L'Europe rationne déjà le gaz
Même dans les nations européennes les plus développées et les plus industrieuses – en Allemagne et en France, y compris à Paris, les lumières s'éteignent et les citoyens reçoivent l'ordre de prendre des douches froides...
Vous seriez pardonné de penser que la fin des temps approche ou que la Troisième Guerre mondiale a éclaté ; mais non, c'est un coup entièrement auto-infligé, enraciné dans la ruse transparente et absurde de l'establishment pour "sauver la planète".
Ne vous méprenez pas, les misères endurées par les Européens, et en fait une grande partie de la population mondiale, atterrissent carrément aux pieds du parti AGW, ou plus directement dans leur bras d'activistes extrêmes, qui s'étreignent aux arbres et que je compare à la jeunesse hitlérienne, qui est endoctriné au-delà de tout espoir et au-delà de toute réalité.
Au coucher du soleil, une à une, les lumières extérieures de nombreuses vitrines européennes s'éteignent. Il s'agit d'une étape modeste mais symbolique dans un pas de géant en matière d'économies d'énergie que le continent entreprend alors qu'il se précipite pour se sevrer du gaz naturel et du pétrole de Russie avant que l'hiver ne frappe et que les choses ne deviennent sérieuses.
L'enjeu est de taille. Si la Russie rompt les approvisionnements en gaz, déjà considérablement réduits, les autorités craignent que l'Europe ne devienne un endroit plus froid, plus sombre et potentiellement plus meurtrier cet hiver. Son plan est d'économiser le gaz maintenant afin que tout ce qui reste puisse être récupéré pour être brûlé plus tard dans les maisons, les usines et les centrales électriques, selon les responsables.
"L'Europe doit être prête", a déclaré la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. "Pour passer l'hiver, en supposant qu'il y ait une interruption complète du gaz russe, nous devons économiser du gaz pour remplir nos stockages plus rapidement. Et pour ce faire, nous devons réduire notre consommation de gaz. Je sais que c'est une grande demande pour l'ensemble de l'Union européenne, mais c'est nécessaire pour nous protéger.
Cet effort, bien que techniquement sensé, est trop peu trop tard. L'Europe ne peut pas stocker suffisamment de gaz pour l'hiver à venir simplement en réduisant modérément la consommation pendant l'été. C'est une folie et tout ce qu'elle permettra, c'est de commencer la souffrance plus tôt. Mais les gouvernements veulent donner l'impression qu'ils font quelque chose, et donc, comme c'est toujours le cas, leur action finit par affaiblir inutilement les masses.
Le continent devrait se précipiter pour relancer les centrales au charbon déclassées, ainsi que pour augmenter la production des centrales nucléaires. Mais les responsables refusent de prendre ces mesures, du moins pas à l'échelle requise, l'UE, même à une époque aussi grave que celle-ci, est toujours paralysée par des promesses climatiques suicidaires et des contes de fées zéro carbone.
L' Europe se démène pour obtenir de l'énergie ailleurs, mais 1) à un coût élevé (par rapport au gazoduc russe Nordstream), et 2) à des quantités beaucoup plus faibles (il n'est tout simplement pas possible d'expédier ou de former les volumes nécessaires pour satisfaire un continent de 750 millions d'âmes).
En ce qui concerne cet hiver, qui, selon mes calculs, compte tenu de la faible production solaire continue ainsi que de « l'hiver volcanique » qui se déroule dans l'hémisphère sud, sera historiquement froid et enneigé, et les luttes à venir pourraient également être un signe avant-coureur du pire à venir, si la Russie coupait l'approvisionnement en gaz jusqu'en 2023, un avertissement repris par la ministre française chargée de l'énergie, Agnès Pannier-Runacher.
"Si les livraisons de gaz sont coupées d'ici la fin de l'année, cela signifiera que nous aurons une année complète sans gaz russe, donc l'hiver suivant pourrait être encore plus difficile", a déclaré Pannier-Runacher aux sénateurs français.
C'est la toile de fond du rationnement.
Nous sommes en 2022, et les Européens sont invités à prendre des douches froides, à éteindre les prises de courant/lumières pendant que leurs autorités arrivent en fin de soirée, à éteindre les lampadaires et que les villes s'assombrissent.
