Dans une vidéo rapidement censurée par YouTube, le journaliste retraité Verdi communiqua des enseignements métaphysiques sur la véritable personnalité des dirigeants actuels.
"Nous avons déjà, écrit Mouravieff, dans le premier volume de « Gnôsis », fait allusion à plusieurs reprises à cette coexistence de deux races essentiellement différentes : celle des "Hommes" et celle des "Anthropoïdes", ce dernier terme n'emportant au sens ésotérique, insistons-y, aucune idée péjorative.
Constaté depuis des temps très reculés, ce fait, encore que déformé parce que généralement perçu sous un jour faux, a trouvé accès à la conscience nationale, sociale et juridique de plusieurs peuples, anciens et nouveaux : c'est ainsi que l'on retrouve son influence dans la notion "d'Intouchable" des Indiens, "d'Ilote" des Grecs, de "Gohi" des Juifs, "d'Os blancs" et "d'Os noirs" de l'Europe médiévale, "d'Untermensch" des Allemands nazis, etc.
Observons également qu'à l'autre extrême, la conception égalitaire de la nature humaine, si chère aux théoriciens des révolutions démocratiques et sociales, est aussi erronée que la première : la seule égalité réelle des sujets de droit interne et international est l'égalité des possibilités car les hommes naissent inégaux.
Les Écritures contiennent plus d'une indication de la coexistence sur notre planète de ces deux humanités, actuellement semblables de forme mais dissemblables dans leur essence. On peut même dire que toute l'histoire dramatique de l'humanité, depuis la chute d'Adam jusqu'à nos jours et sans excepter la perspective de l’Ère Nouvelle, est placée sous le signe de la coexistence de ces deux races humaines dont la séparation ne doit intervenir qu'au Jugement Dernier.
C'est ce qu'a indiqué Jésus, en paraboles naturellement lorsqu'il s'adressait à la foule, mais en termes clairs à l'intention de ses disciples ; il y a notamment la parabole de "l'ivraie et de la bonne semence" que, sur la demande de ces derniers, il a ainsi commentée :
"Celui qui sème la bonne
semence, c'est le Fils de l'homme; le champ, c'est le monde; la bonne
semence, ce sont les fils du royaume; l'ivraie, ce sont les fils du
malin; l'ennemi qui l'a semée, c'est le diable; la moisson, c'est la fin
du monde."
Et Jésus a ajouté :
"Tout homme lettré
instruit de ce qui regarde le royaume des deux est semblable à un maître
de maison qui tire de son trésor des choses nouvelles et des choses
anciennes."
La coexistence, ainsi confirmée, d'une race
d'Anthropoïdes et d'une race d'Hommes, est nécessaire, du point de vue
de la Loi Générale, pour que se maintienne sans interruption la
stabilité dans le mouvement de la Vie organique sur la Terre ; elle
l'est également en vertu du Principe d’Équilibre, la première race étant
un contrepoids qui permet à celle des Hommes de poursuivre son
évolution ésotérique. Cela aussi a été confirmé par Jésus, à propos de
la Fin, dans les termes suivants :
"Alors, de deux hommes qui
seront dans un champ, l'un sera pris et l'autre laissé; de deux femmes
qui moudront à la meule, l'une sera prise et l'autre laissée."
Ces paroles appellent une observation :
L'ivraie
pousse sans qu'on ait besoin de la cultiver. En revanche, la bonne
semence exige, pour fructifier, un travail considérable : il faut
labourer la terre, la nourrir d'engrais, l'ensemencer soigneusement, la
herser, etc.; et si la récolte n'est pas moissonnée, mais laissée là où
elle a poussé, on ne trouve plus au bout de quelques années aucun épi de
froment, car l'ivraie, plante naturelle de la Terre, étouffe le froment
et le seigle, fruits de la culture céleste.
L'ivraie humaine,
c'est la race anthropoïde issue de l'humanité pré-adamique. La
différence capitale — bien que non perçue par les sens — entre l'homme
pré-adamique et l'homme adamique contemporains, c'est que, comme nous
l'avons vu, le premier ne possède pas les centres supérieurs développés
qui existent chez le second et qui, bien que coupés chez lui de la
conscience de veille depuis la chute, lui offrent une possibilité réelle
d'évolution ésotérique. A cela près, les deux races sont semblables :
mêmes centres inférieurs et même structure de la Personnalité ; même
corps physique, bien que souvent plus fort chez l'homme pré-adamique que
chez l'homme adamique; et quant à la beauté, n'oublions pas que l'homme
et la femme préadamiques avaient été créés par Dieu le sixième jour, à
son image et à sa ressemblance et que les filles de cette race étaient
particulièrement belles. [...]
(...) les deux humanités, issues
de deux procédés de création différents, se mélangèrent ensuite sur le
plan de la vie organique sur la Terre, placée sous l'autorité de
l'Absolu. Dès lors, la coexistence de ces deux types humains et la
compétition dont elle s'accompagna devinrent un fait pour ainsi dire
normal. Or, comme les enfants de ce siècle sont plus habiles que ne le
sont les enfants de lumière dans leur état postérieur à la chute, nous
voyons tout au long de l'histoire, et encore de nos jours, les adamiques
se trouver généralement en position d'infériorité par rapport aux
pré-adamiques.
Cette situation, ses conséquences pratiques et les
problèmes qui en découlent feront plus loin l'objet d'un examen plus
approfondi, examen commandé par l'approche de l’Ère du Saint-Esprit au
terme de laquelle se posera la question de la séparation de l'ivraie et
de la bonne semence.
Laura Knight-Jadczyk nomme les individus sans âme les "Portails organiques".
Les portails organiques captent l’énergie de l’âme des individus qui en sont pourvus. […]
Pour en savoir plus sur les portails organiques :
http://quantumfuture.net/fr/organicportals1_fr.htm
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