Fauci s’en va, mais il a laissé une petite part de lui-même dans le cœur de millions...
Quelque chose se prépare… tout le monde le sent…
Quelque chose d’inquiétant flotte dans la brise de fin de l’été alors que notre pays, et la société occidentale avec lui, bascule dans la saison de l’obscurité croissante. Le sentez-vous ? La mort est dans l’air, et pas dans le mode vaudeville habituel d’Halloween, avec les zombies de pelouse qui caquettent et les squelettes à chapeau haut-de-forme qui font des claquettes. Ce n’est pas une plaisanterie.
Nous n’avons jamais été aussi peu préparés à une calamité qui se déroule au vu et au su de tous, et cela parce que les gens qui dirigent les choses ont fait en sorte que cela se produise par des actes combinés de méchanceté et de stupidité. Après des décennies de simple racket, arrangeant les choses de manière à mettre en faillite quiconque tombe gravement malade, les soins de santé corporatisés président maintenant à une moisson de mort induite par la médecine, en prétendant bêtement qu’il n’y a rien à voir.Les gens le voient maintenant et en parlent, et rien ne les empêchera de découvrir exactement ce qui s’est passé, ni d’exprimer leur colère après coup. L’architecte en chef de cette débâcle épique, le Dr Anthony Fauci, le capitaine Queeg de la santé publique américaine, a annoncé son départ de la scène « pour poursuivre le prochain chapitre de ma carrière ». Il n’a pas précisé ce que cela pourrait être. Je pense que le titre du poste est : accusé. Ce sera une étape importante dans l’histoire de l’humanité que d’assister au procès de la Science elle-même, si elle vit assez longtemps. Qu’est-ce qui attend pour prendre sa place ? Des vizirs avec des baguettes et des chapeaux pointus ? Des bourdons chevauchant des balais contre une lune froide et sans vie ? Une principauté de magie noire ? Une descente aux enfers ?
L’interruption médicale de la vie à grande échelle accompagne l’effort actuel pour provoquer le suicide de la culture et de la nation, plus de dépravation et de folie orchestrées. Les institutions sont retournées contre nous comme des lance-flammes. Le FBI pourrait bien défoncer votre porte dans sa quête de suppression de la dissidence. Les compositeurs de l’intoxication mentale officielle ne dorment jamais, s’assurant que vous ne saurez pas où se trouve le bout de quelque chose. Vos législateurs aveugles viennent de mettre 87.000 nouveaux agents du fisc à vos fesses, comme si c’était une bonne idée. Les tribunaux existent pour protéger le Parti, mais de quel parti s’agit-il ? (Quelle importance, à ce stade ? dit Hillary Clinton.) Allez vous plaindre de ces prétendus droits constitutionnels ailleurs, comme sur Twitter et Facebook, où ils peuvent être effacés dès que vous appuyez sur le bouton « poster ». Vous serez bientôt mort, de toute façon.
Nous avons entendu ad nauseam que les initiés de Washington DC, les habitants de ce demi-mythique Deep State dans la zone métropolitaine la plus riche de tout le pays, regardent de haut le reste de l’Amérique. Pourquoi cela ? Je vais vous le dire. Parce que la confédération d’escrocs de DC s’est engraissée sur votre souffrance alors qu’elle a systématiquement détruit et pillé le reste de l’Amérique, la classe moyenne en perdition. Ils vivent dans un confort fabuleux de vos bêtises et de votre ruine. Leur mépris pour vous se développe sur votre effondrement tragique comme un champignon sur un arbre tombé autrefois puissant. Ils ont prévalu dans ce monde et pas vous. Vous êtes à Palookaville, en route pour le verger d’os, et donc ils sont meilleurs que vous, ha ha ha.
Il y a un autre côté de cette vie, au cas où tout cela vous aurait démoralisé. C’est le côté où les êtres humains disent des choses qui correspondent à la réalité, où les gens pensent ce qu’ils disent et utilisent le langage comme s’il avait évolué pour décrire les choses et les actions avec une certaine exactitude, comme ceci est ceci et cela est cela… et non l’inverse ou le contraire. C’est le côté de la vie où faire semblant n’est pas la meilleure utilisation de l’intelligence humaine. Je sais, de nos jours, il est difficile d’imaginer ce côté de la vie, mais il est en fait toujours là, attendant d’être réanimé.
Le régime qui a mis notre monde sens dessus dessous dans sa quête satanique de confort et de pouvoir sera mis à nu et jugé, sinon par des juges officiels, du moins par un consensus imparable. Le public endolori fera l’inventaire de ce qui a été perdu et commencera à reconstruire un échafaudage de vie partagée qui récompense la fidélité à la façon dont les choses fonctionnent réellement. Ce sera un passage difficile pour sortir de ce qui s’apparente à une prise d’otages. Il y aura des frictions et de la chaleur. Vous ne serez pas à l’aise, mais vous serez intrépides. Vous n’aurez certainement rien et ne serez pas heureux de cela. Vous aurez, au moins, un souvenir restauré de ce que c’était que de lutter honorablement pour une vie digne d’être vécue.
Nous sommes en ce moment dans le creuset de tout cela, où tout est chauffé à blanc. Ne pliez pas et ne fondez pas. Passez au travers. Soyez des hommes et des femmes (il n’y a vraiment rien entre les deux, et ne tombez pas dans les piètres incitations à en douter). Vous êtes frères et sœurs dans une entreprise qui mérite d’être sauvée et vous avez une histoire qui mérite d’être défendue. Croyez-le.
James Howard Kunstler
Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone
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