Omicron a fichu en l’air la stratégie de big Pharma et la prise de conscience des effets indésirables n’arrange rien , il faut de toute urgence faire évoluer la covid vers une version méchante ou trouver une autre Peste Noire…
Plus personne ne se fait vacciner …
Des signes convergent, Big Pharma change de stratégie et reconnait l’inefficacité des injections et autres traitement couteux.
En France Nicolas Berrod ( le moins nocif des journalistes officiels) note :Aucun anticorps monoclonal ne restant efficace en cas d’infection avec les nouveaux variants #Omicron dominants, les
@CDCgov insistent auprès des personnes immunodéprimées sur le port du masque, l’aération, la vaccination (même si peu efficace dans certains cas), etc.
Le lien : https://cdc.gov/mmwr/volumes/72/wr/mm7205e3.htm?s_cid=mm7205e3_w… En France aussi, Evusheld et les autres anticorps monoclonaux ne sont plus proposés en curatif en cas d’infection #Covid19.
Le 22 janvier, le Wall Street Journal a publié un éditorial très critique concernant la non-divulgation par la FDA des données relatives à l’efficacité des boosters bivalents COVID-19. Allysia Finley, membre du comité de rédaction du journal, a écrit :
« Les agences fédérales ont pris la décision sans précédent d’ordonner aux fabricants de vaccins de les produire et de les recommander sans données à l’appui de leur innocuité ou de leur efficacité . »
Elle a également accusé les fabricants de vaccins de « publicité trompeuse ».
Bill Gates, reconnu depuis longtemps comme l’un des plus grands partisans des vaccins au monde, a haussé les sourcils lors d’une récente conférence en Australie lorsqu’il a admis qu’il y avait des « problèmes » avec les vaccins COVID-19 actuels.
S’exprimant au Lowy Institute d’Australie dans le cadre d’une conférence intitulée « Se préparer aux défis mondiaux : en conversation avec Bill Gates », le fondateur de Microsoft a fait l’aveu suivant :
"Nous devons également résoudre les trois problèmes des vaccins [COVID-19]. Les vaccins actuels ne bloquent pas l’infection. Ils ne sont pas larges, donc lorsque de nouvelles variantes apparaissent, vous perdez la protection, et elles ont une durée très courte, en particulier chez les personnes qui comptent, qui sont les personnes âgées."
De telles déclarations ont surpris certains à la lumière du soutien de longue date de Gates aux fabricants de vaccins et aux organisations promouvant la vaccination mondiale et aux investissements dans ces derniers. Cependant, ils étaient les derniers d’une série de développements de ces dernières semaines qui ont de plus en plus remis en question les vaccins COVID-19
Il a investi 55 millions de dollars dans BioNTech en 2019 et cela vaut maintenant 550 millions de dollars. Il a vendu des actions… à la fin de l’année dernière, avec un cours de l’action supérieur à 300 $, ce qui représentait un gain énorme pour lui par rapport au moment où il a investi.
Bill Gates est, très discrètement, devenu le plus grand propriétaire de terres agricoles aux États-Unis. Pour un homme obsédé par le contrôle des monopoles, la possibilité de dominer également toute la production alimentaire doit sembler irrésistible.
Comme d’habitude, Gates combine ces investissements personnels avec des subventions financées par le contribuable, redistribuées par la Fondation Bill & Melinda Gates, l’organisation la plus riche et la plus puissante de toute l’aide internationale, ses partenariats financiers avec Big Ag, les mastodontes de l’agriculture, Big Chemical, les géants de la chimie, et Big Food, de l’agro-alimentaire, et son contrôle des agences internationales – y compris certaines de sa propre création – avec un pouvoir impressionnant pour créer des marchés forcés, obligeant ainsi à passer par ses produits
Comme pour l’entreprise africaine de vaccins Gates, il n’y a eu bien sûr ni évaluation interne, ni responsabilité publique. L’étude de 2020 «False Promises: The Alliance for a Green Revolution in Africa (AGRA)» est un rapport qui décrit les 14 années des “efforts” du cartel Gates. L’enquête conclut que le nombre d’Africains souffrant d’une faim extrême a augmenté de 30 pour cent dans les 18 pays visés par Gates. La pauvreté rurale s’est métastasée de façon spectaculaire, et le nombre de personnes souffrant de la faim dans ces pays est passé à 131 millions.
Les néerlandais du média Knack relèvent notamment que Bill Gates : “investit dans une ferme de moustiques en Colombie
Bill Gates est un supporter zélé des organismes génétiquement modifiés (OGM). Avec pour objectif – pas vraiment assumé – d’inventer un manioc ayant subi une mutagenèse (un bidouillage génétique apparenté aux OGM). Lequel arrangerait bien les grandes multinationales occidentales (Bayer-Monsanto, BASF…) qui, précisément, travaillent là-dessus, et dont Gates est parfois l’actionnaire.
Qu’adviendra-t-il pour les paysans ivoiriens si le manioc OGM, denrée de base des familles, détraquait l’agriculture locale ? Mister Microsoft ne s’est apparemment pas posé la question… pas plus que l’Union européenne, qui soutient financièrement le projet, en totale contradiction avec sa propre législation anti-OGM. Au Burkina Faso, la Fondation Gates finance – en toute opacité – la création d’un moustique génétiquement modifié destiné à éradiquer le paludisme. Beau projet… sauf qu’une étude menée au Brésil démontre que ce bricolage génétique contribue plutôt à renforcer l’insecte tueur. Là encore, les populations africaines jouent, malgré elles, les cobayes du milliardaire technophile
Bill Gates rappelle que des alternatives à la viande existent, et
défend l’idée que les pays les plus développés devraient laisser tomber
la viande pour des équivalents de synthèse :
"Je ne pense pas que les 80 pays les plus pauvres mangeront de la viande synthétique à l’avenir. Je pense par contre que tous les pays riches devraient passer à une viande de bœuf 100% synthétique. On s’habitue à la différence de goût, qui va s’améliorer avec le temps», assure-t-il."
Outre-Atlantique, la start-up All Things Bugs a levé des millions de dollars auprès de la Fondation Bill et Melinda Gates, du Département de l’Agriculture américain et de l’institut de recherche DARPA : elle est depuis devenue le plus grand fournisseur de poudre de criquets aux États-Unis pour l’agriculture, la médecine mais également les particuliers. Sauf que pour l’heure, les coûts de productions élevés – six à sept fois plus coûteux que pour du bétail – ne permettent pas encore aux entreprises de vendre leurs produits à des prix accessibles, et maintiennent la consommation d’insectes au statut d’occasionnel.
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