Cette semaine, Naomi Wolf, qui suit cela de près, et elle a poussé un coup de gueule parlant de « génocide » dans ce papier. Cette personne est écrivain et journaliste, militante féministe, ancienne conseillère des campagnes de Bill Clinton et d’Al Gore. Elle est aujourd’hui considérée comme théoricienne du complot, mais ce papier s’appuie sur les travaux d’autres personnes, et les sources citées sont des études publiées et les documents Pfizer, reprenant les recherches du WarRoom / DailyClout, un groupe de 3000 médecins, qui produisent rapport après rapport (sur DailyClout.io.), ce qu’ils trouvent dans les 55 000 documents internes de Pfizer que la FDA avait demandé à un tribunal de garder secrets pendant 75 ans, et que la justice a ordonné de publier. Rien que ce refus de publier est la preuve qu’il y a des choses à cacher.
Quelques extraits stupéfiants, tellement gros qu’il faudrait presque vérifier les vérifications, l’invraisemblable et le vrai semblant se confondre. Quelques traductions :
Les bénévoles de WarRoom/DailyClout ont confirmé que Pfizer (et donc la FDA) savait en décembre 2020 que les vaccins à ARNm ne fonctionnaient pas et qu’ils perdaient en efficacité.
Pfizer savait également en mai 2021 que le cœur de 35 jeunes avait été endommagé une semaine après l’injection d’ARNm, mais la FDA l’a quand même autorisé pour les adolescents un mois plus tard, sans mise en garde sur les dommages cardiaques jusqu’à ce que des milliers d’adolescents ont été vaccinés. https://www.jpeds.com/article/S0022-3476(22)00282-7/fulltext# ; https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8312754/ .
Pfizer, et donc la FDA, de nombreux documents indiquant « FDA : CONFIDENTIEL » en bas de page) savaient que, contrairement à ce que les médecins et les autorités nous ont affirmé, l’ARNm, la spike et les nanoparticules lipidiques ne restaient pas dans le site d’injection du deltoïde, mais plutôt, dans les 48 heures, dans la circulation sanguine, de là pour se loger dans le foie, la rate, les surrénales, les ganglions lymphatiques et, les ovaires et testicules. https://dailyclout.io/internal-pfizer-documents-prove-knowledge-that-lipid-nanoparticles-in-mice-subjects-do-not-remain-in-muscle-but-were-shown-to-be-rapidly-distributed-in-the-blood-to-the-liver .
Pfizer, et donc la FDA, savait que le vaccin Moderna contenait 100 mcg d’ARNm, des nanoparticules lipidiques et des protéines de pointe, soit plus de trois fois les 30 mcg de la dose adulte de Pfizer. Les documents internes de l’entreprise montrent un taux plus élevé d’événements indésirables avec la dose de 100 mcg, qu’ils ont donc cessé d’expérimenter à ce dosage, en raison de sa “réactogénicité” – les mots de Pfizer – mais personne n’a rien dit sur les 100 mcg de Moderna.
Pfizer a faussé les patients de l’essai de sorte que près des trois quarts étaient des femmes, un sexe moins sujet aux lésions cardiaques. Pfizer a perdu les archives de ce qu’il est advenu de centaines de leurs patients d’essai. (Ignorer les patents perdus, permettant de fausser certains résultats, a aussi été une spécialité de Together).
Dans les essais internes, il y a eu plus de 42 000 événements indésirables et plus de 1 200 personnes sont décédées ( ! ! ! énorme, à vérifier , de l’assassinat. Sans doute à comparer à la mortalité de 42 000 personnes du même âge…). Quatre des personnes seraient décédées le jour de l’injection.
Les événements indésirables répertoriés dans les documents internes de Pfizer sont complètement différents de ceux signalés sur le site Web du CDC ou annoncés par des médecins, des organisations médicales et des hôpitaux corrompus. Ceux-ci comprennent de vastes colonnes de douleurs articulaires, des douleurs musculaires, nombre d’effets neurologiques comme la sclérose en plaques, des Guillain Barré, et toutes les altérations possibles de coagulation sanguine, des thrombocytopénies à grande échelle, des accidents vasculaires cérébraux, des hémorragies et de nombreux types de ruptures de membranes dans tout le corps humain. Pfizer et la FDA étaient au courant, mais n’ont pas prévenu.
Egalement des éruptions cutanées, des problèmes de cloques (annonçant étrangement les symptômes du monkeypox ?).
