Smart comme une ZFE : Toulouse – Davos, AR...

 

Il semble qu’un certain nombre d’habitants de Toulouse (pardon : de la ZFE Occitanie) grincent des dents en découvrant qu’au 1er janvier 2024, ils risquent de se réveiller piétons. Il faut croire qu’ils n’avaient pas pris connaissance des projets que mijote Davos pour nous, et qu’ils n’avaient pas vraiment compris le concept de Smart City.

Car, en 2022, dans cette ville à mairie pourtant « républicaine », il s’est tout de même trouvé 72% de « gens qui ne sont rien » pour souhaiter donner un second mandat au Young Global Leader Macron, lequel, en 2021, avait pourtant bien montré qu’il n’était pas à quelques petits « emmerdements » près pour maintenir la France sur cette voie unique qui, d’après Klaus Schwab, « nous mènera vers un monde meilleur ». Il est donc statistiquement impossible qu’une partie de ces électeurs ne se retrouve pas dans ce tiers de la population dont le véhicule, mal noté, ne sera plus le bienvenu dans la « Zone à Faibles Émissions » où ils vivent.

15 minutes pour devenir un détenu du Smart Goulag-ZFE de Davos

Beaucoup d’entre eux, de même, avaient sûrement déjà rencontré le concept the Smart City, un camouflage habile qui commence à battre de l’aile depuis que le monde entier (grâce, notamment, à la surdouée Anne Hidalgo) le redécouvre sous les traits beaucoup plus intelligibles de la « ZFE » et de la « ville des 15 minutes », où on trouve « tout à moins de 15 minutes à pied de chez soi ».

Mais comment est-ce possible ? Après tout, personne ne marche assez vite pour traverser même la plus petite des métropoles occidentales en 15 minutes…

Comme le montre l’expérience, dont les contours se précisent actuellement à Oxford, cette « ville » est en réalité un quartier, qui, étant donné qu’on y est plus ou moins assigné à résidence, pourrait aussi être décrit comme… le méga-baraquement d’un giga-camp de concentration.

La douleur étant la seule éducatrice des êtres privés de raison, en dépit des mises en garde écrites dès 2020 par le soussigné et par Éric Verhaeghe, il va probablement falloir encore quelques « découvertes » de ce type pour que le post-citoyen français comprenne de quoi ce « vert inclusif » de Schwab est vraiment le nom…

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