Le système gauchiste n’est pas censé produire de la stabilité politique ou de la prospérité, et on a l’impression qu’il entre dans une spirale mortifère. Sortir les fous du pouvoir, avant qu’ils ne fassent s’écraser l’Occident tout entier sans aucun survivant, est le problème le plus urgent auquel nous sommes confrontés.
Doutez-vous encore que les États-Unis, voire la plupart de la société occidentale, soient sous l’emprise d’une possession démoniaque ? Vous ne pouvez pas tout à fait médicaliser le problème en l’appelant une psychose collective parce que les gens qui démolissent les frontières sociales savent exactement ce qu’ils font et vous le mettent sous le nez avec malice dans le but de vous humilier et de vous punir – ce qui est prévisible si vous vous opposez à ce que l’on vous baise l’esprit.
Exemple : un professeur d’atelier se faisant appeler « Kayla » Lemieux vient travailler en portant un costume de faux seins grotesquement démesuré. Vous êtes censés dire que c’est normal parce que, hé, c’est juste une forme d‘ »expression de genre » – c’est ce qu’a déclaré le conseil scolaire du district de Halton, dans l’Ontario, au Canada. Bien sûr, vous savez que ce n’est pas bien. La commission scolaire prétend seulement que c’est acceptable, parce que ces absurdités sont soutenues par le gouvernement fédéral canadien dirigé par le marxiste Justin Trudeau, qui détient les leviers de la loi et peut vous écraser, vous soumettre à ses tribunaux, vous mettre en faillite, vous ruiner, si vous ne jouez pas le jeu.
Qui aurait cru que le glorieux avenir de George Jetson basculerait dans une frénésie religieuse néo-médiévale et, plus précisément, dans une frénésie qui tire son énergie noire du démoniaque et du satanique ? On vous demande d’avaler des absurdités de plus en plus grandes, détruisant votre amour-propre parce que vous savez que vous êtes un lâche pour ne pas vous opposer à cette foule de dégénérés.
Le Parti Démocrate du chaos des États-Unis est à l’origine de toute cette folie. C’est devenu si grave que beaucoup ne suivent même plus les nouvelles des outrages en série commis par le régime dirigé (nominalement) par le vaisseau vide appelé « Joe Biden ». Des millions de sauteurs de frontières ont traversé le Texas et l’Arizona ces deux dernières années. L’axe d’information New York Times / CNN n’en parle pas parce qu’il veut que cela continue. Outre les réfugiés économiques qui traversent la frontière, il y a un nombre considérable de personnes diaboliquement meurtrières, dont beaucoup ne sont pas mexicaines, mais viennent de tous les coins du monde, y compris d’endroits qui en veulent à notre pays. Certains d’entre eux sont identifiés comme des terroristes internationaux. Pourtant, ils arrivent. Le tapis rouge leur est tendu, tandis que notre président, qui n’est qu’une blague, s’insurge contre les « terroristes nationaux suprématistes blancs » (un autre mensonge que vous êtes censés avaler).
La question de l’ouverture des frontières n’est revenue à l’attention du pays que lorsque le gouverneur Ron DeSantis de Floride a offert à Martha’s Vineyard un avion chargé de cinquante immigrants illégaux. Martha’s Vineyard ne les a pas acceptés de bonne grâce. Les dirigeants de l’île se sont arrangés pour que le gouverneur du Massachusetts, Charlie Baker, fasse appel à la garde nationale de l’État et conduise les nouveaux arrivants indésirables vers une base militaire à Cape Cod. Tous ceux qui ont un demi-cerveau n’ont pas manqué de remarquer ce que cela signifiait pour les riches intellectuels qui peuplent Martha’s Vineyard (y compris Barack Obama et Hillary Clinton) : Vous pouvez changer la démographie du comté de Jefferson, en Arkansas, toute la journée, mais ne vous avisez pas de changer les arrangements sociaux sur notre précieuse île spéciale… pas d’un poil. Voilà pour toutes leurs belles paroles sur la diversité et l’inclusion. Ils suivent la maxime du défunt producteur hollywoodien Samuel Goldwyn, célèbre pour avoir dit « Incluez-moi dehors ! ».
Quelle est la solution lorsqu’on est confronté à une perturbation religieuse à grande échelle dans la société, surtout si elle présente toutes les caractéristiques d’un mal manifeste et archétypal ? On fait appel à un exorciste. C’est le véritable rôle de Donald Trump dans cette méga-crise millénaire. Il cherche à chasser les esprits maléfiques qui affligent cette communauté nationale meurtrie et les esprits maléfiques s’acharnent à stopper son action par tous les moyens.
Il est, bien sûr, un avatar des plus étranges dans cette guerre du bien contre le mal. Il est sorti du cercle infernal de la promotion immobilière new-yorkaise. On a toujours supposé qu’il devait être entaché par des affaires sales avec les mafieux qui dirigeaient les syndicats du bâtiment, mais après six ans d’enquête acharnée du district sud de New York et du bureau du procureur de Manhattan, les légions de l’enfer n’ont rien trouvé… rien. Comment cela a-t-il été possible ? Eh bien, ils ont fait de leur mieux, et maintenant ils essaient à nouveau avec de nouvelles manœuvres. La loi, pour ces dégénérés, n’est qu’un instrument de leur propre volonté de puissance.
À l’approche des élections de mi-mandat de 2022, M. Trump apporte son soutien moral et son attention aux soi-disant « terroristes intérieurs » qui cherchent à écraser la persécution religieuse démoniaque Woke. Il est à la tête d’un groupe démographique important d’Américains qui sont déterminés à ne pas jouer le jeu des absurdités Woke, et ils l’aiment pour cela. M. Trump peut être ou ne pas être le candidat républicain en 2024, mais il aide le pays à faire littéralement le ménage avant cela, et cela ouvrira la porte à un déluge de vérité corrective sur ce qui s’est passé ces dernières années, dans tout, de l’arnaque Covid 19 au Green New Deal visant à détruire ce qui reste des économies de la civilisation occidentale.
Les Américains, à l’exception des personnes très âgées, ne sont pas disposés à aller à l’église, ce qui signifie qu’on ne leur rappelle pas à intervalles réguliers, par des rituels formels, que le bien et le mal existent en chacun de nous, et que nous avons le devoir envers notre conscience sacrée de tendre vers le bon côté, vers « les meilleurs anges de notre nature », comme l’a dit Lincoln. En fin de compte, le gauchisme s’étouffera avec ses nombreux crimes et nous pourrons redevenir un peuple qui connaît avec confiance la différence entre le bien et le mal.
James Howard Kunstler
Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone
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