Les documents internes montrent que Pfizer (et donc la FDA) savait que les zébrures rouges ou l’urticaire étaient une réaction courante au PEG, un allergène dérivé du pétrole, contenu dans les ingrédients du vaccin. En effet, le PEG est un allergène sévère pouvant entraîner un choc anaphylactique. Mais les personnes allergiques au PEG n’ont pas été mises en garde contre les vaccins ni même surveillées.
BioNTech prévenait dans son dossier pour la SEC qu’il pouvait y avoir des malaises violents, dont le CDC et l’AMA ne soufflent pas un mot. Résultats, des athlètes, des étudiants et les adolescents s’effondrent sur les terrains de football et cours de récréation. Les “vérificateurs de faits” peuvent nier tout ce qu’ils veulent, les documents (extraits de ces documents ici)parlent d’eux-mêmes, mais ceux qui soulèvent ces problèmes sont poursuivis.
Naomi Wolf poursuit : j’ai pu traiter tout cela et continuer simplement à faire des rapports, mais ces dernières semaines, l’horreur m’a submergé : les volontaires, sous l’excellente direction de la responsable du programme Amy Kelly, ont confirmé qu’un “génocide” est en cours, intentionnellement ou non. L’essence même de la vie et de la nature vit chez les femmes enceintes et allaitantes. Le sujet des mères enceintes et allaitantes, qui se font vacciner sous l’encouragement et la coercition est douloureux. C’est douloureux de faire des recherches, douloureux d’écrire, et douloureux d’apprendre à quel point les plus précieux d’entre nous sont traités avec insouciance.
Il semble qu’il puisse effectivement y avoir un génocide fortuit, la reproduction elle-même étant ciblée, intentionnellement ou non, par les vaccins à ARNm. Et si vous savez que la reproduction est altérée, et que les bébés et les fœtus sont altérés, et que vous savez que c’est à grande échelle, ce que tout le monde chez Pfizer et à la FDA qui a lu ces documents savait, et si vous n’arrêtez pas, alors est-ce que pas finalement un génocide ?
Les bénévoles de WarRoom/DailyClout ont confirmé que les nanoparticules lipidiques, traversent la membrane amniotique. Cela signifie qu’ils pénètrent dans l’environnement fœtal. (Elles traversent également la barrière méningo-encéphalique, ce qui peut aider à expliquer les accidents vasculaires cérébraux post-ARNm et les problèmes cognitifs). Les volontaires ont approfondi les rapports de Pfizer sur la grossesse et ont découvert que l’assurance que le vaccin est “sûr et efficace” pour les femmes enceintes, était basée sur une étude de 44 rats français, suivis pendant 42 jours (de plus, les scientifiques qui ont dirigé l’étude sont actionnaires ou employés de BioNTech). https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8163337/ ; https://dailyclout.io/covid-19-vaccines-pregnancy-risky-business/
Ces bénévoles ont constaté que si les femmes enceintes étaient exclues des études internes, et donc de l’AMM sur la base de laquelle toutes les femmes enceintes étaient assurées que le vaccin était “sûr et efficace”, il n’en reste pas moins qu’environ 270 femmes sont tombées enceintes au cours de l’étude. Plus de 230 d’entre elles ont été perdues de vue d’une manière ou d’une autre, mais sur les 36 femmes enceintes dont les résultats ont été suivis, 28 ont perdu leur bébé.
Les volontaires ont découvert qu’un bébé était mort après avoir été allaité par une mère vaccinée et qui avait eu une hépatite. De nombreux bébés allaités de mères vaccinées ont montré de l’agitation, des troubles gastro-intestinaux et un retard de croissance.
La base de données du NIH contient une étude en pré-publication, démontrant qu’il y a des quantités négligeables de PEG dans le lait maternel des femmes vaccinées. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8351783/ . Qu’est-ce qu’une quantité négligeable d’un produit pétrolier dans le lait maternel, quand on est un tout petit nouveau-né ? Cet étude en préimpression du NIH signale des niveaux plus élevés de détresses gastro-intestinales et d’insomnies chez les nourrissons étudiés, et une mère avait des niveaux élevés de PEG dans le lait maternel. En petits caractères, ils concluent qu’une étude plus approfondie est nécessaire : « Des études plus importantes sont nécessaires pour accroître notre compréhension du transfert du PEG dans le lait maternel et des effets potentiels après ingestion par le nourrisson ». Une telle phrase dans le rapport Hill sur l’Ivermectine, demandant plus d’études, permet de tout arrêter, pas ici, alors que les conséquences peuvent être mortelles, ce qui n’était pas le cas pour l’Ivermectine.