Comment avons-nous permis que cela se produise ? Pourquoi les gouvernements européens se sont-ils contentés de confier leur sécurité énergétique à une superpuissance étrangère ? Qui sont les génies qui pensaient que le fait de transférer leur « responsabilité » des émissions de carbone à la Russie réduirait un jour les niveaux atmosphériques de ce gaz ? Qui pensait que l'éolien et le solaire pouvaient remplacer le charbon et le gaz ? Il n'y a aucun responsable.
À l'heure actuelle en Allemagne, qui recevait un tiers de son gaz de Russie, les économies d'énergie battent leur plein, les lumières s'éteignent, les piscines publiques deviennent plus froides et les thermostats sont universellement abaissés.
Le dôme de verre du Reichstag, le bâtiment du parlement à Berlin, s'assombrit après sa fermeture aux visiteurs à minuit, et deux façades ne seront plus éclairées. Les températures des bureaux des législateurs chuteront de 2C (à 20C/68F) cet hiver. L'hôtel de ville de Berlin, le musée juif, deux opéras et l'emblématique colonne de la victoire avec vue panoramique, font partie des quelque 200 sites de la capitale allemande qui ne seront plus éclairés la nuit. Les saunas ferment dans les piscines municipales de Munich, qui ont également une eau plus froide. Il n'y aura que des douches froides dans les piscines publiques de Hanovre, dans le cadre d'un plan de la ville du nord visant à réduire sa consommation d'énergie de 15 %.
"Ce sera une route exigeante et caillouteuse, mais nous pouvons y arriver", a-t-il déclaré, ressemblant à un homme où suffisamment de temps s'était écoulé pour qu'il ait réussi à lutter intérieurement contre un cauchemar imminent, afin d'atterrir maintenant dans un lieu de spiritualité et d'acceptation.
Ailleurs, et avec une campagne baptisée "Flip the Switch", le gouvernement néerlandais met en place son propre rationnement énergétique : pas plus de cinq minutes de douches, utilisation de pare-soleil et de ventilateurs au lieu de la climatisation, et séchage du linge à l'air.
Le Premier ministre espagnol, Pedro Sánchez, a demandé aux employés de bureau d'abandonner les cravates, probablement pour atténuer la tentation d'utiliser la climatisation… ? Il a montré l'exemple en apparaissant lors d'une conférence de presse dans une chemise à col ouvert, un autre héros !
Le gouvernement italien recommande également des limites sur le chauffage et la climatisation dans les bâtiments publics, tous des héros !
Alors qu'en France, le gouvernement vise une réduction de 10% de la consommation d'énergie d'ici 2024, avec ce qu'il appelle une campagne de « sobriété énergétique ». Des amendes sont également introduites pour les magasins climatisés ou chauffés qui laissent les portes ouvertes. Des amendes ? C'est ce dont les petites entreprises ont besoin en ce moment : Macron, ce héros populaire !
« En fin de compte, il n'y a aucune raison de garder les lumières allumées la nuit », a déclaré le maire d'Aureilhan, Yannick Boubée. "Cela bouscule notre façon de penser", a ajouté Boubée, quel Boubée. « Il s'agira ensuite de convaincre les citadins d'accepter des salles de classe moins chauffées à la réouverture des écoles… Nous allons demander aux parents de mettre un pull à leurs enfants, toutes mesures qui ne coûtent rien… Nous n'avons malheureusement pas le choix.
La nourriture, comme l'énergie, pourrait être tout aussi rare cet hiver, car les récoltes autour de la planète sont médiocres pour une myriade de raisons, notamment la réduction des applications d'engrais, d'herbicides et de pesticides, les problèmes généraux de la chaîne d'approvisionnement et les intempéries.
Il s'agit d'une démolition contrôlée de la société : pour avoir une grande réinitialisation, vous avez d'abord besoin d'une grande dépression.
Je crois que les responsables, les élites, les "maîtres des marionnettes", ou peu importe comment vous voulez les appeler, prévoient de rendre la vie si misérable et si terrifiante, que la grande majorité des non préparés accepteront le nouveau système (Contrôle & Identification numériques) en un clin d'œil.
