Le Dr Ryan Cole, pathologiste américain et fondateur de Cole Diagnostics, a constaté une augmentation anormale de certains cancers suite à la campagne de vaccination contre le Covid. Parmi les tendances inquiétantes, on note une augmentation inhabituelle de certains cancers rares. Selon lui, les injections contre le Covid ont peut‑être nuit aux système immunitaire des vaccinés.
Le Dr Cole est pathologiste, son travail consiste à examiner un grand nombre de coupes histologiques et à fournir ses conclusions pathologiques aux cliniciens. Récemment, il a constaté une augmentation du nombre d’adultes avec des maladies infantiles ou des cancers rares. Ces pathologies rares se développent à un rythme anormal, dans des groupes d’âge atypiques. Il a également constaté une augmentation des décès, toutes causes confondues, chez les personnes vaccinées.
En tant que professionnel explorant ces phénomènes au niveau microscopique, le Dr Cole est très troublé.
Ce ne sont absolument pas des cas isolés.
Récemment, un grand nombre de leucémies ont été signalée en Chine de manière spontanée. Tous les patients avaient été vaccinés contre le Covid.
Il semble donc que nous ayons en Chine un phénomène similaire à celui signalé par le Dr Cole.
Nous souhaitons publier ici nos résultats et susciter une attention mondiale urgente sur les hémopathies malignes comme effets indésirables des vaccins Covid.
Dernière analyse portant sur 845 cas post‑vaccinaux de leucémie
En date du 4 juin 2022, nous avons reçu deux listes avec près de 1000 cas de leucémie rapportés comme événements indésirables post‑vaccinaux. Dans notre article précédent, faute de temps, nous n’avons analysé que 235 cas certifiés. Nous fournissons désormais une analyse de tous les cas.
Après vérification, nous avons supprimé les doublons (certains cas ont été signalés dans deux groupes différents afin d’augmenter les chances d’être remontés) et les cas dont les informations étaient incomplètes. Il restait 845 cas recevables.
Pour classer les informations, nous avons adopté une méthode rigoureuse et prudente, telle que pratiquée dans le milieu. Par exemple, si le moment de l’apparition de la maladie ne comportait pas de date précise mais seulement le mois, nous avons remonté cette ambiguïté et le caractère approximatif du cas, moins propice à établir la causalité.
Voici notre analyse complète des 845 cas admis.
Analyse du genre
La moitié des patients étaient des hommes. La prédominance masculine est conforme à l’incidence généralement observée de la leucémie selon le genre.
Analyse de l’âge
Les patients étaient âgés de 1 à 80 ans, l’âge médian étant de 29 ans, et la moitié d’entre eux avaient entre 12 et 45 ans.
En examinant les cas, on constate que l’âge d’apparition de la leucémie myéloïde aiguë (LMA) et de la leucémie lymphoblastique aiguë (LLA) ne semblent pas correspondre à ceux généralement observés pour ces maladies. Par exemple, l’âge médian d’apparition de la LMA pour les cas observés est de 37,5 ans et de 32 ans pour la LLA. On constate que cet âge est très inférieur aux âges d’apparition historique de ces maladies chez les adultes, qui sont de 68 ans pour la LMA et de 70 ans pour la LLA.
La distribution géographique
L’incidence de la leucémie est généralement associée à une source de pollution environnementale ou des radiations. Cependant, les cas rapportés en Chine touchaient 29 provinces et municipalités et ne présentaient pas de caractéristiques géographiques particulières. Le seul point commun était que les patients avaient reçu le vaccin Covid. Nous nous sommes donc focalisés sur ce facteur.
Les vaccins
Parmi les patients qui ont reçu les vaccins d’un seul laboratoire, 39% ont reçu le vaccin de Sinovac Life Sciences Co. C’est la proportion la plus élevée. Ensuite, 12% ont reçu le vaccin de Beijing Institute of Biological Products Co. Certains patients ont également reçu des vaccins d’autres laboratoires moins importants.
Types de leucémie
Parmi les cas de leucémie, 49% étaient des leucémies myéloïdes aiguës, et 32% étaient des leucémise lymphoblastiques aiguës.