Sur une telle science erronée, les femmes ont assuré que les vaccins étaient “sûrs et efficaces” pour elles et leurs bébés allaités. Mais quatre des femmes allaitantes vaccinées dans les documents de Pfizer ont signalé du lait maternel « bleu-vert ». Je ne l’invente pas, c’est écrit dans le rapport. Et le bébé allaité qui est mort, avec une inflammation du foie, a été enterré, et n’a pas fait la une des journaux.
Par coïncidence – ou non – la même FDA qui a fermé les yeux sur les vastes méfaits de Pfizer, a déclaré qu’Abbot, un important producteur de lait maternisé aux États-Unis, devait fermer son usine pour un décès. https://www.cnbc.com/2022/05/16/abbott-reaches-agreement-with-fda-to-reopen-baby-formula-plant-to-ease-nationwide-shortage.html . Toujours par coïncidence, , il s’avère que Bill Gates, Jeff Bezos, Richard Branson et Mark Zuckerberg ont tous investi dans une startup appelée “BioMilq ” – qui produit du lait maternel cultivé en laboratoire à partir de cellules mammaires. https://www.cnbc.com/2020/06/16/biomilq-raises-3point5-million-from-bill-gates-investment-firm.html .
Comme si tout cela n’était pas assez horrible, dans un article israélien de Mme Hecht, qui reprend tous ces éléments, on cite en plus des études dans trois pays – le Canada, l’Écosse et maintenant Israël – qui montrent que les bébés meurent de manière disproportionnée, en 2021 et après, dans ces pays hautement vaccinés, selon qu’ils ont des mères vaccinées ou non.
En Écosse, très vaccinée, près du double du nombre de bébés décédés en 2021 par rapport aux chiffres de référence. https://www.heraldscotland.com/news/19726487.investigation-launched-abnormal-spike-newborn-baby-deaths-scotland/ . En Ontario (Canada), 86 bébés sont décédés en 2021, contre une base de référence de quatre ou cinq, mortalité infantile si grave qu’un parlementaire a porté la question au Parlement. https://nonvenipacem.com/2021/12/10/explosive-rise-in-ontario-stillbirths-triggers-parliamentary-questions/ . En Israël, à l’hôpital RamBam de Haïfa, il y a eu 34% d’avortements spontanés et de mort-nés en plus chez les femmes vaccinées que chez les femmes non vaccinées. https://jackanapes.substack.com/p/still-births-miscarriages-and-abortions?utm_source=substack&utm_campaign=post_embed&utm_medium=web&s=r .
Mme Hecht note également que le dérèglement menstruel chez les femmes vaccinées est maintenant pleinement confirmé par de nombreuses études (considéré comme banal et sans conséquences à long terme en France). Un cycle menstruel déréglé, l’accumulation de protéines de pointe dans les ovaires, la traversée du sac amniotique par des nanoparticules lipidiques, sans parler du PEG dans le lait maternel, vont toutes affecter la fertilité, la santé fœtale, l’accouchement et le bien-être ou la détresse gastro-intestinale des bébés, et donc leur capacité ou leur incapacité à se développer.
Et maintenant, les bébés meurent. Étendez les données du Canada, de l’Écosse et d’Israël à toutes les nations vaccinées du monde, que fait-on de tout cela ? Sachant comme je le sais maintenant, que Pfizer et la FDA savaient que les bébés mouraient, et que le lait des mères se décolorait en regardant simplement leurs propres dossiers internes ; sachant comme moi qu’ils n’ont alerté personne et encore moins arrêté ce qu’ils faisaient, et qu’à ce jour, Pfizer, la FDA et d’autres entités démoniaques de « santé publique » poussent à vacciner de plus en plus de femmes enceintes ; maintenant qu’ils sont sur le point d’imposer cela aux femmes d’Afrique et d’autres pays à faible revenu qui ne recherchent pas les vaccins à ARNm, selon le PDG de Pfizer, Bourla, la semaine dernière au WEF, et sachant que Pfizer fait pression et pourrait même recevoir une autorisation pour des bébés aux enfants de cinq ans, je dois conclure que nous nous penchons sur un abîme du mal jamais vu depuis … ( j’ai enlevé les allusions aux expériences de Mengele).
ILS SAVAIENT, ILS N’ONT RIEN DIT. Il serait bon que le Sénat se penche sur l’épluchage de ces documents Pfizer, cela permettrait de remonter aux sources des enquêtes qu’ils font actuellement.
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