Ils seront si désespérés, si misérables et si terrifiés que tout sera préférable plutôt que de voir leurs enfants mourir de faim, peu importe à quel point les politiques sont draconiennes, et qui, en toute honnêteté, pourrait les blâmer ; dans cette position, je ferais probablement la même chose.
Mais je ne me trouve pas dans cette position, car j'ai travaillé le sujet et placé ma famille dans un lieu d'autonomie. « Le monde » pourrait prendre fin demain, mais nous continuerions à vivre en grande partie sans en être affectés : cultiver notre propre nourriture, filtrer notre propre eau et alimenter notre propre maison.
C'est là que tout le monde doit se positionner, et je les exhorte à le faire maintenant et rapidement.
C'est la seule façon de rejeter « leur » nouveau système, c'est-à-dire de ne pas en avoir besoin. Plus nous serons nombreux à avoir le pouvoir de dire « non », plus grande sera la résistance lorsque le temps de « repousser » le Nouvel Ordre des Mots, ou quel que soit le nom que vous lui donnerez, arrivera ; et ces petites libertés, au début, que nous reconquérons se multiplieront et grandiront, et l'avenir pourrait sembler beaucoup moins sombre.
Plus d'obscurcissement médiatique
C'était en effet un mois de juillet chaud, personne ne le conteste. Mais pour mettre les choses en perspective, et pour apaiser les craintes distribuées par les Médias que cette chaleur soit le symptôme d'un événement climatique cataclysmique, la France a enregistré une température moyenne de 23,18°C le mois dernier, ce qui a égalé 2018 en tant que troisième mois de juillet le plus chaud, derrière juillet 2006 et juillet 1983.
En d'autres termes, rien d’exceptionnel ne s'est produit le mois dernier, et il faisait plus chaud en 1983.
Les médias ont choisi une région chaude de la planète, en été, et l'ont ciblé à mort. Ils n'ont fait aucune mention du gel simultané d'été en Europe de l'Est, laissant le grand public mal informé, là où il le souhaitait.
Offuscation et cueillette de cerises exposées
Les Pays-Bas, situés plus au nord de la France, ont été inclus dans de nombreux rapports médiatiques concernant la chaleur en Europe. Et, comme vous le savez sûrement, les agriculteurs là-bas sont impliqués dans des manifestations de plusieurs semaines contre le gouvernement, contre le déploiement de politiques environnementales extrémistes et déstabilisatrices de l'alimentation, au nom du « réchauffement climatique anthropique ».
Eh bien, malgré le ton apocalyptique des récents bulletins météo, le mois de juillet aux Pays-Bas, selon les données officielles, s'est terminé avec une température moyenne de 18,3C qui, en quelque sorte, ressort à -0,3C EN DESSOUS de la moyenne multidécennale.
Nuits glaciales d'Afrique australe
Des nuits anormalement froides ont balayé les hautes terres sud-africaines et namibiennes ces derniers jours.
Le 1er août, Sutherland en Afrique du Sud a subi un creux de -12,2 ° C (10 ° F), Graaff Reinet enregistrant -6 ° C (21,2 ° F).
Le gel record a également eu un impact sur la Namibie, avec -3,9 ° C (25 ° F) noté dans la capitale de Windhoek.
"Une température inhabituellement froide" frappera la Nouvelle-Zélande
Les modèles météorologiques signalent un autre grand événement de neige la semaine prochaine, a déclaré MetService de la Nouvelle-Zélande, dans ses perspectives pour août.
Cette fois, les hauteurs des deux îles pourraient être affectées, ce qui fait suite à "la meilleure neige depuis une décennie", qui s'est installée sur des pans entiers de l'île du Sud en juillet, rapporte stuff.co.nz.
"Cela ressemble à une saison froide conduisant certainement vers l'île du Sud, tard dimanche et jusqu'à lundi", a déclaré le météorologue du MetService Peter Little, ajoutant que le pays devrait rester coincé dans un régime du sud, sous l'influence de l'air antarctique, même les parties inférieures de l'île du Nord souffrent de conditions difficiles.
Dimanche, la neige devrait tomber à environ 600m d'Otago vers le sud, à 700 à Canterbury et peut-être à 900m à Marlborough, a poursuivi Little. Un modèle a même fait tomber de la neige jusqu'à 400m à Wellington lundi; cependant, "ce n'est pas certain."
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