Les patients atteints de leucémie aiguë totalisaient 81%.
Les autres types de tumeurs malignes du sang représentent 11% des cas : syndrome myélodysplasique (n=23) ; myélome multiple (n=7) ; leucémie myéloïde chronique (n=9) ; lymphome (n=24), y compris lymphome non hodgkinien ou lymphome hodgkinien ; lymphohistiocytose hémophagocytaire (n=2) ; myélofibrose secondaire (n=1) ; sarcome myéloïde (n=1).
Exemples de cas
Cas 1061 : Homme, 30 ans. Le 29 juin 2021, il a reçu une première dose de vaccin de Sinovac Biotech. Le 21 juillet 2021, il a reçu une deuxième dose de vaccin de Chengdu Biology. Le 6 septembre 2021, il a passé un examen physique destiné aux étudiants de première année d’université et des globules blancs anormaux ont été décelés. Une leucémie myéloïde aiguë M3 a ensuite été diagnostiquée. Cependant, lors de l’examen d’entrée à l’université, avant qu’il ne soit vacciné, tout était normal. Globalement, c’était une personne en bonne santé, il était rarement malade. Il n’était pratiquement jamais enrhumé et ne prenait pas de médicaments. Il avait une alimentation équilibrée. Les facteurs génétiques et environnementaux sont exclus dans son cas.
Cas 717 : Femme, 38 ans. Le 3 août 2021, elle a reçu une deuxième dose du vaccin Sinovac Biotech. Le jour suivant, des rougeurs sont apparues sur sa jambe droite. Le médecin de l’hôpital lui a prescrit un médicament. Après quelques jours, la situation s’est améliorée. Au début du mois de septembre 2021, elle a commencé à avoir la diarrhée. Le 10 septembre, elle s’est rendue dans un hôpital local. Le médecin a transféré la patiente dans un hôpital provincial. Le 15 septembre, elle a subi une ponction de la moelle osseuse. Le 18 septembre, on lui a diagnostiqué une leucémie myéloïde aiguë M2. Le soir du 21 septembre, elle a fait une hémorragie cérébrale et est décédée.
Cas 747 : Homme de 26 ans. Le 22 juillet 2021, il a reçu la première dose du vaccin de Sinovac Biotech. Le 18 août 2021, il a pris la deuxième dose du vaccin de Lanzhou Biotechnology. Le 9 novembre 2021, il était fiévreux et s’est rendu à l’hôpital. Le 13 novembre 2021, un taux élevé de globules blancs a été découvert. Le 16 novembre, il a été transféré au deuxième hôpital de Lanzhou. Le lendemain, on lui a diagnostiqué une leucémie myéloïde aiguë M5. Aucune amélioration n’a été observée en suivant une chimiothérapie pendant cinq mois. Il est décédé le 2 avril 2022.
Concordance chronologique entre vaccinations et leucémies
Combien de temps après la vaccination la leucémie a‑t‑elle été diagnostiquée chez ces patients ? Il s’agit d’une information primordiale.
Selon notre analyse détaillée, 51% des patients ont présenté des symptômes ou ont été diagnostiqués 102 jours (médiane) après avoir reçu leur deuxième dose, avec une fourchette globale de 2 à 5 mois. Cela correspond au temps d’apparition de la leucémie. La leucémie implique une mutation génétique assez longue, généralement calculée sur une base mensuelle.
Certaines personnes ont également développé des symptômes ou ont été diagnostiquées environ deux mois après avoir reçu leur troisième dose.
Conditions des patients
Au 4 juin 2022, date à laquelle nous avons reçu les rapports, 77% des patients atteints de leucémie étaient toujours traités, 7% étaient en attente d’une transplantation et 5% étaient décédés. Un petit nombre de patients avaient abandonné le traitement, généralement pour des raisons financières ou parce que la maladie était trop avancée.
Trois types de preuves pour expliquer la leucémie post-vaccinale
Comme nous le savons, la leucémie est généralement causée par une mutation de l’ADN dans les cellules hématopoïétiques.
Trois types de données scientifiques pourraient expliquer pourquoi la leucémie se développe après avoir été vacciné.
