17 septembre 2022

Diana : assassinée parce qu’elle savait pour la pédocriminalité dans la famille royale ?

C’est une théorie déjà abordée, mais avouez que les derniers événements d’outre-Manche, d’outre-Atlantique et d’outre-tombe commencent à lui donner corps. 

Nous allons faire court : le prince Charles, qui est devenu le roi Charles III au bénéfice de la mort de sa reine-mère à 96 ans, a été le grand copain de Jimmy Savile, le pédocriminel de la BBC, qui a violé des centaines de gosses – ses fans – pendant des décennies. Il est mort sans avoir été inquiété. A-t-il été protégé par Charles ? Les tabloïds britanniques nous le diront... s’ils osent s’attaquer à la famille royale.

En réalité, ils se sont surtout attaqués à Diana, qui a été manipulée par les trois hommes de la famille, la Vieille couvrant l’opération : castée parce qu’elle était une oie blanche à tous points de vue, la future princesse a été mariée à un homme qui avait déjà une maîtresse, Camilla, ce qui en soit n’est pas criminel. Mais la princesse a découvert la face sombre de la famille...

La photo a de quoi choquer, pour deux raisons. D’abord, personne n’est autorisé à commettre un tel outrage. Seuls la reine et son époux peuvent poser leur royal fessier sur ces fauteuils. Ensuite, Ghislaine Maxwell et Kevin Spacey représentent toutes les dérives d’une élite qui s’est cru tout permis. Elle est suspectée d’avoir organisé un trafic sexuel. Lui est accusé depuis plusieurs années d’avoir abusé de jeunes hommes.

Selon le quotidien britannique, la photo a été prise en septembre 2002, lors d’une visite privée du palais organisée par le prince Andrew pour Bill Clinton, qui avait quitté la Maison-Blanche deux ans plus tôt. L’ancien président des États-Unis était donc lui aussi de la partie. Ce jour-là, Ghislaine Maxwell, Bill Clinton, Kevin Spacey et Jeffrey Epstein revenaient d’une semaine en Afrique dans le cadre d’une mission humanitaire pour la Clinton Foundation. C’est dans le jet privé du milliardaire – lieu supposé de toutes les débauches – qu’ils avaient fait le voyage. (Paris Match)

Cependant, au bout de quelques années, grâce à des soutiens au palais et dans la presse, Diana a compris qu’elle servait de façade clean à des choses pas très avouables. On sait par exemple aujourd’hui, depuis l’explosion de la tentaculaire affaire Epstein, révélée en profondeur par Faits & Documents, que le prince Andrew, le petit frère de Charles, a violé au moins une jeune fille sur l’île du pédocriminel juif américain. Ce n’était pas l’île de la tentation, mais celle de la pédophilie, et peut-être plus.

Cependant, une transaction (à 12 millions de livres sterling, soit 13,7 millions d’euros) a été décidée avec la victime, Virginia Giuffre, et l’affaire a été enterrée. Andrew a perdu toutes ses prérogatives royales, sur ordre de la Reine qui a financé sur sa caisse personnelle (l’impôt des Anglais) l’achat du silence.

Quand on vit à Buckingham Palace, on apprend forcément avant la presse, et a fortiori avant le grand public, ces turpitudes, et on n’a pas envie d’y être associé, par le nom ou par le sang. Alors on essaye de s’échapper, mais les murs du protocole sont hauts, très hauts.

Diana est tombée en dépression, a été anorexique, on l’a crue folle, elle était juste sensible. Le problème, c’est que sa popularité a augmenté, le grand public ayant senti inconsciemment qu’elle était plus pure que son mari, plus humaine.

Diana s’est extirpée du piège en tombant amoureuse de l’Égyptien Dodi, fils du milliardaire Mohamed Al-Fayed. Les deux tourtereaux ont été shootés sur un yacht, le cliché a fait le tour du monde, et la famille royale a avalé sa salive, surtout quand le bruit a couru que Diana allait avoir un enfant, suprême injure, avec un musulman. L’information, révélée par le détective John McNamara, embauché par le père de Dodi pour une contre-enquête, ne sera jamais confirmée officiellement.

Selon la presse people américaine, Diana, porteuse d’un enfant inacceptable et de dangereux secrets, a été éliminée sur ordre du Prince Philip (Mountbatten), qui est décédé – de mort naturelle – en 2021, à 99 ans, un an et demi avant son épouse Elizabeth II.

Peu avant sa mort (le 31 août 1997), Diana avait confié – dans une note écrite ! – son angoisse d’être assassinée, notamment « par le sabotage des freins de sa voiture ». La chose n’a pas été prise au sérieux par la protection de la famille royale. Après « l’accident », toute idée de poursuites contre le prince consort (Philip), une idée défendue par Mohamed Al Fayed, a été abandonnée par les enquêteurs de Scotland Yard.

En 2008, finalement, toute idée de complot contre Diana et Dodi a été rejetée par le juge.

« Il n’y a aucun élément montrant que le duc d’Édimbourg (mari de la reine Elizabeth, ndlr) a ordonné l’exécution de Diana, ou que les services secrets ou toute autre agence gouvernementale l’ait organisée », a affirmé le juge Scott Baker en présentant ses conclusions après six mois d’audiences publiques à la Haute Cour de Londres.

« Il n’existe aucun début de preuve soutenant les allégations de Mohamed Al-Fayed », père de Dodi, a-t-il ajouté. Les théories du complot avancées par le milliardaire égyptien sont « si manifestement infondées » que même ses avocats ont renoncé à les défendre, a-t-il poursuivi. (La Dépêche)

La pédocriminalité en Angleterre

La pédocriminalité en France

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