20 octobre 2022

Neuf Israéliens sur dix ont refusé la quatrième injection en vente depuis le 2 janvier 2022

Nombreuses sont les personnes déstabilisées par les affrontements entre spécialistes assénant leurs paroles d’experts sur la COVID.

Nombreuses sont les personnes dans divers métiers habituées à lire des graphiques.

Nombreuses sont les personnes comprenant qu’une action va entraîner une réaction.

La chronologie construit la rigueur, l’expérience, la sagesse, c’est une banalité qu’il est utile de rappeler. Elle est indissociable des sciences humaines établies sur l’observation des évènements, leur(s) analyse(s), leurs enseignements, leurs finalités.

 

Quelle est l’information que toute personne injectée est en droit d’attendre et de connaître : l’effet d’un vaccin en vie réelle.

Il n’est pas nécessaire de comprendre le fonctionnement d’un moteur de voiture pour se déplacer. Pour un simple consommateur, cela s’entend, il n’est pas nécessaire de connaitre la médecine et d’autres matières scientifiques pour apprécier l’efficacité d’un vaccin.

Un vaccin efficace contre les formes graves entrainera forcément une réaction, un effet visible sur des catégories comme les malades, et plus encore sur les admissions à l’hôpital ; les passages en soins critiques ; les décès.

À partir de la chronologie des évènements, établie à l’aide de graphiques regroupant des informations essentielles sur les actions des injections et leurs réactions, sur un intervalle d’au moins six cent jours pour les injections et plus pour l’épidémie, il est possible d’évaluer à postériori certaines « vérités » et mensonges assénés, de part et d’autre… 

Les graphiques sont redondants afin d’en faciliter l’accessibilité, la lecture. Vous êtes invité à observer par vous-même, libre à vous de contredire, d’abonder, de nuancer les commentaires ajoutés à la fin ! Très nombreuses sont les personnes de bonne foi, habitées par de belles intentions, quel que soit leur point de vue.

Injections vaccinales depuis le 20 décembre 2020. Au 17 octobre 2022, le total des quatrièmes doses injectées depuis le 1er janvier 2022 ne représente que 9% des Israéliens, dont une portion congrue de 1% sur les sept derniers mois. Les doses N°1 et N°2 peuvent être considérées comme incluses dans la première campagne vaccinale : elles sont peu éloignées et indispensables pour obtenir l’immunité initiale.
Voici l’épidémie depuis son début au mois de mars 2020. Les graphiques qui suivent sont limités à l’intervalle allant du 20 décembre 2020 jusqu’au 17 octobre 2022, cette période regroupe les différentes campagnes de vaccination. Sur l’ensemble des graphiques, l’axe des ordonnées à gauche précise les quantités injectées de vaccins. Celui ci-dessus retrace les décès attribués à la COVID-19, l’échelle à droite précise les valeurs. Les courbes sont établies à partir de moyennes sur sept jours. 
En ordonnée à droite, les valeurs correspondent aux malades dont l’infection est attribuée à la COVID 19.
En ordonnée à droite, les valeurs correspondent aux malades dont l’infection est attribuée à la COVID 19 et hospitalisés en conséquence. 
En ordonnée à droite, les valeurs correspondent aux malades dont l’infection est attribuée à la COVID 19, puis hospitalisés, puis admis en soins critiques…
En ordonnée à droite, les valeurs correspondent aux décès attribués à la COVID…
Ce graphique peut sembler plus facile à lire pour certains. Le total journalier des doses est retiré.
Ce graphique affiche la surmortalité toutes causes confondues. Sur les graphiques qui suivent, l’intervalle est réduit allant du 15 mars 2022 jusqu’au 17 octobre…
La première période d’injection des doses N°4, commencée le 2 janvier 2022, s’achève pratiquement le 15 mars. Cette étape correspond à un premier point bas visible sur la courbe correspondante. Trois cycles suivants sont perceptibles, bornés également par des points bas d’injections : environ du 16 mars au 7 mai ; du 8 mai au 7 juin ; du 8 juin au 21 septembre.
En ordonnée à droite, les valeurs correspondent aux malades dont l’infection est attribuée à la COVID 19. N’oubliez pas de comparer les quantités entre les injections et les malades.
En ordonnée à droite, les valeurs correspondent aux malades infectés par la COVID puis admis en hospitalisation.
En ordonnée à droite, les valeurs correspondent aux malades hospitalisés, infectés par la COVID, puis admis en soins critiques.
En ordonnée à droite, les valeurs correspondent aux décès attribués à la COVID.
En ordonnée à droite, les valeurs correspondent à la surmortalité toutes causes confondues. Le graphique suivant est fourni par l’état Israélien.
En ordonnée, les valeurs représentent uniquement les quantités des doses, elles sont faibles. Les variations de la courbe donnant le total des doses covarient avec les quatrièmes doses majoritairement administrées. 

