Cette dépêche de l’agence Reuters nous apprend qu’Emmanuel Macron "a défendu jeudi son projet controversé de réforme du système des retraites, expliquant vouloir dégager des marges de manœuvre budgétaires pour financer les autres grandes réformes sociales du pays, préserver l’indépendance de la France et favoriser la transition écologique."
Interviewé par BFM TV à bord de l’avion présidentiel qui le ramenait de New York, le chef de l’Etat a répondu aux critiques des partenaires sociaux et de nombreux parlementaires, y compris de la majorité, qui s’opposent au scénario annoncé d’un simple amendement au projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), présenté lundi en conseil des ministres.
« Je suis convaincu que c’est une nécessité. Pourquoi ? Parce que nous voyons qu’aujourd’hui, le défi qui est le nôtre est d’être plus indépendant en européen et en franco-français », a dit Emmanuel Macron, soulignant que « notre indépendance n’est pas de vivre à crédit ».
Le gouvernement a choisi de protéger les Français de l’inflation grâce au bouclier tarifaire, de soutenir l’économie pendant la crise sanitaire, et veut mener une réforme de l’hôpital, de l’éducation et de la sécurité tout en préparant la transition écologique, a-t-il développé.
« Ça coûte de l’argent. Est-ce qu’on peut le financer par le déficit ? Non. Nous sommes un des pays qui a le plus grand déficit en Europe. Peut-on le financer par plus d’impôts ? Non. Nous sommes le pays parmi ceux taxant le plus en Europe ».
« La vérité, c’est qu’il nous faut travailler plus et produire plus de richesses dans notre pays si nous voulons protéger, avoir une politique de justice sociale et défendre le modèle social français, sa force et son avenir », a-t-il ajouté.
Et bien mon Manu, tu as tout faux !
Tout !
Et si je te le dis comme ça, c’est amical, c’est un conseil gratuit que je t’offre.
Faire travailler plus ceux qui travaillent déjà en laissant ne rien faire ceux qui n’ont jamais commencé à travailler !
Le problème de ce pays n’est pas de faire travailler plus longtemps les pauvres bougres qui se tuent à la tâche pour faire vivre des millions de gus qui revendiquent « le droit à la paresse » comme nous l’explique doctement Madame Rousseau.
Dans ce pays, on fait même travailler les taulards à pas cher et les handicapés dans les ESAT.
Mais nous avons des millions de gens qui préfèrent développer le modèle économique personnel de l’assistanat plutôt que celui du travail, et c’est logique, car le travail paye peu et mal et l’assistanat pas si mal comparativement. Ils ont raison individuellement et procèdent comme des agents économiques parfaitement rationnels.
Le modèle social français est mort !
Il n’y a plus rien à sauver dans le modèle social français qui est devenu d’une immense hypocrisie et il faut le dire, l’écrire et le crier.
Désormais les urgences sont fermées et on ne peut pas y rentrer sans avoir été trié au préalable. Trop vieux ? On prend plus !
L’école est devenue une vaste foutaise.
Le train et la SNCF sont un naufrage industriel.
L’énergie ? Autrefois indépendant avec l’électricité la moins chère on nous explique qu’il faut tout couper pour éviter la panne.
La sécurité ? La France devient un coupe-gorge.
Non, je vous assure il n’y a plus rien à sauver du modèle social français et il est au contraire très dangereux de maintenir l’illusion qu’il existe.
Il est hors de prix pour un service rendu absolument indigent. Totalement minable et misérabiliste.
Le modèle social français est totalement mort.
Il n’y a plus rien à sauver.
Il y a tout à repenser et reconstruire afin justement d’apporter de l’aide et de l’assistance à ceux qui souffrent, aide et assistance, pas assistanat et certainement pas le droit à la paresse avec l’argent des autres.
Grande nuance.
Immense nuance.
Source ZoneBourse.com ici
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