Augmentation spectaculaire des cancers chez les personnes de moins de 50 ans

Un oncologue de renom envoie une lettre urgente demandant l'arrêt immédiat du programme de vaccination contre le COVID, car les cancers et autres maladies progressent rapidement chez les personnes qui ont reçu leur rappels.

Le Dr Angus Dalgleish, oncologue renommé exerçant au Royaume-Uni, a récemment écrit une lettre ouverte au rédacteur en chef de la revue médicale The British Medical Journal (WIKI), l’exhortant à « faire du consentement éclairé valide pour la vaccination contre le COVID un sujet prioritaire » car les cancers et autres maladies progressent rapidement chez les personnes ayant reçu des doses de rappel.

Angus George Dalgleish, 72 ans, est professeur d’oncologie à St George’s, Université de Londres. Il est surtout connu pour ses contributions à la recherche sur le VIH/SIDA et est l’un des médecins les plus réputés de Londres.

C’est un oncologue médical est formé pour traiter différents types de cancer en utilisant la chimiothérapie et d’autres médicaments, tels que l’immunothérapie et la thérapie ciblée.

Naked Emperor Substack a noté que le Dr Dalgleish est un codécouvreur du récepteur CD4 en tant que principal récepteur cellulaire du VIH. Angus est également un chercheur en vaccins et a fondé une société de biotechnologie qui développe des vaccins contre le cancer.

Comme le rapporte la Fondation RAIR, « Ce cancérologue de plus de 30 ans écrit que le lien entre le vaccin contre le Covid et « les caillots sanguins, la myocardite, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux est maintenant bien accepté, tout comme le lien avec la myélite et la neuropathie. »

Le Dr Dalgleish a envoyé une lettre urgente à Kamran Abbasi, le rédacteur en chef du British Medical Journal (BMJ) (WIKI).

Lisez la lettre du Dr Dalgleish ci-dessous :

Cher Kamran Abbasi,

Le Covid n’a plus besoin d’un programme de vaccination étant donné que l’âge moyen de décès du Covid au Royaume-Uni est de 82 ans et de toutes les autres causes est de 81 ans et en baisse.

Le lien avec les caillots de sang, la myocardite, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux est maintenant bien accepté, tout comme le lien avec la myélite et la neuropathie. (Nous avons prédit ces effets secondaires dans notre article du QRBD (Quaterly Review of Business Discipline) de juin 2020 [Sorensen et al. 2020], car l’analyse blast (wiki) a révélé 79 % d’homologies avec des épitopes humains, notamment PF4 et la myéline).

Cependant, il existe maintenant une autre raison d’arrêter tous les programmes de vaccination. En tant qu’oncologue praticien, je vois des personnes dont la maladie est stable progresser rapidement après avoir été contraintes de subir un rappel, généralement pour pouvoir voyager.

Même parmi mes contacts personnels, je vois des maladies à base de cellules B après les rappels. Ils décrivent être nettement mal en point quelques jours ou semaines après le rappel – l’un d’entre eux a développé une leucémie, deux collègues de travail un lymphome non hodgkinien, et un vieil ami qui a eu l’impression d’avoir un Covid long depuis qu’il a reçu son rappel et qui, après avoir ressenti de fortes douleurs osseuses, a été diagnostiqué comme ayant de multiples métastases d’une maladie rare à cellules B.

Je suis suffisamment expérimenté pour savoir qu’il ne s’agit pas des anecdotes fortuites que beaucoup suggèrent, d’autant plus que le même schéma est observé en Allemagne, en Australie et aux États-Unis.

Les rapports sur la suppression du système immunitaire inné après l’administration d’ARNm pendant plusieurs semaines concordent, car tous ces patients sont atteints de mélanomes ou de cancers à base de cellules B, qui sont très sensibles au contrôle immunitaire – et ce, avant les rapports sur la suppression du gène suppresseur par l’ARNm dans les expériences de laboratoire.

Ceci doit être diffusé et débattu immédiatement.

Angus Dalgleish MD FRACP FRCP FRCPath FMedSci

Selon une étude récente publiée sur le site Internet de Harvard, il y a une augmentation spectaculaire des cancers chez les personnes de moins de 50 ans.

« Une étude menée par des chercheurs du Brigham and Women’s Hospital révèle que l’incidence des cancers à début précoce – notamment le sein, le côlon, l’œsophage, le rein, le foie et le pancréas – a considérablement augmenté dans le monde. »

CNN a rapporté :

Un nouvel examen des registres du cancer de 44 pays a révélé que l’incidence des cancers à apparition précoce augmente rapidement pour le cancer colorectal et 13 autres types de cancers, dont beaucoup affectent le système digestif, et cette augmentation se produit dans de nombreux pays à revenu moyen et élevé.

Selon les auteurs de l’étude, l’augmentation chez les jeunes adultes s’explique en partie par des tests plus sensibles pour certains types de cancer, comme le cancer de la thyroïde. Mais les tests n’expliquent pas complètement la tendance, déclare le co-auteur, Shuji Ogino, professeur de pathologie à la Harvard T.H. Chan School of Public Health.

Selon Ogino, le pic est dû à un mélange malsain de facteurs de risque qui agissent probablement ensemble, certains étant connus et d’autres devant être étudiés.

Le Gateway Pundit a précédemment rapporté qu’un rapport de cas d’un chercheur pro-vaccins suggérait que le vaccin ARNm pourrait aggraver le cancer du lymphome.

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