Ulrike Reisner poursuit sa réflexion sur la meilleure façon de résister à la caste. La tâche la plus importante de la résistance est de veiller à ce que ce « crime contre l'humanité » actuel soit mis en lumière, à ce que les auteurs rendent des comptes et à ce que leurs actes restent vivants le plus longtemps possible dans la mémoire de la société.
Le 27 janvier dernier, 77 ans après la libération du camp d’Auschwitz, le président du Parlement israélien Mickey Levy a prononcé un discours au Bundestag allemand à la mémoire des « six millions d’âmes silencieuses assassinées par les nazis, y compris les innombrables enfants réduits au silence par les armes à feu et les gaz toxiques avant même que leur vie ne commence. »[1] Peu de pays dans le monde seraient aussi prompts que l’Allemagne à s’engager dans un discours public sur son passé sombre, a déclaré le président de la Knesset, l’enseignement de l’Holocauste est obligatoire en Allemagne et les lois allemandes sur la pénalisation de l’antisémitisme et du négationnisme seraient les plus avancées du continent.
Que pouvons-nous apprendre de cet exemple dans notre résistance aux mesures restrictives que les États appliquent à leurs citoyens dans le cadre de la crise de la Corona ? 77 ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’Holocauste (ou la Shoah) est omniprésent en Europe en tant que crime de génocide perpétré par les nazis contre les Juifs. C’est un mythe que l’on entretient dans le monde entier pour ne pas l’oublier. C’est une arme politique qui a récemment été utilisée autour de l’Ukraine, où Israël a déclaré qu’aucune guerre ne pouvait être comparée à la Shoah.[2] C’est un moyen de pression économique qui peut accorder une restitution et des droits spéciaux aux descendants des victimes de l’époque[3].
Les mesures restrictives prises par les Etats en Europe, soi-disant pour endiguer une pandémie, sont à leur tour sans précédent en termes d’atteinte à l’intégrité personnelle et physique de millions de citoyens. « La pandémie COVID-19 est l’un des événements infectieux les plus manipulés de l’histoire, caractérisé par des mensonges officiels dans un flux sans fin, mené par les bureaucraties gouvernementales, les associations médicales, les comités médicaux, les médias et les agences internationales ». C’est ce qu’écrit le neurochirurgien américain Russel L. Blaylock dans sa dernière publication « COVID UPDATE : What is the truth? »[4]
La tâche la plus importante de la résistance commune est donc de faire en sorte que cette manipulation qui pourrait prendre des dimensions de « crime contre l’humanité » soit mis en lumière, que ses auteurs soient amenés à rendre des comptes et que leurs actes restent vivants dans la mémoire de la société aussi longtemps que possible.
Les auteurs sont connus
Des livres d’investigation comme celui de Robert F. Kennedy Jr.[5] montrent que les grandes industries et leurs lobbyistes utilisent leur contrôle sur les médias, les revues scientifiques, les principales institutions gouvernementales et para-gouvernementales, les services secrets mondiaux ainsi que les scientifiques et médecins influents pour faire valoir leurs intérêts. Dans le sillage de la crise de la Corona, les gouvernements en France et dans de nombreux autres pays, avec le soutien de l’administration et des autorités sanitaires, prescrivent de force des « traitements médicaux ». Ce faisant, ils ne se basent pas sur l’expérience des médecins mais sur les directives de l’industrie pharmaceutique, des organisations internationales (par ex. l’OMS) et des autorités (par ex. le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies) ainsi que des ONG (par ex. l’Alliance EcoHealth) et des fondations (par ex. la Fondation Gates).
Ces gouvernements ouvrent également la porte à la recherche controversée sur les gains de fonction (il est désormais établi que les laboratoires de recherche de Wuhan se sont livrés à des recherches de type « game-of-function » sur les coronavirus). Les gouvernements ne disent rien de l’existence de laboratoires de biotechnologie menant des recherches à haut risque en Ukraine ou en Géorgie. Les gouvernements ne disent pas non plus qu’un scénario de pandémie de variole du singe a été élaboré pour la conférence de sécurité de Munich en 2021. Ils ne disent rien du fait que l’accumulation de cas de variole du singe s’est produite juste avant le début de l’Assemblée mondiale de la santé de l’OMS, où le renforcement du Règlement sanitaire international devait être décidé à l’initiative des États-Unis. Grâce à l’intervention unie de nombreux pays africains ainsi que des pays BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud), de l’Iran et de la Malaisie, les plans de l’OMS – visant à mettre en œuvre un traité de pandémie de grande envergure – ont pour l’instant échoué. Mais l’idée de pouvoir contrôler la souveraineté nationale par le biais d’une organisation internationale va perdurer.
Les États se taisent également sur le fait que les organisations internationales comme l’OMS ont besoin d’argent, qu’elles reçoivent de grandes fondations qui, elles, recherchent le pouvoir mondial. Grégor Puppinck, directeur du Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ), a récemment souligné cette forme de corruption dans un discours intéressant à Budapest[6]: « A la Cour européenne des droits de l’homme à Strasbourg, nous avons découvert qu’au cours des dix dernières années, au moins 22 des 100 juges étaient d’anciens collaborateurs de sept organisations non gouvernementales et fondations, comme l’Open Society, Human Rights Watch, Amnesty International ou la Commission internationale des juristes. Parmi ces 22 juges, 12 sont d’anciens employés ou membres du conseil d’administration de l’Open Society de George Soros ».
