Dans la nuit du 29 au 30 septembre 2021, le Chili était le premier Etat à inscrire dans sa Constitution la protection des cerveaux de ses citoyens contre des technologies qui viseraient à “augmenter, diminuer ou perturber” leur intégrité mentale. Cette loi sur les neurodroits et pour la protection des données neuronales est la première du type dans le monde. Mais à quoi sert-elle, que faut-il entendre par données neuronales ? Et surtout quelles sont les arguments qui permettent de justifier un tel texte ? Explications.
Nous avions récemment présenté un article sur l’injection de nanotechnologies via les vaccins Covid permettant aux nanomatériaux injectés de traverser le barrière hémato encéphalique pour s’insérer dans le réseau neuronal et interagir avec les synapses dans le but d’induire artificiellement des pensées et donc des comportements. Ce type d’article peut laisser certains lecteurs incrédules. Et certains ont pu conclure qu’il s’agissait de science-fiction.
Au Chili, le sujet est pris très au sérieux, il est surtout médiatisé car le meilleur moyen de tenir l’opinion publique dans l’ignorance et de sélectionner l’information. On ne reviendra pas sur ce thème largement et régulièrement traité dans le Courrier des Stratèges.
Des neurodroits pour protéger ses pensées du piratage
Dès avril 2021, le Sénat chilien avait adopté un projet de réforme constitutionnelle sur la reconnaissance des neurodroits pour protéger l’intégrité mentale des citoyens. En septembre 2021, la nouvelle loi vise à protéger les données mentales, à établir des limites sur les neurotechnologies et notamment la transcription technologique d’informations dans le cerveau et à limiter le développement des neuroalgorithmes qui visent à déterminer les comportements humains. Inutile de préciser que la porte de Pandore est ouverte et que le droit ne protégera pas les citoyens pour deux raisons très simples : 1. la personne manipulée ne s’en rend pas compte, 2. La preuve d’une manipulation via des nanotechnologies manipulant le cerveau est quasi impossible à présenter.
« Il s’agit de s’assurer que personne n’altère l’état mental d’une personne, comme sa mémoire ou d’empêcher quiconque d’exploiter les données d’un individu sans son consentement préalable, par exemple pour améliorer les capacités mentales de certains individus (militaires etc.) par stimulation neuronale. L’intégrité mentale vise à prévenir d’éventuels hacks de cerveaux, par exemple en cas de prise de contrôle d’un implant neuronal ».
Ce serait les travaux de la société Neuralink co-fondé par Elon Musk – une tête de pont du Forum de Davos – qui auraient influencé le parlement chilien.
La neuromodulation et le risque de piratage du cerveau
Grâce à ce type de dispositifs, « les neurotechnologies réalisent des progrès extraordinaires pour aider les personnes incapables de parler ou de marcher. Les personnes atteintes d’Alzheimer pourront peut-être bientôt retrouver la mémoire, souligne la chaîne (Al-Jazeera English). Mais, comme l’arme nucléaire, [ces technologies] peuvent être utilisées à mauvais escient ». Les scientifiques se posent des questions sur l’utilisation qui peut être faite de ces implants neuronaux. Et c’est aussi notre préoccupation au regard de ce que nous observons dans les sérums vaccinaux contre Covid.
Mais le Chili ne s’est pas arrêté à un seul texte, il a déposé en février 2022 un autre projet de loi (N° 21422) qui propose d’interdire toute discrimination à l’embauche à l’égard des personnes génétiquement modifiées. De quelles modifications peut-il s’agir si ce ne sont celles qui sont induite par la vaccination contre Covid et que nous avons également évoqué dans un article en mars 2022 ?
Ce que les chercheurs du civil spécialisés dans ces technologies ne précisent pas, c’est que le complexe militaro industriel américain a testé ces technologies sur des militaires pendant la guerre en Irak. Il y a 12 ans, j’ai pu visionner une vidéo sur le sujet alors que la censure de Youtube n’était pas aussi stricte qu’aujourd’hui. La scène se déroule dans une caserne militaire américaine. La vidéo montrait un militaire (porteur d’une technologie implantée émettrice) qui décrivait à l’avance le comportement qu’il allait inculquer par sa seule pensée à un autre militaire (équipé d’un implant récepteur). Le premier avait alors annoncé et provoqué une bagarre impliquant le second, tout en étant à bonne distance des événements.
Pour comprendre les mécanismes des technologies inoculées à l’insu des patients via les vaccins contre Covid, nous renvoyons le lecteur à notre dossier complet intitulé « Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés ».
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