Au
vu des questions récurrentes que je reçois ici et dans ma messagerie,
je constate que tout ce qui concerne le numérique, l'intelligence
artificielle (IA), la blockchain, le traçage monétaire etc. est à la
fois mal compris et difficile à expliquer.
La difficulté est d'éviter de tomber dans des considérations techniques trop complexes, aussi je vais essayer de faire un effort de simplification et vulgarisation... simplification un peu excessive mais j'espère que ça sera utile.
Le danger à mes yeux est la possibilité d'un traçage TEMPS RÉEL via internet (le cloud) qui permet d'affecter une I.A. à l'analyse de tous vos déplacements, faits et gestes, transactions... permettant une réaction immédiate de l'I.A. : interdiction d'aller plus loin, conseil d'orientation, avertissement, amende instantanément débitée, etc. Il s'agit là d'une ingénierie sociale pouvant très vite devenir épouvantable. C'est la raison pour laquelle je suis devenu un lanceur d'alerte (complotiste) sur la question de l'identité numérique mobile.
Par contre, pose beaucoup moins de problème l'usage de mobile ou application traçable, de carte bleue ou autre moyen de paiement traçable, à partir du moment où ce traçage ne peut être exploité qu'en temps différé (sauf cas très ciblé). Car dans ce cas il est beaucoup plus difficile de vous contrôler avec une I.A. même si ça reste possible, mais c'est compliqué et plutôt réservé à des cas ciblés pour lesquels l'I.A. de traitement différé reçoit l'aide d'un humain ou d'une équipe.
Ensuite, la question est de savoir si l'on est obligé ou pas de porter sur soi en permanence cet outil d'identification automatique. Question cruciale. Personnellement, tant que je suis libre je veux bien être tracé. Ce n'est que lorsqu'on m'obligera à faire quelque chose qui n'est pas la conséquence d'un choix personnel que je ferai exactement le contraire, question d'ADN.
Maintenant, si on veut au contraire être libre grâce au numérique, la blockchain fournit les garanties nécessaires, bien qu'insuffisantes, tout dépend de la manière dont elle est utilisée. Avec les monnaies de type blockchain, pas besoin de banque ni d'I.A. qui gère les transactions. L'intervention d'une I.A. de contrôle reste possible, c'est pourquoi il convient de faire le tri. Lorsque le code source est lui-même libre (open source), on sait ce qu'il fait, sinon il faut s'en méfier. Maintenant, d'autres considérations sont à prendre en compte pour savoir si l'on a affaire à une monnaie vraiment libre ou pas, notamment le principe de création monétaire. Car toute injustice entraine une privation de liberté pour celui qui est mal placé ou arrive trop tard ou trop tôt.
De ce point de vue, la seule monnaie véritablement libre que je connaisse (à profitabilité indépendante de l'espace et du temps) est la monnaie libre appelée June (G1)... et je vous promets que je n'ai aucun conflit d'intérêt à en faire la promo.
La difficulté est d'éviter de tomber dans des considérations techniques trop complexes, aussi je vais essayer de faire un effort de simplification et vulgarisation... simplification un peu excessive mais j'espère que ça sera utile.
Le danger à mes yeux est la possibilité d'un traçage TEMPS RÉEL via internet (le cloud) qui permet d'affecter une I.A. à l'analyse de tous vos déplacements, faits et gestes, transactions... permettant une réaction immédiate de l'I.A. : interdiction d'aller plus loin, conseil d'orientation, avertissement, amende instantanément débitée, etc. Il s'agit là d'une ingénierie sociale pouvant très vite devenir épouvantable. C'est la raison pour laquelle je suis devenu un lanceur d'alerte (complotiste) sur la question de l'identité numérique mobile.
Par contre, pose beaucoup moins de problème l'usage de mobile ou application traçable, de carte bleue ou autre moyen de paiement traçable, à partir du moment où ce traçage ne peut être exploité qu'en temps différé (sauf cas très ciblé). Car dans ce cas il est beaucoup plus difficile de vous contrôler avec une I.A. même si ça reste possible, mais c'est compliqué et plutôt réservé à des cas ciblés pour lesquels l'I.A. de traitement différé reçoit l'aide d'un humain ou d'une équipe.
Ensuite, la question est de savoir si l'on est obligé ou pas de porter sur soi en permanence cet outil d'identification automatique. Question cruciale. Personnellement, tant que je suis libre je veux bien être tracé. Ce n'est que lorsqu'on m'obligera à faire quelque chose qui n'est pas la conséquence d'un choix personnel que je ferai exactement le contraire, question d'ADN.
Maintenant, si on veut au contraire être libre grâce au numérique, la blockchain fournit les garanties nécessaires, bien qu'insuffisantes, tout dépend de la manière dont elle est utilisée. Avec les monnaies de type blockchain, pas besoin de banque ni d'I.A. qui gère les transactions. L'intervention d'une I.A. de contrôle reste possible, c'est pourquoi il convient de faire le tri. Lorsque le code source est lui-même libre (open source), on sait ce qu'il fait, sinon il faut s'en méfier. Maintenant, d'autres considérations sont à prendre en compte pour savoir si l'on a affaire à une monnaie vraiment libre ou pas, notamment le principe de création monétaire. Car toute injustice entraine une privation de liberté pour celui qui est mal placé ou arrive trop tard ou trop tôt.
De ce point de vue, la seule monnaie véritablement libre que je connaisse (à profitabilité indépendante de l'espace et du temps) est la monnaie libre appelée June (G1)... et je vous promets que je n'ai aucun conflit d'intérêt à en faire la promo.
Philippe Guillemant
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