L’acte est connu
Pendant la crise de Corona, les gouvernements, l’administration et les autorités sanitaires ont délibérément mis en danger la vie des citoyens malades. Contrairement à toutes les normes médicales, ils n’ont pas traité les infections à temps et de manière professionnelle (lorsque l’ambulance a été appelée pour une détresse respiratoire, il était souvent déjà trop tard). Les professionnels de la santé qui voulaient traiter ces malades à domicile ont été menacés, persécutés et leur base économique a souvent été détruite.
Contre toute attente, la France et d’autres États ont pris des mesures dont il est avéré qu’elles étaient controversées (port de masques au quotidien, utilisation du test PCR imprécis), peu pertinentes (traçabilité des contacts, dépistage des personnes non infectées), ou gravement attentatoires aux droits fondamentaux (confinement, éloignement social). Ces mesures ont laissé d’énormes dégâts dans les sociétés. Au début de cette année, le Fonds monétaire international a estimé le coût de la pandémie de COVID à 12,5 billions de dollars à l’échelle mondiale (jusqu’en 2024).[7]
Contre toute attente, la France et d’autres États ont largement utilisé des médicaments expérimentaux, qui ont été autorisés en urgence beaucoup trop rapidement et sans avoir été testés proprement en termes d’efficacité et de sécurité. Contre toute attente, des millions de citoyens ont été contraints de subir plusieurs fois ce traitement expérimental, alors que son efficacité n’était pas assurée, que ses effets secondaires étaient fréquents (mais seulement partiellement connus) et qu’il ne permettrait pas d’enrayer la transmission du virus.
Les dommages sont connus
Il est un fait que les vaccins COVID-19 actuellement autorisés pour une utilisation conditionnelle en sont à la phase III des essais cliniques. Lentement, les données et les études montrent l’efficacité décroissante, voire négative, des préparations à base d’ARNm. Une étude intéressante, bien qu’inquiétante, a été publiée récemment sur ScienceDirect[8]. Les auteurs résument: « Compte tenu du grand nombre de personnes auxquelles les vaccins ARNm du SRAS-CoV-2 ont été injectés et du large éventail d’effets indésirables que nous avons décrits, ce sont finalement des milliards de vies qui sont potentiellement en danger. Nous demandons aux institutions de santé publique de démontrer, preuves à l’appui, pourquoi les questions abordées dans ce document ne sont pas pertinentes pour la santé publique, ou de reconnaître qu’elles le sont, et d’agir en conséquence ».
Il est un fait que les dommages collatéraux sociaux et économiques sont si énormes qu’ils se feront sentir pendant de nombreuses années. En janvier de cette année, le Johns Hopkins Institute for Applied Economics, Global Health and the Study of Business Enterprise a publié un document de travail[9] dont il ressort clairement que les confinements dans le monde entier n’ont eu aucun impact sur la mortalité Covid-19 : « Les confinements ont toutefois eu des effets dévastateurs. Ils ont contribué à restreindre l’activité économique, à augmenter le chômage, à limiter la scolarisation, à provoquer des troubles politiques, à contribuer à la violence domestique, à affecter la qualité de vie et à saper la démocratie libérale ».
Il est un fait que ce n’est qu’aujourd’hui et dans les années à venir que nous pouvons mesurer, à l’aune de la surmortalité, le nombre de victimes silencieuses de la crise de la Corona. Des personnes qui sont mortes ou qui mourront des suites de la vaccination, de maladies non traitées, de la détresse économique ou de l’isolement social.
C’est la tâche de notre résistance de rassembler et de diffuser inlassablement ces faits.
C’est à notre résistance de donner un visage et une voix aux victimes de plus en plus nombreuses des mesures restrictives et de veiller à ce qu’elles soient prises en compte.
Il est du devoir de notre résistance de rendre visibles les auteurs et d’exiger réparation. Les responsables doivent payer les frais, les coûts ne doivent pas être répercutés sur la collectivité.
C’est ce que nous pouvons apprendre de la Shoah – et il ne s’agit pas de comparer ou d’opposer ces deux événements historiques, mais d’extraire des processus démocratiques opératoires issus de l’enseignement donné par les drames mondiaux.
[1] https://www.welt.de/debatte/kommentare/article236486923/Holocaust-Gedenken-Unsere-demokratische-Lebensweise-ist-zerbrechlich.html
[2] https://www.tf1info.fr/international/video-guerre-ukraine-russie-sang-juif-d-hitler-apres-la-condamnation-des-propos-de-serguei-lavrov-la-russie-accuse-israel-de-soutenir-le-regime-neonazi-de-kiev-2218558.html
[3] En Autriche, ceux-ci obtiennent depuis deux ans la nationalité autrichienne par une procédure simplifiée, par ex.
[4] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9062939/
[5] „The Real Anthony Fauci: Bill Gates, Big Pharma, and the Global War on Democracy and Public Health”,
[6] https://youtu.be/luQKoyVv8oc
[7] https://www.reuters.com/business/imf-sees-cost-covid-pandemic-rising-beyond-125-trillion-estimate-2022-01-20/
[8] „Innate immune suppression by SARS-CoV-2 mRNA vaccinations: The role of G-quadruplexes, exosomes, and MicroRNAs“; https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S027869152200206X
[9] https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/05/A-Systematic-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-of-COVID-19-Mortality-II.pdf
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