La vérité a parfois du mal à s’imposer, surtout si elle dérange les consciences, si elle touche de gros intérêts financiers, si elle remet en cause le dogme. Toutes les vérités, même scientifiques, ne sont pas bonnes à dire.
Il en va ainsi des vaccins anti-Covid censés sauver l’humanité d’une pandémie dévastatrice. Administrés massivement et sous contrainte, ils n’ont empêché ni l’infection, ni la réinfection et encore moins la transmission du virus. Pire : la multiplication des doses s’est révélée être plus dangereuse que bénéfique en raison des effets secondaires nombreux et, parfois, très graves, qu’elles engendrent.
« Un facteur de risque majeur »
Un article du Lancet publié en février 2022 sur la population suédoise constatait « une diminution progressive de l’efficacité du vaccin contre l’infection par le SRAS-CoV-2 ». Au mois de juin, un médecin japonais, Kenji Yamamoto, publiait un article intitulé « Effets indésirables des vaccins et mesures pour les prévenir ».
Reprenant les éléments du Lancet, il écrit : « L’étude a montré que la fonction immunitaire des personnes vaccinées 8 mois après l’administration de deux doses de vaccin Covid-19 était inférieure à celle des personnes non vaccinées. Selon les recommandations de l’Agence européenne des médicaments, des injections de rappel fréquentes de la Covid-19 pourraient avoir un effet négatif sur la réponse immunitaire et ne sont peut-être pas réalisables. (…) Par mesure de sécurité, les nouvelles vaccinations de rappel doivent être interrompues. (…) En conclusion, la vaccination COVID-19 est un facteur de risque majeur pour les infections chez les patients en état critique. »
Un lien de causalité
D’autres scientifiques ont plus récemment alerté sur les dangers de la vaccination répétée. Stephanie Seneff, Greg Nigh, Anthony Kyriaakopoulos et Peter McCullough ont publié un article intitulé « Suppression de l’immunité innée par les vaccinations à l’ARNm du SRAS-CoV-2 : Le rôle des quadruplexes G, des exosomes et des micro-ARN. »
Dans cet article, les scientifiques présentent « des preuves que la vaccination induit une altération profonde de la signalisation de l’interféron de type I, qui a diverses conséquences néfastes sur la santé humaine. Les cellules immunitaires qui ont absorbé les nanoparticules du vaccin libèrent dans la circulation un grand nombre d’exosomes contenant une protéine de pointe ainsi que des microARN critiques qui induisent une réponse de signalisation dans les cellules réceptrices à distance… Ces perturbations ont potentiellement un lien de causalité avec les maladies neurodégénératives, la myocardite, la thrombocytopénie immunitaire, la paralysie de Bell, les maladies du foie, l’immunité adaptative altérée, la réponse altérée aux dommages de l’ADN et la tumorigenèse… Nous pensons qu’une évaluation complète des risques et des avantages des vaccins à ARNm remet en question leur contribution positive à la santé publique. »
Une découverte fondamentale
Si le public américain découvre aujourd’hui à la télévision les effets nocifs des vaccins (voir la vidéo ci-dessous), les lecteurs d’infodujour.fr sont alertés depuis longtemps par les articles de Jean-Marc Sabatier*.
Dès le mois d’avril 2020 le scientifique publiait un article révélant l’atteinte de l’immunité innée induite par le SARS-CoV-2 (via sa protéine Spike) et décrivait le dysfonctionnement du système rénine-angiotensine responsable des maladies Covid-19.
En décembre 2020, dans un article intitulé « Et si le SRA expliquait la Covid-19 ? » nous évoquions alors « l’histoire d’une découverte fondamentale française, celle du Pr Jean-Marc Sabatier, qui pourrait bouleverser la compréhension et le traitement de cette maladie décidément bien mystérieuse. »
Plus récemment, deux articles ont ébranlé les données scientifiques.
Le 29 juin, dans une interview qui a fait du bruit « Covid-19 : les limites de la vaccination » Jean-Marc Sabatier expliquait pourquoi « la vaccination pourrait, elle-même, favoriser l’infection ». En conclusion : « des injections vaccinales répétées d’un même antigène, quel qu’il soit (ici la protéine Spike du SARS-CoV-2), à des niveaux qui dépassent le seuil ‘’critique’’, conduisent inévitablement à un dérèglement de l’immunité innée, et à l’apparition de potentiels troubles auto-immuns. Ainsi, pour les vaccins anti-Covid-19 actuels, il existe au moins trois bonnes raisons scientifiques de ne pas procéder à des injections vaccinales multiples, avec l’action directe et néfaste de la protéine Spike sur le SRA et l’immunité innée, la répétition de ces injections qui dérègle également l’immunité innée de l’hôte et les effets nocifs potentiels de certains adjuvants, dont les nanoparticules lipidiques. »
Un fact checking bidon
Il est vrai qu’un fact checking de l’AFP est venu contredire les propos du scientifique. Un jeune ‘’vérificateur’’ (diplômé en histoire !) s’est cru autorisé à remettre en cause les infos contenues dans cet article.
Jean-Marc Sabatier et infodujour.fr ont donc apporté une réponse circonstanciée le 24 mai 2022 à ce fact checking à la sauce Pfizer.
L’historien-fact checker réfute l’idée selon laquelle le vaccin endommagerait le système immunitaire. Réponse de Jean-Marc Sabatier : « Les vaccins et rappels anti-Covid-19 altèrent (affaiblissent) le système immunitaire de l’hôte, car la protéine spike vaccinale est capable d’agir sur les cellules de l’immunité innée (via les récepteurs AT1R et Toll-like, notamment TLR4 et TLR2) et d’altérer leur fonctionnement.
La protéine Spike (vaccinale ou virale) affecte aussi l’immunité adaptative/acquise. Il existe ainsi une lymphocytopénie induite (liée au syndrome d’activation macrophagique et une hémo-phagocytose associée qui tue des lymphocytes T CD4+ auxiliaires et CD8+ cytotoxiques, les lymphocytes B et les cellules NK tueuses) conduisant à un syndrome d’immunodéficience acquise/induite.
Etudes : 1, 2, 3, 4, 5, 6, etc. »
La vérité est parfois difficile à admettre et longue à s’imposer. Mais elle finit par triompher face à des faits tenaces. L’histoire tourmentée de la Covid-19 et de ses vaccins qui n’en sont pas, resteront dans les annales des mensonges de l’Histoire.
*Jean-Marc Sabatier est directeur de recherches au CNRS et docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie, HDR en Biochimie. Éditeur-en-Chef des revues scientifiques internationales : « Coronaviruses » et « Infectious Disorders – Drug Targets ». Il s’exprime ici en son nom propre.
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