26 août 2022

Micropucage des enfants et nanotechnologies dans les injections anti-Covid : une réalité qu’ils ne cachent plus

Deux annonces ont circulé dans les derniers jours de ce mois d’août qui faisaient encore réagir la presse subventionnée il y a quelques mois seulement : l’Agence Européenne du Médicament (AEM) a annoncé examiner un nouveau vaccin anti-Covid faisant intervenir des nanotechnologies. D’autre part, l’un des représentants du Forum Economique de Davos a exprimé l’idée « qu’il existe des raisons solides et rationnelles de micropucer les enfants ». A leurs yeux, la population semble être prête à accepter l’inacceptable et c’est ce qui ferait la force de la troïka du Forum Economique Mondial (FEM) et de ses ambassadeurs. Récapitulatif d’une manipulation basée sur un agenda bien huilé.

L’Agence européenne du Médicament (AEM) examine un « vaccin » anti Covid à base de nanotechnologies

Un nouveau « vaccin » anti-covid, nommé Skycovion, conçu par le laboratoire pharmaceutique britannique GSK et le sud-coréen SK Bioscience (SK Chemicals selon les sources) est actuellement soumis à l’examen de l’AEM. L’information serait banale si le fabricant n’avait pas annoncé l’utilisation – et donc l’injection – de nanotechnologies introduites dans son produit.

La presse évoque plutôt l’utilisation de nanoparticules mais il y a souvent une confusion entre nanotechnologies et nanoparticules. Ces dernières sont déjà utilisées dans les injections actuellement commercialisées comme les liposomes (enveloppe lipidique) qui protègent le matériel injecté et c’est admis par la presse grand public. Ce qui ne l’est pas – pas davantage par les fabricants de l’industrie pharmaceutique et les autorités de régulation sanitaire – c’est la présence d’oxyde de graphène auquel nous avons consacré un dossier mais aussi de nanotechnologies destinées à créer un nanoréseau intracorporel, ce qu’on appelle un « wireless body area network » déjà utilisé en médecine de pointe.

Pour l’instant, aucune information n’est vraiment disponible sur le contenu de ce produit et il ne faut pas s’attendre à une réelle transparence tant sur la nature des nano éléments que sur leur programmation (cf. ci-dessous nanoparticules auto-assemblées) ou sur l’adjuvant utilisé. L’EMA donne pour l’instant une information à minima : Skycovion est un vaccin à nanoparticules auto-assemblées ciblant le domaine de liaison au récepteur de la protéine de pointe du Sars-Cov 2 […], développé conjointement avec l’Institut de Conception de Protéines de l’Ecole de médecine de l’université de Washington, en combinaison avec l’adjuvant de GSK.

On sait en revanche que le vaccin a été co-financé par la Fondation Bill et Melinda Gates et la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies – (CEPI). On peut donc déjà prévoir une issue positive car ce produit passe par les fourches caudines de ces deux grandes institutions incontournables pour l’obtention d’une autorisation de mise sur le marché. GSK fait par ailleurs partie de l’opération Warp Speed, il ne devrait donc pas être débouté.

Ce n’est pas la présence de nanoparticules en soi qui pose problème mais la nature de ces particules (l’oxyde de graphène est particulièrement toxique, on pourrait le retrouver « officiellement dans ce vaccin ; l’EMA ne donne cependant aucune indication) ainsi que l’utilisation de nanotechnologies.

L’usage de micropuces sous cutanées couplée à la vaccination avait en revanche été démentie par la presse à un moment où il y avait confusion auprès de l’opinion publique sur ces deux technologies.

Mais voilà le Forum Economique Mondial « sort du bois » et annonce ouvertement l’utilité de la micropuce ; en réalité il prépare depuis longtemps son introduction auprès des populations avec la collaboration des autorités publiques.

Le FEM annonce la justification du micropuçage des enfants

C’est dans un article du FEM daté du 16 août 2022 qui fait l’éloge du transhumanisme et de la réalité augmentée que l’on peut lire la promotion du micropuçage présenté comme une évolution naturelle :  Aussi effrayants que puissent paraître les implants de puces, ils font partie d’une évolution naturelle qu’ont connue autrefois les articles à porter. Les prothèses auditives ou les lunettes qui ne sont plus stigmatisées.

Bien sûr les intentions cachées restent cachées et il ne sera pas expliquer aux populations que les nanotechnologies qui ont déjà été injectées aux populations via les « vaccins » anti-Covid couplée à une micropuce sous-cutanée permettront d’influencer et de diriger leur comportement. Les progrès de la bio-informatique permettent de pirater l’esprit d’une personne, ce que la très grande majorité des citoyens considère comme de la science-fiction. Et pourtant.

Relayé par Aube digitale, le contenu de l’article du FEM précise également que la micropuce sera relayée par les influenceurs.

Cette technologie a besoin « d’un soutien, d’une vision et d’une audace appropriés », qui seront bien sûr fournis par vos suzerains technocrates, les mêmes personnes qui tentent désespérément de censurer l’internet pour ne pas être critiquées.

« La technologie d’augmentation sera utile à toutes les étapes de la vie : les enfants dans un environnement d’apprentissage, les professionnels au travail et les personnes âgées ambitieuses. Les possibilités sont multiples », écrit Philips.

« Devriez-vous implanter une puce de suivi à votre enfant ? », demande le scientifique, qui ajoute : « Il existe des raisons solides et rationnelles à cela, comme la sécurité. »

Tout est dit. Leur objectif est de prendre le contrôle des enfants. Les personnes âgées sont formatées et elles ont peu d’intérêt selon les déclarations de la caste dans le Nouvel Ordre des Barbares, la « vaccination » permet de justifier l’accès aux enfants, aux nouvelles générations, à ceux qui vont faire le monde de demain… mais comme esclaves des nouveaux maîtres.

Un agenda bien huilé dans le but de diriger la population mondiale comme du bétail

Quelle est la méthode du FEM et de ses seigneurs ?

Ils ont observé les annonces faites par les personnes éveillées dénonçant leurs activités et leur agenda au cours de la campagne de vaccination mondiale tout en dénonçant des propos complotistes. Et cela a fonctionné, leur politique mortifère a été suivie par la grès grande majorité de la population mondiale qui a reçu ces injections qui tuent et vont continuer de tuer. L’essentiel pour la Caste consiste à ne pas perdre la guerre de la communication, de l’information et donc de la manipulation des masses.

Puisque les populations ont accepté les injections – parfois sous la contrainte mais finalement de manière aisée (69% de la population européenne a reçu au moins une injection contre Covid au 22 août 2022, et 81% de la population française – source The world in data), ils peuvent se permettre d’avancer en annonçant ce qui finalement ne semble pas choquer les populations : l’injection de nanotechnologies ou l’utilisation de micropuces. Le message est assez clair, « vous êtes du bétail et nous vous traitons comme des animaux d’élevage ».

En avril 2022, Le directeur général de GAVI (L’alliance mondiale du vaccin), Seth Berkley, explique que « la vaccination a besoin d’un coup de pouce technologique par des systèmes d’identification numériques sécurisés pouvant stocker les antécédents médicaux d’un enfant ». Il fallait bien que ce soit le copain de Bill Gates qui l’annonce sinon cela aurait pu susciter des soupçons. Voici comment l’élite mondialiste prévoit de conduire les populations au marquage numérique grâce à l’épidémie de Covid et la vaccination.

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