Tout d’abord, la protéine spike entrave le mécanisme d’autoréparation de l’ADN. Des scientifiques suédois ont découvert que les protéines spike du virus SRAS‑CoV‑2 entravent deux mécanismes majeurs d’autoréparation de l’ADN cellulaire humain : la jonction des extrémités non homologues (Non‑Homologous End Joining ou NHEJ) et la recombinaison homologue (Homologous Recombination ou HR).
Lorsque ces deux mécanismes sont entravés, la capacité de l’ADN à s’autoréparer est considérablement réduite, ce qui entraîne des mutations génétiques.
Deuxièmement, le SRAS‑CoV‑2 peut altérer l’ADN humain. Selon une étude publiée par le Massachusetts Institute of Technology, bien que le SRAS‑CoV‑2 ne soit pas un rétrovirus, il est en mesure de modifier l’ADN humain.
Un rapport de cas clinique a révélé une manifestation clinique de leucémie myéloïde aiguë après une ponction de la moelle osseuse suite à une infection par le Covid‑19. Selon les auteurs, il s’agirait d’un cas inquiétant.
Troisièmement, en six heures seulement après la pénétration du vaccin Pfizer Covid‑19 à ARNm dans des cellules hépatiques humaines cultivées in vitro, l’ARNm du vaccin peut achever sa « transcriptase inverse » dans les cellules et affecter les gènes humains. Cela constitue une preuve irréfutable que les vaccins à ARNm peuvent affecter le génome humain.
Si le virus d’un vaccin inactivé n’est pas complètement inactivé, son ARNm est toujours présent et peut s’insérer dans le génome humain et ainsi modifier les gènes.
« Cas de leucémie liés aux vaccins », un argument sans poids ?
Après la diffusion en ligne de notre analyse préliminaire, les lecteurs ont publié leurs commentaires.
Certains avaient eux aussi entendu parler de personnes atteintes de leucémie après avoir été vaccinées. D’autres en étaient eux‑mêmes atteints. D’autres encore avaient des proches qui l’étaient. Pour la plupart d’entre eux, ils avaient demandé de l’aide à leurs médecins, ils avaient demandé si cela pouvait être lié aux vaccins, mais n’avaient reçu aucune attention.
D’autres internautes ont déclaré qu’il n’était pas nécessaire d’accorder autant d’attention à ces cas, certains ont affirmé qu’il s’agissait d’une campagne visant à diffamer la Chine.
Un lecteur a écrit : « Avec un taux d’incidence normal de 30 sur un million par an, étant donné que 1,2 milliard de personnes ont été vaccinées en Chine, il n’y a rien d’anormal dans le fait que 36.000 personnes développent une leucémie. Nous ne pouvons pas exclure cette réalité, donc ce n’est pas convaincant. »
A l’époque où je travaillais dans une grande entreprise pharmaceutique internationale, si des événements indésirables graves apparaissaient après la mise sur le marché d’un nouveau médicament, nous devions envoyer notre personnel dans les hôpitaux et auprès des patients. La maladie n’était peut-être pas liée au médicament, mais il fallait faire acte de présence à partir du moment où un événement indésirable avait été signalé. Nous devions également soumettre un rapport d’enquête à l’autorité de réglementation pharmaceutique. Dans un cas, il m’est arrivé de me rendre auprès du patient en train et de veiller à son chevet pendant deux nuits pour en savoir plus sur sa situation.
Dans le milieu, on appelle cela la « diligence raisonnable ».
Il s’agit d’une question de conduite professionnelle, de minimum déontologique, peu importe les résultats de l’analyse finale. Il est avant tout question d’assumer ses responsabilités et de traiter les patients.
Si, au lieu d’augmenter, l’incidence de la leucémie avait diminué, cela n’aurait rien changé. Ces 800 patients sont toujours en vie et leur vie est en danger.
Peu importe que j’aie été médecin dans le passé ou plus tard spécialiste de la pharmacovigilance dans une entreprise pharmaceutique, ce qui me préoccupe actuellement, c’est de déterminer s’il existe une relation de cause à effet entre ces plus de 800 cas de leucémie et leur vaccination. Et nous devrions tous nous en inquiéter par respect pour ces personnes et pour la vie.
