20 juin 2022

La réponse vaccinale au Covid était planifiée à l’avance

Pendant les recherches pour leur livre « The Courage to Face Covid‑19 : Preventing Hospitalization and Death While Battling the Bio‑Pharmaceutical Complex » [Le courage d’affronter Covid‑19 : prévenir l’hospitalisation et la mort tout en luttant contre l’industrie bio‑pharmaceutique, ndt.], le Dr Peter McCullough, cardiologue, et l’écrivain John Leake ont découvert que les dirigeants mondiaux ont décidé de faire de la vaccination la principale réponse à la pandémie de Covid‑19 de manière arbitraire.

« Tout a été complètement annoncé depuis le début », explique le Dr McCullough dans l’émission American Thought Leaders d’EpochTV. « En 2010, Gates a déclaré que ce serait la décennie des vaccins. Plus tard, il a signalé lors d’une réunion que le retour sur investissement des vaccins avait été d’au moins 20 pour 1. »

« Il est clair que le système se frotte les mains avec les vaccins. »

Le Dr McCullough fait référence à un post de 2010 de Bill Gates sur Twitter, dans lequel le milliardaire a écrit : « Une décennie de vaccins – un engagement de 10 milliards de dollars sur 10 ans pour la recherche, le développement et la fourniture de vaccins. »

En 2019, Gates a déclaré à Becky Quick de CNBC sur Squawk Box depuis le Forum économique mondial de Davos, en Suisse : « Nous avons le sentiment qu’il y a eu un retour de plus de 20 pour 1. » Il évoquait son investissement de 10 milliards de dollars dans le développement de vaccins.

Durant l’émission, M. Leake s’interroge : « Pourquoi les vaccins Covid, qui ont été développés à la hâte, ont été présentés comme sûrs et promus comme unique solution à la pandémie tandis que des traitements alternatifs efficaces et non autorisés ont été diabolisés ? »

« Ce que nous avons découvert durant nos recherches et ce que nous exposons dans notre livre, c’est que tout cela a été planifié bien à l’avance. »

M. Leake évoque également l’obsession de Bill Gates pour les vaccins.

« Gates semble avoir en quelque sorte déplacé son esprit qui a tendance à vouloir tout monopoliser du secteur informatique vers celui des vaccins. »

Gates est également le fondateur et le principal contributeur de la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies (CEPI), qui a été lancée durant le Forum économique mondial de 2017. Selon le programme de l’organisation, tout est axé sur le développement de vaccins, sans aucune mention d’autres traitements, explique le Dr McCullough.

La CEPI prétend réunir des chefs d’État, des entreprises privées et des philanthropes pour « accélérer » le développement de vaccins afin de prévenir de futures « épidémies et pandémies » et de s’assurer que « toutes les personnes dans le besoin » aient accès à ces vaccins.

Son livre intitulé « How to Prevent the Next Pandemic » représente un des efforts les plus récents de Gates en faveur de la prolifération des vaccins. Dans l’ouvrage, Gates plaide pour la création d’une organisme mondial ultra-financé, gérée par l’OMS, et dont la mission serait de repérer la prochaine pandémie et d’y répondre, poursuit le Dr McCullough.

Epoch Times a contacté la Fondation Bill‑et‑Melinda‑Gates pour une demande de commentaire.

Selon le Dr McCullough, les vaccins n’aident généralement pas beaucoup pour prévenir les maladies liées aux infections des voies respiratoires supérieures mais ils ont tout de même été promus comme la réponse la plus efficace à la pandémie de Covid‑19.

« Il n’y a pas une seule piqûre dans le bras qui puisse vraiment faire quoi que ce soit pour une maladie respiratoire », affirme le Dr McCullough.

Il ajoute que les vaccins Covid ont été introduits « avec un argument implicite, et cet argument est : ‘Ils sont sûrs et efficaces, donc vous devez les prendre.’ Point final. Aucune négociation après ça. Aucune discussion officielle sur la sécurité et l’efficacité, aucune garantie de réévaluation, aucun examen mensuel sur leur sécurité ».

L’innocuité était tout simplement présumée, même après la publication d’un article scientifique chinois indiquant que le vaccin posait des problèmes majeurs pour les personnes ayant des problèmes de santé sous‑jacents, rappelle le Dr McCullough.

Le Dr McCullough qualifie cette utilisation mondiale des vaccins de « cataclysme biologique ».

Par ailleurs, la Food and drug administration (FDA) a tenté de dissimuler les informations relatives à l’innocuité et à l’efficacité des vaccins « en mettant sous scellés, pendant 55 ans, le ‘dossier Pfizer’, soit environ un demi‑million de pages de documents détaillant les principaux résultats du développement et de la mise en œuvre des vaccins », poursuit le Dr McCullough.

L’association Public Health and Medical Professionals for Transparency a poursuivi la FDA en vertu de la Loi d’accès à l’information (FOIA) et a demandé que le dossier soit rendu public.

Dans sa décision, le juge de district américain Mark Pittman a déclaré que la demande du groupe en vertu de la Loi d’accès à l’information était « d’une importance publique primordiale » et a ordonné à la FDA de communiquer 55.000 pages par mois (pdf).