En résumé :

Ce graphique est établi d’après le rapport entre les décès attribués à la COVID et le nombre de doses, au fil des campagnes de vaccination. Les enseignements tirés, de la première campagne (doses N°1+N°2) puis de la deuxième (doses N°3), sont pris en compte afin d’isoler le mieux possible les effets de la troisième campagne (doses N°4).

À l’introduction de la première campagne de vaccination (doses N°1 + doses N°2), la mortalité attribuée à la COVID et la surmortalité apparaissent. Pour les campagnes suivantes, une observation identique est constatée, les « coïncidences » s’enchainent. C’est un effet « simple peine ». Il faut attendre la première dose de rappel pour en apprécier d’autres. 

Une coïncidence supplémentaire, dès la deuxième campagne (dose N°3), semble apparaître : un effet « double peine », caractérisé par le fait que de moins en moins de doses sont accompagnées par de plus en plus de morts, confirmée par la troisième campagne.

À l’introduction de la dose N°4, une autre observation est plus aisée : un décalage dans le temps. Il est caractérisé par la prolongation de la mortalité attribuée à la COVID et de la surmortalité qui va s’étaler de plus en plus après la baisse des injections, c’est un « effet triple peine ».

« L’effet triple peine » est-il encore démultiplié à partir du 6 juin 2022 ?  La quantité des doses journalières est-elle de plus en plus faible avec de plus en plus d’efficacité dans la mortalité étirée dans le temps ?

La proportion entre mortalité et surmortalité reste synchrone dans ses débuts avec les débuts des campagnes des injections, mais dans des proportions variables.

 Est-ce un problème de choix, d’attribution des décès ?

 Est-ce une létalité versatile suivant les excipients, les variants ciblés de la COVID, les associations avec d’autres vaccins contre la grippe, la variole du singe, ou autres ?

 Ou bien, est-ce l’administration de certains traitements conjointement aux injections ? 

Certaines doses ont-elles des effets délétères plus que d’autres (chocs anaphylactiques, embolies vasculaires, ruptures d’anévrismes, arrêts cardiaques autres, etc.) ? 

 Est-ce une catégorie de population ciblée suivant les comorbidités, l’âge, le sexe, les caractéristiques génétiques ?

 Les effets délétères sont-ils anticipés, tant bien que mal, par la suspension quasi-totale des injections au fil des campagnes ?

Moins vous injectez de doses, moins l’avenir s’assombrit ? Plus vous injectez de doses, plus l’épidémie explose ? 

L’impression ressentie est qu’à chaque nouvelle phase d’injection des doses N°4 au cours de l’année 2022, certains attendent de laisser retomber la mortalité avant de recommencer, pour être sûr de bien dénombrer les « effets », les « bénéfices » attendus.

Existe-t-il une méthodologie ?

Les injections sont efficaces dans quel domaine ? 

Comment va évoluer la situation, vers un placebo, discrètement ? 

Sommes-nous à la fin de l’épidémie ? Est-ce la fin du scénario ? 

Quelle version du vaccin préfériez-vous recevoir, si l’on vous laissait le choix ? 

Ou bien, sont-ce simplement des élucubrations fantaisistes, complotistes, sans lien de causalité établi ?

 Faut-il attendre la N° 5, suave, envoutante, capitonnée ?

Les covariations s’accumulent, jonchées de vies interrompues.

Nous tenons à rappeler que tout ceci n’est que fiction, sans aucun lien avec des souffrances, des victimes ayant réellement existé.

Et supplément :

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