Nous sommes maintenant habitués à faire face à la propagande de nos institutions pour dissimuler la vérité sur le scandale sanitaire du Covid. Les preuves de la nocivité des injections expérimentales continuent d’être institutionnellement niées. La propagande et les mesures contre la liberté d’expression passent à la vitesse supérieure par le contrôle de l’information, proposition faite par la Commission européenne dans ses directives de rentrée en accentuant la lutte contre l’information opposée aux injections expérimentales. Pourquoi un pays – comme la Roumanie - qui a favorisé la prise en charge du Covid par des traitements alternatifs – a diminué le nombre de décès, d’hospitalisations et de cas de Covid ? Les médias subventionnés ne disent mot.
Google ne référence déjà plus certains liens, la machine totalitaire déploie ses ailes pour étouffer la vérité au service du mensonge. Toutes les dictatures ont commencé de la sorte, il faut relire Hannah Arendt.
La député française Virgnie Joron au parlement européen : pourquoi la Roumanie a-t-elle deux fois moins de décès que la France ?
…après la campagne de vaccination de masse contre Covid, si l’on veut être plus précis car cette différence n’est pas antérieure à 2021. La députée s’appuie sur les données du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies infectieuses (ECDC) reproduites ci-dessous.
Virginie Joron interpelle la présidente de la session et demande pourquoi la France – qui en ce moment (août/sept 2022) présente des taux d’hospitalisation ou d’admission en réanimation pour Covid similaires à ceux de la Roumanie, affiche des taux de mortalité 40 % supérieur à ceux de la Roumanie. La députée rajoute « je rappelle que 42% des roumains ont reçu 2 doses (injections Covid) contre 78% en France. Pourquoi le taux de mortalité est bien plus faible en Roumanie qu’en France alors que les français sont presque deux fois plus vaccinés » ?
En réponse à la question, le ministre (de la santé) roumain explique qu’en 2022, ils ont changé leur stratégie de prise en charge du Covid : au lieu de développer la capacité des hôpitaux, ils ont développé les soins ambulatoires avec les médecins généralistes, ce qui a été une véritable réussite selon lui car les malades ont été pris en charge dans les 200 centres ambulatoires créés dans le pays à cet effet. Ils ont reçu des traitements antiviraux (et pas seulement du paracétamol qui est toujours le protocole de prise en charge du Covid en France pour les cas qui ne requièrent pas une hospitalisation, c’est-à-dire un suivi par les médecins généralistes).
Le ministre roumain de rajouter qu’ils ont « divisé les taux de mortalité par 4 de cette manière ». Ce qu’il ne dit pas ouvertement dans la vidéo, c’est que leur protocole de prise en charge associe dès 2020 l’hydroxychloroquine et des antirétroviraux usuellement utilisés pour la prise en charge des personnes infectées par le VIH/sida.
Une confirmation par les chiffres
La politique des soins ambulatoires et l’utilisation d’une réelle approche prophylactique (traitements) – spoliée dans la majeure partie des pays occidentaux pour pousser les citoyens à recevoir des injections expérimentales – n’a pas seulement limité les taux de mortalité mais a réduit la propagation du Sars-Cov 2. D’après les données transmisses par Our World in Data/John Hopkins University, on observe des écarts considérables d’incidence du Covid entre les deux pays.
Si la Roumanie compte au moins 3 fois moins d’habitants que la France (environ 20 millions d’habitants versus 65 millions en France), le nombre de nouveaux cas de Covid est 10, 20, 50, 100 fois plus élevé en France qu’en Roumanie (ie : 8 juillet 2022 : 1103 nouveaux cas en Roumanie contre 129 547 cas en France). Bien sûr, il faut tenir de la dynamique de l’épidémie qui varie d’une région à l’autre à une date donnée mais on voit bien sur le graphique qu’en 2022, il y a une différence très marquée de l’incidence entre les deux pays dans la durée. On ne retrouve pas un tel décrochage avec d’autres pays qui ont aussi vacciné massivement et suivi les recommandations thérapeutiques européenne comme l’Italie ou l’Allemagne (cf. schéma ci-dessous).
La commission européenne reste dans le déni et devrait durcir les mesures dès l’automne 2022
Dans un document officiel daté du 2 septembre 2022, la Commission européenne propose des recommandations aux pays membres de lutte contre le Covid pour cet automne, on peut lire les prochaines étapes d’un durcissement injustifié sur le plan scientifique et moralement/éthiquement inacceptable :
– « Lutter contre la désinformation anti-vaccination » : cela revient à censurer l’information indépendante mais aussi les publications scientifiques qui ne vont pas dans le sens de la propagande officielle.
– « Stratégie de communication pour promouvoir le vaccin y compris pour les enfants ». La vaccination des enfants est scientifiquement injustifiée alors que les effets secondaires graves concernent particulièrement cette classe d’âge. Nous avions informé que les enfants seraient particulièrement ciblés cet automne.
– « Améliorer la couverture vaccinale des populations exposées à un risque plus élevé de maladie grave ». Les injections sont toxiques, elles provoquent des maladies à long court. Et ce sont précisément ces personnes qui seront ciblées pour un rappel…
– « Favoriser l’administration d’une dose de rappel supplémentaire pour les personnes âgées de 60 ans et plus ». Cette mesure mortifère complète la précédente.
– « Combiner les campagnes de vaccination contre la COVID-19 et la grippe ». Une incitation cachée pour faciliter l’acceptation des injections expérimentales. Les personnes de plus de 60 ans sont à nouveau ciblées.
– « L’obligation du port du masque ou la réintroduction des jauges réduites lors des événements publics » : le masque chirurgical n’a pas ou peu d’efficacité sur une transmission virale aérosolisée, en revanche le port prolongé a des effets néfastes sur la santé et l’équilibre psychologique des personnes, des enfants et des jeunes notamment.
– « L’utilisation possible du certificat Covid numérique Européen pour les voyages ». La restriction des voyages va revenir en force avec un petit plus non négligeable : le certificat numérique qui préfigure la micropuce injectée dans la main pour circuler librement et payer nos achats. Ce devrait être la prochaine mesure phare avant la fin de l’année avec la numérisation de la monnaie (euro, dollar…).
Ce durcissement des mesures liberticides et mortifères est programmé. Il ne s’agit pas d’une politique de santé publique mais d’une pratique anticonstitutionnelle visant à détruire la souveraineté des nations pour un transfert de gouvernance supranationale, aux mains d’une technocratie dont les méthodes rappellent celles des idéologies du XXème siècle.
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