« [Grâce à ces documents] nous avons appris qu’il y avait eu 1223 décès dans les 90 jours suivant le lancement mondial des vaccins Pfizer. La norme est généralement de 50 décès pour un produit largement utilisé, et il est retiré du marché. »

Les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) enregistrent certains des décès grâce à un registre permettant au grand public de signaler les effets indésirables liés au vaccins, le VAERS (Vaccine Adverse Events Recording System).

Le Dr McCullough indique que 13.000 décès ont été remontés au VAERS suite à l’administration des vaccins Covid.

« C’est stupéfiant. Nous n’avons jamais laissé un produit fonctionner comme cela pendant une telle période sans revoir la sécurité, sans signaler le problème. La sécurité n’a même pas été remise en question, même si cela entraînait la mort. »

Le Dr McCullough ajoute que les trois principaux vaccins ont également provoqué de nombreux effets secondaires non mortels mais graves, notamment des lésions cardiaques, des caillots sanguins et des maladies auto‑immunes.

Epoch Times a contacté Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson pour une demande de commentaire concernant la sécurité des vaccins.

« Beaucoup de gens n’ont pas compris, je pense, qu’il s’agit d’une technologie complètement nouvelle », déclare M. Leake. « Il s’agit de technologies de transfert génétique. On injecte de l’ARN messager qui code pour la production de la protéine spike… donc c’est digne de Star Trek ! »

Selon Dr McCullough, il est faux de prétendre que les vaccins réduisent les hospitalisations et les décès.

Il n’y a pas eu d’essais randomisés approfondis avec le médicament actif et un placebo pour montrer une réduction des hospitalisations et des décès, explique‑t‑il.

« Aucun des vaccins n’a fait l’objet d’essais cliniques avec placebo et critère composite. Ce qui s’est passé au fil du temps, c’est un faux narratif qui s’est construit au fur et à mesure des données d’observation. »

Il y a eu de nombreuses « analyses biaisées par des enquêteurs et des médecins, ainsi que par l’industrie biopharmaceutique qui s’efforce de promouvoir les vaccins. »

Les analyses, précise‑t‑il, reposent sur des données erronées et biaisées. Ces données ne tiennent pas compte des personnes vaccinées qui sont hospitalisées. Au lieu de cela, toutes les patients qui arrivent à l’hôpital avec le Covid sont comptées par défaut comme non vaccinés.

« Je peux vous dire que les personnes qui ont été vaccinées ont très probablement pris un traitement précoce, et c’est ça qui a vraiment réduit les hospitalisations et les décès. »

Gates, Anderson Cooper et la vice‑présidente Kamala Harris sont tous vaccinés mais ont également pris du Paxlovid, un traitement précoce pour le Covid‑19, rappelle le cardiologue.

Selon M. Leake les traitements précoces ont été soumis à des examens de sécurité beaucoup plus rigoureux que les vaccins à ARNm : « Tout à coup, avec les vaccins, on jette par la fenêtre la méthodologie et la rigueur pour évaluer la sécurité et l’efficacité. »

Selon le Dr McCullough, la pandémie aurait pu prendre fin rapidement si des ressources avaient été consacrées à l’administration précoce de traitements à l’hydroxychloroquine et à l’ivermectine aux patients à haut risque. Mais au lieu de cela, ces traitements précoces ont été dénigrés.

Le Dr McCullough a également évoqué les anticorps monoclonaux, un autre traitement sûr et efficace écarté au profit des vaccins.

Malgré le fait que ces traitements précoces fonctionnent bien, ils sont retirés des rayons, mais les vaccins, dont la sécurité et l’efficacité n’ont pas été prouvées, ont été présentés au public comme la solution à la pandémie, explique le Dr McCullough.

M. Leake et le Dr McCullough ont décrit ce qu’ils ont observé et documenté comme une « solution vaccinale monolithique » pour tous les problèmes de santé publique.

« Voilà ce que sont ces fondations internationales, la fondation Gates, la fondation Rockefeller ou le Wellcome Trust, des gros bonnets qui ont misé tout leur argent sur les vaccins », affirme M. Leake.

Le livre documente la manière dont d’autres institutions nationales, comme les National Institutes of Health (NIH), profitent de ces vaccins et de leur relation avec les « philanthropes » fortunés.

« Ils ont en fait tenu une réunion dans la grande maison de Bill Gates, près de Seattle, en 2000. Pendant 20 ans, ils ont travaillé ensemble », poursuit M. Leake.

Il existe un programme de vaccination, dans lequel les pouvoirs en place veulent que chaque personne continue à se faire vacciner indéfiniment, annonce le Dr McCullough.

« Ils ont fait avancer ces choses et, dans le même temps, on oublie la sécurité, et ça s’est passé sur l’ensemble du globe », poursuit‑il.

Le Dr McCullough et M. Leake estiment qu’il faut lever toutes les prescriptions relatives aux vaccins et que tous les vaccins Covid‑19 doivent être retirés et examinés de manière approfondie.

« Nous avons été traités avec le plus grand des mépris », poursuit le Dr McCullough. « Cette vaccination massive à l’échelle mondiale en pleine pandémie, cela a été, dans un sens, le plus grand crime de notre époque, peut‑être de tous les temps. »

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