sur le changement de sexe instituent les « LGBT+ » comme une norme sociétale indiscutable. Positionnement officiel encore plus aux antipodes du bon sens (1) que ne l'est la vaccination obligatoire des enfants de moins de 5 ans.
Des travestis se donnent déjà en spectacle devant les classes de maternelle première section, pour « lutter contre les discriminations LGBT+. » Mais dans la triste réalité, ils font cela pour promouvoir la possibilité du changement de sexe précoce. Et ce n'est pas tout.
Dernière frasque en date de ceux qui sont, malheureusement pour nos enfants, aux commandes du pays, le financement de matériel pédagogique qui légitime le sexe anal dans les cours d’éducation sexuelle ; « avec lubrifiant » précise néanmoins l'auteur de cette ignominie.
Et cette faillite organisée ne s'arrête pas là.
Depuis 40 ans et l'institutionnalisation de cette dérive, la « bien-pensance » bobo a envahi notre grande et belle école publique de jadis. Avec une destruction assumée de toutes les valeurs qui sont le socle de la famille, ils s'emploient à tirer les enfants vers le bas de débilités antinomiques aux lois naturelles fondamentales.
Poussés par des pulsions de destruction des fondements millénaires intrinsèques à notre civilisation, ces traitres n’hésitent pas à apurer les textes d’histoire et à inverser toutes les valeurs.
Les mauvais éléments bénéficient de leurs bonnes grâces et de tous les avantages possibles. Ils sont montrés aux autres élèves en tant qu'exemple du parfait citoyen. Tandis que les bons élèves, eux, sont moqués et sanctionnés.
Fourbes et lâches qu'ils sont, tous, ces « contrôleurs de la bien-pensance », se régalent à appliquer des « circulaires », jusqu'à l'idiotie manifeste, qui n’est pas sans rappeler le zèle sadique du pervers narcissique persécutant sa victime.
Pour illustration, prenons le mot suivant, d’un professeur qui matérialise cette situation catastrophique. Il a noté sur le carnet de correspondance d'un élève ce qu'il considère comme étant constitutifs d'un « non-respect du règlement » ;
« Ne respecte pas la distence (au lieu de « distance ») entre élève (au singulier au lieu du pluriel) à l'étude et quand j'insiste pour qu'il change de place il nargue « en répétant plusieurs fois » (pléonasme) que « c'est son frère et (...) à domicile il est tout le temps à côté de lui. Il provoque et je dois lui demander d'aller chez Mme Devillers chef éducatrice. »
Source : Daniella Delganello, extrait de carnet de note - Facebook, 2021
Vous aurez noté la ponctuation indigente, la syntaxe questionnable, le pléonasme ridicule et les fautes d'orthographe.
Pourquoi ? Parce que c’est avant tout une démonstration d’un naufrage des valeurs, annonce d’une décadence. Ces derniers ne voient pas, que suite à ce zèle autodestructeur, ils en deviennent des cibles. Et la violence envers leur profession va parfois jusqu’à des crimes, sous les sourires à peine voilés de Macron et ses ministres.
Triste à dire. C’est le retour de bâton logique et seuls des gens hors sol ne peuvent pas en concevoir le caractère inéluctable.
Note :
(1) L'enfantement « naturel » , à savoir sans l'intervention « artificielle de l'homme » (pléonasme délibéré), demande une relation charnelle hétérosexuelle, un coït entre deux individus de sexes opposés.
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