Parmi ces patients atteints de leucémie, et c’est là que se trouve la solution, il y a un schéma cohérent. Aucun n’a d’antécédents d’exposition aux radiations, pas d’antécédents familiaux de maladies héréditaires et il n’y a aucune spécificité géographique. La seule chose qu’ils ont en commun, c’est d’avoir reçu des vaccins Covid‑19, et dans la plupart des cas, leurs symptômes sont apparus en moyenne trois mois après leur deuxième dose. Il s’agit d’un schéma très troublant, aussi déconcertant que celui observé par le Dr Cole.
Malheureusement, le problème est loin d’être résolu, car la vaccination obligatoire à grande échelle est toujours en cours. Si les vaccins sont effectivement liés à ces événements indésirables, des mesures doivent être prises, au minimum, la vaccination doit être suspendue pour certaines personnes. Il s’agit d’une démarche tout à fait sensée, acceptable. Il y a tout juste un an, au moins deux situations de ce type se sont produites.
En mars 2021, des caillots sanguins et des décès suite au vaccin AstraZeneca ont été signalés dans plusieurs pays européens. En une semaine, le Danemark, la Norvège, l’Islande et la Bulgarie ont suspendu la vaccination avec ce vaccin spécifique.
En octobre 2021, la vaccination des jeunes avec le vaccin Moderna en Europe du Nord a été suspendue en raison d’un risque accru de cardiopathie.
Il ne s’agit donc en aucun cas d’une préoccupation « politique » ni d’une « méfiance exagérée ». Il s’agit d’un acte approprié de réglementation et de surveillance de la santé et des soins médicaux. De plus, ce vaccin est le premier à avoir été administré obligatoirement à grande échelle dans le monde entier. Or, il a été mis sur le marché seulement un an après avoir été mis au point. L’industrie pharmaceutique et les laboratoires en charge de développer des vaccins n’avaient jamais pris un tel risque auparavant. Alors comment peut on se permettre d’ignorer ses probables effets secondaires ?
Trois aliments naturels pour prévenir et traiter la leucémie
Si quelqu’un souffre malheureusement de leucémie, peut‑on la traiter ? Quels aliments naturels peuvent aider à prévenir la leucémie ?
La leucémie est généralement traitée par chimiothérapie ou transplantation. Comme nous le savons, les globules blancs du patient leucémique sont affectés par des facteurs externes nuisibles au cours de leur développement et subissent des mutations génétiques. En conséquence, ils échappent au cycle de vie cellulaire normal et se multiplient indéfiniment. Les gènes sont le code de la vie, et leur mutation est une attaque profonde pour l’organisme.
Afin de remédier à un état anormal des cellules, outre les médicaments, on peut mettre à profit des méthodes plus naturelles.
La médecine traditionnelle chinoise met l’accent sur le lien entre traitement et alimentation. Nous allons maintenant présenter quelques aliments efficaces face à la leucémie.
Mangoustan (xanthone)
Le mangoustan contient un principe actif appelé xanthone. Lors d’une étude publiée dans le Journal of Natural Products, l’Institut international de biotechnologie Gifu, au Japon, montre que les xanthones peuvent induire l’apoptose (mort cellulaire) dans les lignées cellulaires leucémiques.
Les chercheurs ont étudié six xanthones. Ils ont découvert qu’elles pouvaient toutes inhiber la croissance des cellules cancéreuses. Parmi celles-ci, l’α‑mangostine a montré une inhibition complète des cellules leucémiques à une concentration de 10 μM. De plus, elle n’est pas toxique pour les cellules saines.
La leucémie est une prolifération anormale de cellules du sang qui ne passent pas par une apoptose (mort cellulaire) normale et qui prolifèrent donc sans fin. D’autres études ont révélé que l’α‑mangostine peut induire l’apoptose des cellules leucémiques en trois heures seulement. Toutefois, il convient de noter que le mangoustan est de nature froide et qu’il ne doit pas être consommé par les personnes ayant une constitution « carence‑froid », [selon la typologie de la médecine traditionnelle chinoise, ndlr]. Il est également riche en sucre, les diabétiques doivent donc en tenir compte.
Champignon amande
Le champignon amande est également connu sous le nom d’Agaricus blazei Murill (AbM). Les Japonais ont découvert ses effets anticancéreux ainsi que sa capacité à renforcer l’immunité. Ils ont donc développé de nombreux aliments bons pour la santé à base de ce champignon.
En 2017, une étude publiée dans BioMed Research International a révélé que l’extrait d’Agaricus blazei (Andosan) a pour effet d’inhiber les cellules leucémiques humaines.
Il a été découvert que l’ajout de 5% et 10% d’Andosan inhibait la croissance des cellules cancéreuses de 17% et 23%, respectivement.
Dans une étude du cycle cellulaire, les chercheurs ont cultivé des cellules de différentes phases cellulaires (phases sub G1, G1, S et G2) dans un groupe expérimental ayant 10% d’Andosan et dans un groupe témoin, et ils ont observé les changements.
Comme nous le savons, la réplication cellulaire comporte des cycles de naissance, de vieillissement, de maladie et de mort. Il en va de même pour les cellules cancéreuses. On a découvert que le pourcentage de cellules en phase apoptotique (phase sub G1) [ou de mort cellulaire, ndlr] était plus élevé dans les cellules cultivées ayant l’ajout de 10% d’Andosan, alors que le pourcentage de cellules en phase de croissance 1 (phase G1) était plus faible. Cela suggère que l’andosan peut induire l’apoptose des cellules cancéreuses.
Les composés contenus dans le champignon amande peuvent également renforcer l’effet thérapeutique de la chimiothérapie. Il sera donc plus efficace d’associer la chimiothérapie à une thérapie diététique.
Le thé vert
Le thé est une des boissons les plus populaires et c’est une boisson saine. Une étude publiée dans Nature Reviews Cancer, portant sur des recherches faites sur des animaux, montre que certains extraits de thé vert inhibent la formation et le développement de tumeurs dans différents organes.
Le thé vert contient une grande quantité de catéchines (dont l’EGCG), qui inhibent de nombreux cancers hématologiques. Les catéchines peuvent agir de plusieurs façons sur les cellules cancéreuses, inhiber la prolifération des cellules cancéreuses, renforcer l’apoptose des cellules cancéreuses et inhiber l’invasion cellulaire, l’angiogenèse et les métastases.
Une caractéristique de nombreux médicaments naturels est leur capacité à agir sur des « cibles multiples ». Les médicaments occidentaux n’agissent généralement que sur une « cible unique ». Cela fait une grande différence dans leur efficacité.
Une étude de cohorte prospective de 9 ans portant sur environ 42.000 participants a évalué l’association entre le thé vert et le risque de tumeurs hématologiques. Cette étude ne manque pas d’être très convaincante.
Elle a révélé que les personnes buvant une à cinq tasses de thé par jour présentaient des degrés variables de réduction du risque de leucémie, par rapport à celles qui ne buvaient pas de thé. Le risque de leucémie était significativement plus faible chez les personnes qui buvaient cinq tasses par jour.
Il faut faire attention à la température de l’eau lors de la préparation du thé vert. Elle ne doit pas dépasser 80℃, car une température trop élevée peut endommager les catéchines et autres substances contenues dans le thé.
Nous espérons que ces données de recherche sur les plantes naturelles pourront vous aider à prévenir et à traiter la leucémie. Par ailleurs, il faut éviter tout contact avec les substances cancérigènes et les radiations, et limiter son exposition aux appareils électroniques.
Références :
Are COVID Jabs Causing Leukemia? A Preliminary Analysis of Adverse Event Cases (theepochtimes.com)
新冠疫苗:泰国和欧洲多国暂停接种阿斯利康疫苗‑ BBC News 中文
北欧国家暂停年轻人群接种Moderna新冠疫苗‑ 华尔街日报
SARS–CoV–2 Spike Impairs DNA Damage Repair and Inhibits V(D)J Recombination In Vitro
Induction of Apoptosis by Xanthones from Mangosteen in Human Leukemia Cell Lines
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2829848/?report=reader#!po=6.41026
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